Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Mad Movies
par Alexandre Poncet
On craignait de se retrouver face à un objet bricolé et maladroit, on découvre à notre plus grande surprise un véritable monstre de cinéma épique, dont les axes thématiques condensent toute la carrière du réalisateur.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Du cœur, du spectacle, de la gravité, de l’incarnation : l’Histoire ne se souviendra que de cette Justice League-là.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par Quentin Piton
Bien évidemment, ce projet a des défauts et n'est pas le chef d'oeuvre du genre (dans son propos et ses ambitions, Justice League 2 aurait peut-être pu l'être ?), mais il n'en reste pas moins incroyable. Plus humain, plus structuré, plus épique... il est tout ce que l'on souhaitait découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Une résurrection qui aurait pu être parfaite s'il ne s'y glissait un bémol, à savoir ses vingt minutes de conclusion en forme de cauchemar [...].
LCI
par Jérôme Vermelin
Une épopée foisonnante de quatre heures où le cinéaste laisse libre court à son style flamboyant, tout en donnant de l’air à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Simon Cherner
Enfin, Zack's Snyder's Justice League ouvre des perspectives à tout bout de champ : émaillés au fil de l'aventure puis amassés en un bloc au cours d'un long et dispensable épilogue, des tombereaux de références et de caméos - que les plus fins connaisseurs apprécieront sans doute - esquissent les grandes lignes des prochaines aventures de la ligue et de ses rangs croissants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Résultat : un film monstre de plus de quatre heures, déluge de péripéties, d’affrontements et d’effets spéciaux, qui aura comme jamais fait éprouver au spectateur que la fiction super-héroïque était potentiellement extensible à l’infini.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Sorti en 2017 dans un montage désastreux, le blockbuster maudit renaît sur HBO Max. Surprise : cette version « director’s cut » vole nettement plus haut.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Découpée en chapitres qui clarifient l'intrigue, cette version de quatre heures rend justice à la vision originelle de Zack Snyder, massacrée à la sortie de "Justice League" en 2017.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Difficile de juger Zack Snyder's Justice League, étroitement lié à la catastrophe de la version cinéma et aux plans (a priori) abandonnés de trilogie. Zack Snyder assume ces problèmes et paradoxes dans un feu d'artifice de quatre heures, où il grille toutes ses cartouches avec la joie du désespoir. C'est trop long et bordélique pour vraiment marcher, l'émotion est toujours très maigre, mais c'est suffisamment fou et étrange pour valoir le détour. Même si ça ressemble plus à une longue version alternative du même film qu'à une vision totalement différente.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Et de fait, oui, on peut désormais parler d’une gigantesque fresque épique et crépusculaire, beaucoup plus fluide et incarnée que la version 2017. (...) Mais quatre heures, c’est quand même long, surtout quand on se voit imposer une mythologie à coups de burin.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
On apprécie l'aspect plus consistant, plus unifié du long-métrage, digne produit d'un réalisateur qui a pu aller jusqu'au bout de ses idées. Néanmoins, il y a encore trop d’artificialité, de défauts hérités de cette vision, pour en faire l'aboutissement ultime de la trilogie DC de Snyder.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Léo Soesanto
Avec un découpage assumé en chapitres qui permet de souffler si on le désire entre deux tableaux, le Snyder Cut est meilleur que la version de Whedon, qui lui était aussi digeste qu’un naan kebab. En donnant forcément plus de chair aux personnages (dont Cyborg), Snyder bat ironiquement à plate couture le papa de Buffy sur le terrain narratif de ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Zack’s Snyder Justice League est un bien meilleur film que le montage de 2017. Pas un chef-d’oeuvre, même pas le meilleur superhero movie de ces dernières années, mais un projet enfin cohérent, pas dénué - osons le dire - d’une certaine poésie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Maire
Malgré sa longueur et son maniérisme, ce “cut” vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
La Snyder Cut ressemble ainsi beaucoup à l’un de ses personnages principaux, Victor Stone aka Cyborg. Son arc narratif, avec sa bascule progressive, avait été pas mal sacrifié dans la version de Whedon. Il retrouve ici toute son ampleur. Snyder est fier de son blockbuster cyborg – mort en 2017 et ressuscité aujourd’hui sous une autre forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
On craignait de se retrouver face à un objet bricolé et maladroit, on découvre à notre plus grande surprise un véritable monstre de cinéma épique, dont les axes thématiques condensent toute la carrière du réalisateur.
CinemaTeaser
Du cœur, du spectacle, de la gravité, de l’incarnation : l’Histoire ne se souviendra que de cette Justice League-là.
Filmsactu
Bien évidemment, ce projet a des défauts et n'est pas le chef d'oeuvre du genre (dans son propos et ses ambitions, Justice League 2 aurait peut-être pu l'être ?), mais il n'en reste pas moins incroyable. Plus humain, plus structuré, plus épique... il est tout ce que l'on souhaitait découvrir.
L'Ecran Fantastique
Une résurrection qui aurait pu être parfaite s'il ne s'y glissait un bémol, à savoir ses vingt minutes de conclusion en forme de cauchemar [...].
LCI
Une épopée foisonnante de quatre heures où le cinéaste laisse libre court à son style flamboyant, tout en donnant de l’air à ses personnages.
Le Figaro
Enfin, Zack's Snyder's Justice League ouvre des perspectives à tout bout de champ : émaillés au fil de l'aventure puis amassés en un bloc au cours d'un long et dispensable épilogue, des tombereaux de références et de caméos - que les plus fins connaisseurs apprécieront sans doute - esquissent les grandes lignes des prochaines aventures de la ligue et de ses rangs croissants.
Le Monde
Résultat : un film monstre de plus de quatre heures, déluge de péripéties, d’affrontements et d’effets spéciaux, qui aura comme jamais fait éprouver au spectateur que la fiction super-héroïque était potentiellement extensible à l’infini.
Le Point
Sorti en 2017 dans un montage désastreux, le blockbuster maudit renaît sur HBO Max. Surprise : cette version « director’s cut » vole nettement plus haut.
Télé Loisirs
Découpée en chapitres qui clarifient l'intrigue, cette version de quatre heures rend justice à la vision originelle de Zack Snyder, massacrée à la sortie de "Justice League" en 2017.
Ecran Large
Difficile de juger Zack Snyder's Justice League, étroitement lié à la catastrophe de la version cinéma et aux plans (a priori) abandonnés de trilogie. Zack Snyder assume ces problèmes et paradoxes dans un feu d'artifice de quatre heures, où il grille toutes ses cartouches avec la joie du désespoir. C'est trop long et bordélique pour vraiment marcher, l'émotion est toujours très maigre, mais c'est suffisamment fou et étrange pour valoir le détour. Même si ça ressemble plus à une longue version alternative du même film qu'à une vision totalement différente.
La Voix du Nord
Et de fait, oui, on peut désormais parler d’une gigantesque fresque épique et crépusculaire, beaucoup plus fluide et incarnée que la version 2017. (...) Mais quatre heures, c’est quand même long, surtout quand on se voit imposer une mythologie à coups de burin.
Le Journal du Geek
On apprécie l'aspect plus consistant, plus unifié du long-métrage, digne produit d'un réalisateur qui a pu aller jusqu'au bout de ses idées. Néanmoins, il y a encore trop d’artificialité, de défauts hérités de cette vision, pour en faire l'aboutissement ultime de la trilogie DC de Snyder.
Libération
Avec un découpage assumé en chapitres qui permet de souffler si on le désire entre deux tableaux, le Snyder Cut est meilleur que la version de Whedon, qui lui était aussi digeste qu’un naan kebab. En donnant forcément plus de chair aux personnages (dont Cyborg), Snyder bat ironiquement à plate couture le papa de Buffy sur le terrain narratif de ses débuts.
Première
Zack’s Snyder Justice League est un bien meilleur film que le montage de 2017. Pas un chef-d’oeuvre, même pas le meilleur superhero movie de ces dernières années, mais un projet enfin cohérent, pas dénué - osons le dire - d’une certaine poésie.
Télérama
Malgré sa longueur et son maniérisme, ce “cut” vaut le détour.
Les Inrockuptibles
La Snyder Cut ressemble ainsi beaucoup à l’un de ses personnages principaux, Victor Stone aka Cyborg. Son arc narratif, avec sa bascule progressive, avait été pas mal sacrifié dans la version de Whedon. Il retrouve ici toute son ampleur. Snyder est fier de son blockbuster cyborg – mort en 2017 et ressuscité aujourd’hui sous une autre forme.