Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
20 Minutes
par La Rédaction
Sa recherche d'équilibre entre réalisation / affirmation de soi et attention à l'autre / à l'intérêt général est particulièrement saisissante, et filmée ici par Jeanne Dressen avec une grande sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Si l’on s’en tient au point de vue politique et sociétal, le constat est inquiétant. Il n’en va pas de même sur un plan cinématographique. Au contraire, la permanence de ces problématiques confère à ces images d’un passé immédiat une puissance évocatrice et des résonances d’une étourdissante contemporanéité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Julien Nève
Qu’importe sa forme artisanale : en dressant le portrait d’une militante passionnée, le documentaire de Jeanne Dressen pose moult questions essentielles qui dépassent le cadre de Nuit debout pour porter le fer au cœur des mécanismes de la reproduction sociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Le film est une remémoration en clair-obscur d’un moment de lutte verticale, dont Dressen déploie la conscience successivement combative et dégrisée. A la fin, celle-ci s’est comme dissoute dans l’air, un an après ses premières vibrations. A la place, et d’ici à la suivante, il restera ce film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Mathilde Blottière
Chronique sensible d’une jeunesse engagée, ce documentaire autoproduit soulève des questions cruciales : pourquoi lutter et de quelle façon ? Il réussit surtout le portrait émouvant d’une fille d’ouvrier, aussi désireuse de participer à la marche du monde que tourmentée à l’idée de trahir son milieu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Jeanne Dressen reste à bonne distance pour filmer Savannah Anselme fêtant son anniversaire chez son père ou s’interrogeant face caméra sur les choix qui l’attendent : doit-elle se projeter dans une scolarité à Normale-Sup (où elle est finalement admise) et faire de la recherche ?
Positif
par Louise Dumas
Mais c’est sans doute dans ses ambiguïtés mêmes que ce documentaire est symptomatique des tensions politiques et sociales qui travaillent notre époque. En cela, il est une vraie contribution au débat public et ne manquera pas de provoquer des réactions chez tous ceux qui s’intéressent à ces questions.
Première
par Thomas Baurez
Sous son apparente simplicité, À ma place parvient à saisir les dilemmes d’une héroïne des temps modernes.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un film, A ma place témoigne d’une certaine jeunesse qui ne trouve plus sa place dans le monde des adultes et des politiques. Un documentaire sensible et attachant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Sa recherche d'équilibre entre réalisation / affirmation de soi et attention à l'autre / à l'intérêt général est particulièrement saisissante, et filmée ici par Jeanne Dressen avec une grande sensibilité.
L'Humanité
Si l’on s’en tient au point de vue politique et sociétal, le constat est inquiétant. Il n’en va pas de même sur un plan cinématographique. Au contraire, la permanence de ces problématiques confère à ces images d’un passé immédiat une puissance évocatrice et des résonances d’une étourdissante contemporanéité.
Les Fiches du Cinéma
Qu’importe sa forme artisanale : en dressant le portrait d’une militante passionnée, le documentaire de Jeanne Dressen pose moult questions essentielles qui dépassent le cadre de Nuit debout pour porter le fer au cœur des mécanismes de la reproduction sociale.
Libération
Le film est une remémoration en clair-obscur d’un moment de lutte verticale, dont Dressen déploie la conscience successivement combative et dégrisée. A la fin, celle-ci s’est comme dissoute dans l’air, un an après ses premières vibrations. A la place, et d’ici à la suivante, il restera ce film.
Télérama
Chronique sensible d’une jeunesse engagée, ce documentaire autoproduit soulève des questions cruciales : pourquoi lutter et de quelle façon ? Il réussit surtout le portrait émouvant d’une fille d’ouvrier, aussi désireuse de participer à la marche du monde que tourmentée à l’idée de trahir son milieu.
Le Monde
Jeanne Dressen reste à bonne distance pour filmer Savannah Anselme fêtant son anniversaire chez son père ou s’interrogeant face caméra sur les choix qui l’attendent : doit-elle se projeter dans une scolarité à Normale-Sup (où elle est finalement admise) et faire de la recherche ?
Positif
Mais c’est sans doute dans ses ambiguïtés mêmes que ce documentaire est symptomatique des tensions politiques et sociales qui travaillent notre époque. En cela, il est une vraie contribution au débat public et ne manquera pas de provoquer des réactions chez tous ceux qui s’intéressent à ces questions.
Première
Sous son apparente simplicité, À ma place parvient à saisir les dilemmes d’une héroïne des temps modernes.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un film, A ma place témoigne d’une certaine jeunesse qui ne trouve plus sa place dans le monde des adultes et des politiques. Un documentaire sensible et attachant.