Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Après Vincent n’a pas d’écailles, comédie aquatico-burlesque, Thomas Salvador signe avec La Montagne une fable écologiste doublée d’une histoire d’amour. Une expérience organique et sensuelle à vivre en salle absolument.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Voilà bien longtemps qu’une telle incandescente magie ne nous avait autant émerveillée au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Ce film déploie l’envoûtement induit par l’atmosphère des sommets jusqu’à toucher des images visionnaires qui engendrent une rare sensation de réel émerveillement.
Marianne
par Thomas Bravo-Maza
Le cinéaste Thomas Salvador signe un film qui ne ressemble à aucun autre, transfigurant un voyage initiatique alpin en conte fantastique. Il nous offre une puissante allégorie de l’effondrement et du retour à la vie, un sommet d’audace et de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de « Vincent n’a d’écailles » signe un film contemplatif et paisiblement beau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette façon qu’a le film de s’écrire sur une grande étendue blanche et d’avancer selon d’enfantins principes de lubie et d’obsession, ce minimalisme tout en lignes épurées et trajectoires nettes tracées à même le cristal et la glace pourraient virer au simplisme ou à une vague poésie d’illuminé (...) si Salvador n’en revenait constamment à cette obscure mathématique de la matière et à cette pure métaphysique des corps et des éléments qui travaillent sa mise en scène.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Ode à la douceur pour se reconstruire. La montagne atteint un sommet de pureté..
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Thomas Salvador lui-même rejoue le héros de ce film aux paysages superbes, jetant ainsi des ponts avec Vincent n’a pas d’écailles.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Thomas Salvador mélange adroitement les genres pour trouver une place dans le monde. Un film minimaliste, humble, qui soulève pourtant des montagnes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une dinguerie qui atteint des sommets d'originalité dans un flux d'images plus sublimes les unes que les autres.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sept ans après l’enthousiasmant « Vincent n’a pas d’écailles », le cinéaste Thomas Salvador − qui tient ici le rôle principal de cette fable hypnotique − confirme son talent pour injecter de l’irrationnel dans le quotidien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film n’est pas pour autant un manifeste sociologique, mais une véritable odyssée minimaliste au sublime assumé.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Pour être de ce voyage hermétique surnaturel, pour avoir accès à cette œuvre métaphysique, qui a aussi quelque chose à voir avec le mysticisme et la magie, il faut partager l’idée qu’il existe dans la nature quelque chose qui dépasse l’homme, une transcendance.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pour son deuxième long métrage, le cinéaste propose une expérience sensorielle unique, reposant sur l’économie de dialogues et la contemplation. Dans le paysage grandiose du massif du Mont-Blanc, il convoque le merveilleux et donne le vertige, à travers la crise existentielle d’un héros en perdition.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Les jours passant, l’homme marche, grimpe, explore, éprouvant ce paysage abrupt et reculé, dont la nature se dévoile. Rien que cela pourrait suffire à la beauté du film, qui trouve toute sa poésie dans cet appel des hauteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Avec son second film, Thomas Salvador nous offre une œuvre magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Dépliées au fil d’un tempo cotonneux, les séquences nous plongent dans un état quasi méditatif, propice à une dérive sensorielle à peine heurtée par le corps-à-corps de plus en plus intense que le personnage entreprend avec son environnement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Frédéric Mercier
[...] l’un des films français les plus audacieux, les plus fascinants et les plus accomplis de ces dernières années.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le personnage principal, Pierre, est comme absorbé par la minéralité. Il chemine vers un drôle d’état, entre paix intérieure et folie, hallucination et conscience aiguë du monde. Thomas Salvador offre une expérience rare de cinéma à travers cette échappée étrange, hypnotisante, imprévisible. Un film ? Non, un trip.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Doublé d’une dimension écologique, ce portrait d’un homme qui cherche sa voie et trouve l’amour surprend, dépayse en nous emmenant dans « un ailleurs fait d’ici ». Magique.
Télérama
par Louis Guichard
La Montagne, film empreint de sagesse et de maturité, renseigne ainsi sur le bon usage de l’ivresse des cimes… après les cimes. La leçon est belle et bienfaisante à tous égards.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Hybride et mystérieux, La Montagne est un film inclassable et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
La Montagne parvient à son meilleur à figurer la relation, conflictuelle puis vertigineuse, que cet homme venu des villes cherche à entretenir avec l’immensité de la nature.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
C'est beau, contemplatif et trop long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Thomas Salvador filme avec talent les immensités enneigées, les hauteurs frappées par le réchauffement climatique, les reliefs si beaux et parfois si traîtres. (...) Mais cela s’avère insuffisant pour maintenir l’intérêt de son long-métrage qui affiche près de 2 heures au compteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par S.O.
Magnifiquement filmé, le mont Blanc invite à une exploration que Thomas Salvador, réalisateur et acteur, pratique longuement. L'attention du spectateur est heureusement maintenue par la tournure inattendue que prennent les événements.
Ouest France
par La Rédaction
Thomas Salvador s'essaie une deuxième fois au fantastique mais y joint une histoire d'amour superflue.
Bande à part
Après Vincent n’a pas d’écailles, comédie aquatico-burlesque, Thomas Salvador signe avec La Montagne une fable écologiste doublée d’une histoire d’amour. Une expérience organique et sensuelle à vivre en salle absolument.
Libération
Voilà bien longtemps qu’une telle incandescente magie ne nous avait autant émerveillée au cinéma.
Mad Movies
Ce film déploie l’envoûtement induit par l’atmosphère des sommets jusqu’à toucher des images visionnaires qui engendrent une rare sensation de réel émerveillement.
Marianne
Le cinéaste Thomas Salvador signe un film qui ne ressemble à aucun autre, transfigurant un voyage initiatique alpin en conte fantastique. Il nous offre une puissante allégorie de l’effondrement et du retour à la vie, un sommet d’audace et de sensibilité.
20 Minutes
Le réalisateur de « Vincent n’a d’écailles » signe un film contemplatif et paisiblement beau.
Cahiers du Cinéma
Cette façon qu’a le film de s’écrire sur une grande étendue blanche et d’avancer selon d’enfantins principes de lubie et d’obsession, ce minimalisme tout en lignes épurées et trajectoires nettes tracées à même le cristal et la glace pourraient virer au simplisme ou à une vague poésie d’illuminé (...) si Salvador n’en revenait constamment à cette obscure mathématique de la matière et à cette pure métaphysique des corps et des éléments qui travaillent sa mise en scène.
CinemaTeaser
Ode à la douceur pour se reconstruire. La montagne atteint un sommet de pureté..
Dernières Nouvelles d'Alsace
Thomas Salvador lui-même rejoue le héros de ce film aux paysages superbes, jetant ainsi des ponts avec Vincent n’a pas d’écailles.
Ecran Large
Thomas Salvador mélange adroitement les genres pour trouver une place dans le monde. Un film minimaliste, humble, qui soulève pourtant des montagnes.
Elle
Une dinguerie qui atteint des sommets d'originalité dans un flux d'images plus sublimes les unes que les autres.
L'Obs
Sept ans après l’enthousiasmant « Vincent n’a pas d’écailles », le cinéaste Thomas Salvador − qui tient ici le rôle principal de cette fable hypnotique − confirme son talent pour injecter de l’irrationnel dans le quotidien.
La Septième Obsession
Le film n’est pas pour autant un manifeste sociologique, mais une véritable odyssée minimaliste au sublime assumé.
Le Dauphiné Libéré
Pour être de ce voyage hermétique surnaturel, pour avoir accès à cette œuvre métaphysique, qui a aussi quelque chose à voir avec le mysticisme et la magie, il faut partager l’idée qu’il existe dans la nature quelque chose qui dépasse l’homme, une transcendance.
Le Journal du Dimanche
Pour son deuxième long métrage, le cinéaste propose une expérience sensorielle unique, reposant sur l’économie de dialogues et la contemplation. Dans le paysage grandiose du massif du Mont-Blanc, il convoque le merveilleux et donne le vertige, à travers la crise existentielle d’un héros en perdition.
Le Monde
Les jours passant, l’homme marche, grimpe, explore, éprouvant ce paysage abrupt et reculé, dont la nature se dévoile. Rien que cela pourrait suffire à la beauté du film, qui trouve toute sa poésie dans cet appel des hauteurs.
Les Fiches du Cinéma
Avec son second film, Thomas Salvador nous offre une œuvre magnifique.
Les Inrockuptibles
Dépliées au fil d’un tempo cotonneux, les séquences nous plongent dans un état quasi méditatif, propice à une dérive sensorielle à peine heurtée par le corps-à-corps de plus en plus intense que le personnage entreprend avec son environnement.
Positif
[...] l’un des films français les plus audacieux, les plus fascinants et les plus accomplis de ces dernières années.
Sud Ouest
Le personnage principal, Pierre, est comme absorbé par la minéralité. Il chemine vers un drôle d’état, entre paix intérieure et folie, hallucination et conscience aiguë du monde. Thomas Salvador offre une expérience rare de cinéma à travers cette échappée étrange, hypnotisante, imprévisible. Un film ? Non, un trip.
Télé 7 Jours
Doublé d’une dimension écologique, ce portrait d’un homme qui cherche sa voie et trouve l’amour surprend, dépayse en nous emmenant dans « un ailleurs fait d’ici ». Magique.
Télérama
La Montagne, film empreint de sagesse et de maturité, renseigne ainsi sur le bon usage de l’ivresse des cimes… après les cimes. La leçon est belle et bienfaisante à tous égards.
aVoir-aLire.com
Hybride et mystérieux, La Montagne est un film inclassable et fascinant.
Critikat.com
La Montagne parvient à son meilleur à figurer la relation, conflictuelle puis vertigineuse, que cet homme venu des villes cherche à entretenir avec l’immensité de la nature.
Le Figaro
C'est beau, contemplatif et trop long.
Le Parisien
Thomas Salvador filme avec talent les immensités enneigées, les hauteurs frappées par le réchauffement climatique, les reliefs si beaux et parfois si traîtres. (...) Mais cela s’avère insuffisant pour maintenir l’intérêt de son long-métrage qui affiche près de 2 heures au compteur.
Télé Loisirs
Magnifiquement filmé, le mont Blanc invite à une exploration que Thomas Salvador, réalisateur et acteur, pratique longuement. L'attention du spectateur est heureusement maintenue par la tournure inattendue que prennent les événements.
Ouest France
Thomas Salvador s'essaie une deuxième fois au fantastique mais y joint une histoire d'amour superflue.