AlloCiné
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Votre avis sur #Alive ?
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#Alive est malheureusement film de zombies Netflix assez faiblard. Reprenant le concept de La Nuit à dévoré Le Monde, le métrage coréen est une série B paresseuse et attendue. L'oeuvre reprend machinalement les poncifs du genre sans en faire grand chose...
https://www.cineserie.com/critiques/cine/alive-un-film-de-zombies-pas-assez-original-3732799/
https://www.cineserie.com/critiques/cine/alive-un-film-de-zombies-pas-assez-original-3732799/
Plutôt déçu par ce film dont j'étais curieux et qui n'a pourtant rien à se reprocher sur son aspect technique et acting, mais le mélange des genre ne fonctionne pas terrible d'après moi: d'abord long huis-clos axé sur la survie (un pari cinématographique difficile à tenir tant il n'est guère palpitant de suivre un personnage enfermé dans un appartement) où la psychologie (d'ailleurs pas spécialement développée) aura bon dos pour justifier une heure de banalités certes bien interprétées mais de banalités quand même, trivialités qui évincent toute possibilité de poésie, ponctuées ça et là de qqs pics de tensions fugaces. Viennent pour conclure 30 minutes un peu plus nerveuses où la part belle est faite à une action aussi bien chorégraphiée que réalisée (l'unique scène se passant dans la rue) et où le film montre enfin qu'il en a sous le capot, mais trop tard hélas. Si le but était de disserter sur les solitudes urbaines et autre mal-être moderne j'ai tendance à penser que c'est une thématique très asiatique et qui a du mal à se frayer un chemin jusqu'ici, avec sans zombies. En tout cas je n'y ai pas été sensible car ce qui rend poignant le propos sur l'enfermement, c'est d'en sortir ou du moins d'essayer, or ici il n'en est pas du tout question. D'ailleurs c'est à se demander de quoi il est question dans ce film très bien réalisé et interprété. A croire que cela, comme le film, a fini par échapper à son réalisateur.
Difficile d'apprécier ce film tant il est parsemé d'erreurs et de situations absurdes, sans parler du jeu des acteurs qui ont des réactions incompréhensibles (et franchement pas naturelles) et des zombies, pourtant bien maquillés mais complètement à la ramasse. Entre
spoiler:
la scène du bombardement après 15 jours de pandémie, où l'on peut quand même apercevoir la circulation sur l'autoroute au loin, la fille assommée par une table qui l'a heurtée à la hanche, le sédatif dans les verres qui endort en 30 sec mais dont les effets durent 2 minutes, ou encore l'hélicoptère ultra silencieux qui surgit de nulle part pour secourir les protagonistes sur le toit de leur immeuble (comment ont-ils fait pour ne pas le voir ou l'entendre alors qu'il est en contrebas de l'immeuble ?!), bref,
ce Alive est très loin d'arriver à la cheville de l'excellent "Dernier train pour Busan".
Heureusement que je n'ai pas payé pour le voir.
ce Alive est très loin d'arriver à la cheville de l'excellent "Dernier train pour Busan".
Heureusement que je n'ai pas payé pour le voir.
J'ai mis ce film sans aucune grosse attente je m'attendais à quelque chose dans le style de shaun of the dead très porté sur le comique mais pas du tout bien au contraire. A chacun son avis
spoiler:
parce que l'épidémie commence direct sans aucune reelle explication mais ça ne me dérange pas du tout les sources on les connaît à la longue donc plus besoin d'expliquer 😂 .
Dans tous les cas j'ai juste adoré et je le regarderai à nouveau c'est certain.
Dans tous les cas j'ai juste adoré et je le regarderai à nouveau c'est certain.
Du jour au lendemain tout bascule et il va falloir survivre dans ce monde apocalyptique. Notre personnage principal, qui au début sera tranquille dans son coin, va vite devenir fou a tourner en rond, seul, dans l'appartement de ses parents. Il pourra compter sur l'aide d'une voisine de l'immeuble d'en face pour retrouver le sourire et l'envie de se battre pour sa vie. Un beau duo pour une belle histoire d'amitié (d'amour ?) dans un monde violent. Bien meilleur que le surestimé DERNIER TRAIN POUR BUSAN.
Fêtons le cinéma
#Alive dit quelque chose du rapport qu’entretient le jeune Coréen avec la technologie, une technologie qui scande son quotidien depuis le réveil jusqu’au coucher en passant par les jeux en ligne, la publication de vidéos sur les plateformes, les écrans de télévision et de tablette tactile etc. L’environnement domestique de Joon-Woo est essentiellement numérique, et le long métrage a alors l’intelligence de raccorder cette vie menée « à distance » à l’urgence matérielle et physique de l’épidémie, perçant la bulle dans laquelle vivait l’adolescent pour penser l’espace en termes de dangers : sortir devient une expédition nécessitant un équipement spécifique et une vigilance accrue. C’est dire que la connexion au monde s’effectue par le prisme de la violence et du cannibalisme, comme la métaphore d’un âge adulte qui vampirise la jeunesse pour mieux l’uniformiser – en témoignent d’ailleurs les nombreux zombies en costumes et chemises, tout droit sortis du bureau. Toutefois, le numérique et la distance ne sauraient être condamnés, puisque face à eux se dresse et s’agite un humain aussi désarticulé que vorace ; ce sont eux qui permettent la rencontre de Joon-Woo et Yoo-Bin, la technologie rendant possible la communication lorsque le déplacement est déconseillé. Aussi #Alive brosse-t-il à grands coups de haches et du club de golf le portrait d’une jeunesse confinée dont les échanges entre immeubles ne sont pas sans rappeler certaines scènes similaires dont la Corée a été le témoin en pleine crise du Coronavirus. Une telle actualité ne saurait laisser indifférent, mais ne doit pas non plus divulguer l’aspect convenu de cette invasion qui peine à articuler l’horreur et le burlesque, forçant souvent le décalage de tons. Et si la réalisation est soignée, si le rythme est efficace, ils ne proposent que peu d’idées de mise en scène véritablement fortes, exception faite de plans filmés en drone qui échelonnent, à mesure que l’appareil remonte vers le haut de la tour, différentes scènes de la vie conjugale des monstres. Voilà donc un petit film bien troussé et honnête que le propos de fond et la générosité gore placent au-dessus de la moyenne et bien au-dessus de Peninsula, autre actualité zombie 2020. Surtout, il déplace le cliché du geek avachi sur son écran : comme démultiplié en créatures cannibales, le geek sort de sa chambre et devient le héros des jeux vidéo auxquels il s’exerçait tant, devenus réels le temps d’une invasion.
content qu'il sortent finalement en france , le jour de sa sortie . et sa film a + que combler mes attentes ! déja on est faces dés le début a de super acteurs qui joue a la perfection .durant tout le films ils sont tous superbe . le film se présente comme un huit clos zombiesque . mais on ne s'ennuit a aucun moment , dans ce genre de films si ya un scénario moyen on le sent trés vite . mais la c'est loin d'être le cas ! les personnages on tous leur propre personnalité , ils sont bien écrit d'ailleurs ! les effet spéciaux sont très réussi , tous sont bon aussi . en gros #alive c'est un film coréen de zobmie en huit clos qui déchire sous tous les points . a voir
Excellent film ! Je m'attendais à un film humoristique à la Shaun of the Dead (de 2004) mais pas du tout c'est un univers très sérieux,
spoiler:
les infectés sont très bien faits et la tension monte de plus en plus, avec quelques scènes bien gores et de sursauts
, les acteurs jouent très bien. Un vrai régale, une vrai découverte !
, les acteurs jouent très bien. Un vrai régale, une vrai découverte !
Film coréen pas trop mal. Du suspens , et surtout un film de survival. Comment ne pas devenir fou a rester enferme dans son appartement pendant des jours et des jours. Ca rappelle une période de confinement récente :-)
Un film de zombies qui souffrirait de la comparaison avec un certain dernier train mais ça reste un bon divertissement.
Vous avez vu « La nuit à dévoré le monde « ? Ce superbe huit clos français à la sauce zombies ?
Voici #Alive, le même film en sud-coréen ... Et en mieux !
On retrouve cette fois ci de l’empathie pour les (rares) personnages du film et le rythme est tout de même un peu plus présent.
Bon, ce n’est pas non plus un chef d’œuvre mais on passe tout de même un bon moment.
A vous une fois pour les amateurs du genre.
Voici #Alive, le même film en sud-coréen ... Et en mieux !
On retrouve cette fois ci de l’empathie pour les (rares) personnages du film et le rythme est tout de même un peu plus présent.
Bon, ce n’est pas non plus un chef d’œuvre mais on passe tout de même un bon moment.
A vous une fois pour les amateurs du genre.
Alive, part en live !
Un gamer geek cloîtré chez lui en Corée du Sud, est surpris en pleine partie streamée sur internet, par une pandémie d'infectés zombies très agressifs et dangereux. Pour le moment il peut se protéger en restant chez lui, mais avec le manque d'eau et de nourriture, il faudra bientôt sortir de chez lui pour tenter de s'en sortir...
Disponible sur Netflix chez nous, ce long métrage horrifique en mode huis clos une bonne partie du temps, est assez classique dans le traitement, avec le respect de toutes les étapes habituelles du genre: découverte de l'épidémie par le héros, choc, scène de meurtres urbains pour authentifier la pandémie, voisin infecté, informations télévisées ou radiophoniques pour confirmer et rencontre d'un allié inespéré etc.. Le schéma est archi classique, toutefois, le film parvient à surnager un peu grâce à son aspect hyper connecté et technologies geek. En effet, le héros aura à sa disposition des armes relativement inédites pour ce types de films, entre drones, téléphones portables ou réseaux sociaux, les armes de soutien ne manquent pas.
L'action non plus ne manque pas, avec des infectés très agressifs et plutôt nombreux, des trucages réussis et une sensation d'enfermement bien retranscrite. On aura droit là aussi à toute la panoplie habituelle des films du genre, avec la scène d'évasion spectaculaire, le duel au corps à corps, quelques méchants humains etc, on est en terrain connu.
Mais ça fonctionne, car ça reste correct, plutôt efficace, haletant, bien joué, et dépaysant dans la mesure où les films et séries de zombies se passant en Corée, bien qu'ils se popularisent (Dernier train pour Busan, Peninsula, Rampant, Kingdom) restent encore relativement rares dans nos contrées, alors sans être extraordinaire ou foncièrement original, oui j'y vais.
Un gamer geek cloîtré chez lui en Corée du Sud, est surpris en pleine partie streamée sur internet, par une pandémie d'infectés zombies très agressifs et dangereux. Pour le moment il peut se protéger en restant chez lui, mais avec le manque d'eau et de nourriture, il faudra bientôt sortir de chez lui pour tenter de s'en sortir...
Disponible sur Netflix chez nous, ce long métrage horrifique en mode huis clos une bonne partie du temps, est assez classique dans le traitement, avec le respect de toutes les étapes habituelles du genre: découverte de l'épidémie par le héros, choc, scène de meurtres urbains pour authentifier la pandémie, voisin infecté, informations télévisées ou radiophoniques pour confirmer et rencontre d'un allié inespéré etc.. Le schéma est archi classique, toutefois, le film parvient à surnager un peu grâce à son aspect hyper connecté et technologies geek. En effet, le héros aura à sa disposition des armes relativement inédites pour ce types de films, entre drones, téléphones portables ou réseaux sociaux, les armes de soutien ne manquent pas.
L'action non plus ne manque pas, avec des infectés très agressifs et plutôt nombreux, des trucages réussis et une sensation d'enfermement bien retranscrite. On aura droit là aussi à toute la panoplie habituelle des films du genre, avec la scène d'évasion spectaculaire, le duel au corps à corps, quelques méchants humains etc, on est en terrain connu.
Mais ça fonctionne, car ça reste correct, plutôt efficace, haletant, bien joué, et dépaysant dans la mesure où les films et séries de zombies se passant en Corée, bien qu'ils se popularisent (Dernier train pour Busan, Peninsula, Rampant, Kingdom) restent encore relativement rares dans nos contrées, alors sans être extraordinaire ou foncièrement original, oui j'y vais.
FaRem
"#Alive" est la version coréenne du film "Alone" (renommé "Pandemic") sorti la même année. Ce dernier est sorti après à cause de problèmes de distribution, mais les deux films sont basés sur le même scénario de Matt Naylor, donc il n'y a pas quelqu'un qui a copié l'autre comme certains ont pu le dire. Dans cette version, on suit un jeune geek qui tente de survivre dans son appartement alors que son immeuble et les alentours sont infestés de zombies. Du classique à tous les niveaux, mais un film qui fait quand même passer un sympathique moment. Il s'agit d'un huis clos sans en être totalement un et un film de zombies qui prend quelques petites libertés en flirtant avec l'aspect infecté plutôt que zombie. À cet égard, j'ai bien aimé la petite caractéristique
spoiler:
des zombies qui gardent leurs habitudes d'humains
même, si ce n'est que partiellement exploité. C'est un peu dommage, car la scène spoiler: avec le pompier qui arrive tout de même à grimper pour rejoindre l'appartement est très bonne.
Bien que ce soit un quasi huis clos, ce n'est pas si redondant que ça avec des rebondissements qui viennent relancer l'intérêt. Il y a quelques facilités comme la conclusion, et pas mal de clichés en rapport avec le genre, mais dans l'ensemble, c'est pas mal.
même, si ce n'est que partiellement exploité. C'est un peu dommage, car la scène spoiler: avec le pompier qui arrive tout de même à grimper pour rejoindre l'appartement est très bonne.
Bien que ce soit un quasi huis clos, ce n'est pas si redondant que ça avec des rebondissements qui viennent relancer l'intérêt. Il y a quelques facilités comme la conclusion, et pas mal de clichés en rapport avec le genre, mais dans l'ensemble, c'est pas mal.
Yetcha
Bien rythmé, pas mal de tension, on ne sait jamais comment ils vont s'en sortir, des effets spéciaux au poil et des acteurs crédibles au sein d'un environnement superbe et oppressant. On retrouve un peu de la fibre de "Un dernier train pour Busan" dans ce film. La fin est une ode à la technologie, toute comme l'est la Corée.
Agréable pour le genre. N'utilise pas systématiquement les codes usés du genre et mêle également le coté dramatique et psychologique. Dommage que "le" comportement humain (irrationnel envers la peur) est sous exploité. On excusera (si l'on veut) la faiblesse de la mise en scène et les nombreuses improbabilités. 3/5 !!!
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