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Votre avis sur New York Stories ?
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Le plus réussi des 3 films est sans doute le film de Scorsese, avec un Nick Nolte et une Rosanna Arquette au sommet de leur art niveau interprétation. Une histoire d'amour, de haine autour de l'art et de la peinture. Le film de Coppola arrive second avec une histoire de petite fille qui évolue dans un monde de richesse à l'atmosphère presque surnaturelle - petite fille intelligente et attachante (on reconnait déjà la patte de Sofia Coppola, co-scenariste, pour dessiner les portraits féminins). Le film de Woody Allen est le moins réussi, même s'il reste très intéressant (il faut dire que l'ensemble des 3 films est de grande qualité). L'histoire de cette mère juive possessive qui disparait et réapparait dans le ciel est assez anecdotique dans la filmographie d'Allen.
On s'attendait au film de l'année hein...
Celui de Scorsese : 2.5/4
Coppola : 1/4
Allen : 3/4
Celui de Scorsese : 2.5/4
Coppola : 1/4
Allen : 3/4
Le Scorsese et le Coppola sont décevants. Reste le Woody Allen qui sauve la baraque. Le cinéaste revient, pour ce court- métrage, à la pure comédie burlesque qu'il avait délaissé depuis près de 15 ans et Guerre Et Amour. Cette histoire de mère juive qui se retrouve à flotter au-dessus de Manhattan en sermonant son fils sur ses choix amoureux en prenant à témoin tout New York est une certaine vision de ce que pourrait être l'enfer.
Le court métrage de Scorsese est excellent (une atmosphère très envoûtante), celui de Woody Allen également. Le court métrage de Coppola, quant à lui, est le plus étrange des trois : un peu lourd par moment, pénible même, et pourtant parfois très intriguant, intéressant. Cependant, il n'est pas vraiment à la hauteur des deux autres.
J'ai accroché sur le segment de M. Scorsese, extrêmement bien filmer (ralentis, gros plans, ...). Une histoire qui me plaisait bien dans le milieu des peintres new yorkais, Nick Nolte y est excellent et la B.O. aussi. Celui de F.F. Coppola est le moins bon des trois une histoire de gosses qui vivent seule ou quasiment, deux ou trois bon mots c'est tout. Pour finir celui de Woody Allen est très drôle avec une histoire typique du cinéaste, comédie romantique, histoire de couple et un peu de délires avec les
spoiler:
apparitions de la maman
.
.
Les 3 histoires sont pas mal. C'est sympa à regarder.
Ce film réunit trois réalisateurs majeurs de ce siècle pour nous donner Trois histoires se déroulant à new-york et extrèmements différentes selon le réalisateur; ces histoires sont toutes trois, sans être de grands chefs-d'oeuvres, très interessantes et se laissent toutes très bien regarder.
Un film à sketches brillament réalisé
Je vais commencer par ce que j'ai aimé : tout d'abord, le court métrage de Martin Scorsese avec Nick Nolte et Patricia Arquette, que j'ai vraiment adoré, l'histoire est banale mais la mise en scène est magnifique, et certains plans resterons gravés dans ma mémoire (le gros plan sur le pied de Rosana Arquette avec un fondu au noir autour) et la musique de Procol Harum colle parfaitement au film, je trouve cet épisode vraiment inoubliable, sans hésitation ma partie préférée du film.
Ensuite, le court métrage de Woody Allen est lui aussi monumental. Vraiment imaginatif et drôle, du pur Woody Allen. J'adore !
Bon, maintenant, ce que je n'ai pas aimé : le segement de ce bon vieux Francis.
C'est peut etre un réalisateur de talent, ok, mais là il tombe dans la ringardise nunuche pour gamin, ça fait pâle figure dans ce film comparé aux deux autres grandioses courts métrages.
Cette partie ne vaut que pour le petit rôle de Carole Bouquet.
En bref un très bon film que je conseille vivement, dommage que Francis Ford Coppola ait fait un segment si fade, ça ne ressemble pas à ce qu'il fait d'habitude et c'est vraiment dommage.
Sans ce court de Francis j'aurai mis les 4 étoiles sans hésiter. Et quel dommage que son segment soit au milieu du film ! Ca nous force à le regarder...
Je vais commencer par ce que j'ai aimé : tout d'abord, le court métrage de Martin Scorsese avec Nick Nolte et Patricia Arquette, que j'ai vraiment adoré, l'histoire est banale mais la mise en scène est magnifique, et certains plans resterons gravés dans ma mémoire (le gros plan sur le pied de Rosana Arquette avec un fondu au noir autour) et la musique de Procol Harum colle parfaitement au film, je trouve cet épisode vraiment inoubliable, sans hésitation ma partie préférée du film.
Ensuite, le court métrage de Woody Allen est lui aussi monumental. Vraiment imaginatif et drôle, du pur Woody Allen. J'adore !
Bon, maintenant, ce que je n'ai pas aimé : le segement de ce bon vieux Francis.
C'est peut etre un réalisateur de talent, ok, mais là il tombe dans la ringardise nunuche pour gamin, ça fait pâle figure dans ce film comparé aux deux autres grandioses courts métrages.
Cette partie ne vaut que pour le petit rôle de Carole Bouquet.
En bref un très bon film que je conseille vivement, dommage que Francis Ford Coppola ait fait un segment si fade, ça ne ressemble pas à ce qu'il fait d'habitude et c'est vraiment dommage.
Sans ce court de Francis j'aurai mis les 4 étoiles sans hésiter. Et quel dommage que son segment soit au milieu du film ! Ca nous force à le regarder...
Un bon petit film de rien du tout qui voit avec plaisir. S'il faut oublier très vite l'essai "pictural" de Scorcese malgré l'application de Nick Nolte, les deux autres films valent plutôt le détour. La fable enfantine de Francis Ford Coppola est un chef d'oeuvre du genre. D'un coup de baguette magique, le réalisateur du parrain profite de new York pour faire basculer le spectateur dans un monde enfantin aussi étrange qu'irréel, où les enfants campent et donnent des leçons aux adultes et où les grandes personnes semblent aussi paumés qu'émerveillés par ce monde qui bruisse à leurs pieds. Ce petit bijou vaut vraiment le détour.
Quant à Woody Allen, celui-ci fait tout simplement du Woody Allen ! L'histoire de cette mère qui harcèle son fils dans le ciel de New York est désopilante.
Quant à Woody Allen, celui-ci fait tout simplement du Woody Allen ! L'histoire de cette mère qui harcèle son fils dans le ciel de New York est désopilante.
Il sagit de trois histoires distinctes, qui se passent toutes à New York, sans pour autant caractériser big apple, tournées par trois grands cinéastes, qui nont pas commis ici des exploits ! Scorsese nous montre un peintre (Nick Nolt), aux prises avec son assistante et maîtresse (Rosanna Arquette) qui le plaque. Bof. Coppola, très « famille » raconte lhistoire dune gamine qui vit seule dans un palace, et donne des leçons de maturité à ses père et mère. Bof bof. Woody Allen se colte (une fois de plus) à ses problèmes oedipiens, sous lil charmant de Mia Farrow. Sa mère, si possessive, disparaît lors dun spectacle de magie, et réapparaît dans le ciel new-yorkais pour mieux tancer son fils en prenant la ville à témoin. Assez drôle. Sans plus.
"Une ville, trois réalisateurs majeurs" est inscrit sur l'affiche de "New York Stories". Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Woody Allen, c'est le moins que l'on puisse dire ! Cependant, ce recueil de trois sketches est plus un film d'amis qui ont tourné en commun que sur la ville elle-même. On commence par "Life Lessons" de Scorsese. Remarquable, complètement ancré dans l'univers du cinéaste, ce moyen-métrage capte toute l'attention du spectateur du début à la fin. Exposant l'enfermement sur soi de l'artiste, l'inspiration artistique et les liens de celle-ci avec la vie en couple, le cinéaste a mis en scène une oeuvre à nouveau tourmentée, comprenant des thèmes lui étant chers. Ce qu'il tentera de faire 15 ans plus tard de manière bien moins féconde dans "Aviator", Scorsese l'a réussi ici. Les liens avec sa vie personnelle ne font que renforcer mon appréciation très positive d'un artiste s'accordant une pause, faisant le bilan de sa vie intime et sa fertilité professionnelle jusqu'à maintenant. L'utilisation musicale est une fois de plus remarquable, tout comme la représentation féminine, muse d'un homme en perte de sa personne. Posé et réfléchi, "Life Lessons" est à voir absolument. Suit "Life without Zoe" de Coppola, conte enfantin pas désagréable ou creux mais plat. Malgré l'évocation de la famille et l'immigration (sujets chers au cinéaste), le film ne décolle pas, peinant à dépasser le statut de divertissement sans prétention. Allen s'est quant à lui laissé toute liberté pour livrer une histoire totalement déjantée et imprévisible, d'un humour sans cesse décalé et se renouvelant sans difficultés. Il tient le temps imparti sans une baisse de rythme, offrant un petit bonheur de comédie. Inégal, "New York Stories" comprend toutefois deux histoires incontournables. A voir, ne serait-ce que par curiosité.
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