Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Emma Mackey fait vibrer le film par sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un excellent premier long-métrage qui entremêle habilement biopic et adaptation littéraire, pour saisir au mieux ce qu'a pu être l'existence tragique et la personnalité sauvage de l'une des plus grandes figures de l'histoire de la littérature. Le tout soutenu par les performances parfaites d'Emma Mackey et d'Oliver Jackson-Cohen.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Emma Mackey prouve à nouveau la finesse de son jeu.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce récit biographique restitue bien le climat de l'époque dans un montage actuel, aux ellipses efficaces.
Le Figaro
par E. N.
Emma Mackey soutient de bout en bout cette genèse d'un chef-d'œuvre. Elle est sauvage, tourmentée : une abeille contre la vitre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Poétique et subtil, Emily forme un joli film sur le pouvoir de l’imagination, porté par l’interprétation intense et habitée d’Emma Mackey.
Paris Match
par Yannick Vely
Beau film sur la fièvre de l'écriture, « Emily » est aussi le portrait d'une femme en avance accélérée sur son temps.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour sa première réalisation, l’actrice Frances O’Connor filme une Emily Brontë flamboyante, incarnation d’une jeunesse exaltée qui veut tout vivre. Avec l’étonnante Emma Mackey dans le rôle de cette figure de proue de la création féminine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Emily a cette originalité audacieuse de raconter l'écrivaine en partie par la fiction et notamment une romance totalement inventée.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Si Emma Mackey, star de la série Netflix Sex Education, donne au rôle une détermination contemporaine, s’épanouissant surtout dans les séquences de solitude et de silence, le trouble provient dès que la mise en scène lui résiste, décale ses regards, se décentre d’elle par un travelling subjectif hérité du cinéma fantastique et accentue sa sécheresse, à la recherche d’une dépossession et non d’un déploiement affectif.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film rend hommage à l'audace et au romanesque de son écriture notamment parce que l'histoire d'amour tragique entre Emily et William essaie de redonner du sens à l'existence éphémère de Brontë.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Libre variation sur la vie d’Emily Brontë et de sa famille, moins ses sœurs Charlotte et Anne que son frère débauché Branwell, Emily s’égare dans une romance standard, les amours clandestins de l’auteure des Hauts de Hurlevent, avant de s’élever vers une fiction biographique supérieure aux atmosphères gothiques.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Parmi les nombreux films autour des Sœurs Brontë, le film de Frances O’Connor ne se démarque pas de ses prédécesseurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Aurélia de Spirt
Les images prennent un tour pictural avec la multiplication de plans fixes aux allures de tableau clair-obscur de Vermeer. Hélas, une histoire d’amour fictive avec un vicaire, William Weightman, dont la mort aurait poussé Emily à écrire son roman, outrepasse les aspects historiques pourtant très fins du récit. Du grandiose, le film sombre dans la guimauve.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Les puristes critiqueront ; les spectateurs y trouvent leur compte. Romantisme garanti.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Évocation très libre de la courte vie de la plus farouche des sœurs Brontë, « Emily », premier film de Frances O’Connor, évite habilement le piège du biopic et offre un premier rôle en or à Emma Mackey.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Libre variation sur la vie d’Emily Brontë et de sa famille, moins ses sœurs Charlotte et Anne que son frère débauché Branwell, Emily s’égare dans une romance standard, les amours clandestins de l’auteure des Hauts de Hurlevent, avant de s’élever vers une fiction biographique supérieure aux atmosphères gothiques.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Frances O’Connor nous épargne un énième récit romantique et enfiévré à la gloire de l’une des stars de la littérature anglaise en se focalisant sur le mal-être d’un esprit trop libre dans une époque conservatrice.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Frédéric Foubert
L’arme fatale du film, c’est son interprète, Emma Mackey, de qui O’Connor semble totalement éprise, captant en gros plans obsédants son magnétisme frondeur, ses yeux intimidants qui expriment si puissamment la haine de la bêtise et du conformisme. Grand film d’actrices, des deux côtés de la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
La grande faiblesse de ce biopic très romancé, c’est son récit, sans surprise. Mais une énergie farouche se dégage de la réalisation, vivace, et de l’incarnation magnétique d’Emma Mackey.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Emma Mackey illumine l’écran de son interprétation fiévreuse, hautement contagieuse.
Libération
par Camille Nevers
Lesté par un épais conformisme romantique, le film de Frances O’Connor passe à côté de la vérité et de l’esprit de l’autrice des «Hauts de Hurlevent».
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le réalisme historique est de très loin l’effet recherché de Frances O’Connor, le traitement hyper romantique de ce récit réinventé d’Emily Brontë nuit véritablement à l’intérêt du propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Malgré ces torsions signifiantes dans la toile appliquée de la reconstitution, le film n’échappe pas à la pesante téléologie du récit biographique : tout, dans la passion prohibée d’Emily pour un jeune pasteur, ou son entente secrète avec un frère renégat, ne fait que paver la voie des Hauts de Hurlevent, roman sur l’écriture duquel le film se conclut en apothéose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Ceux qui connaissent bien l’histoire réelle des sœurs Brontë ne pourront qu’écarquiller les yeux au fil de ce récit à dormir debout. Car Emily n’a jamais connu le moindre flirt dans sa vie. Le film se permet d’autres libertés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
Emma Mackey fait vibrer le film par sa sensibilité.
Ecran Large
Un excellent premier long-métrage qui entremêle habilement biopic et adaptation littéraire, pour saisir au mieux ce qu'a pu être l'existence tragique et la personnalité sauvage de l'une des plus grandes figures de l'histoire de la littérature. Le tout soutenu par les performances parfaites d'Emma Mackey et d'Oliver Jackson-Cohen.
Elle
Emma Mackey prouve à nouveau la finesse de son jeu.
Femme Actuelle
Ce récit biographique restitue bien le climat de l'époque dans un montage actuel, aux ellipses efficaces.
Le Figaro
Emma Mackey soutient de bout en bout cette genèse d'un chef-d'œuvre. Elle est sauvage, tourmentée : une abeille contre la vitre.
Les Fiches du Cinéma
Poétique et subtil, Emily forme un joli film sur le pouvoir de l’imagination, porté par l’interprétation intense et habitée d’Emma Mackey.
Paris Match
Beau film sur la fièvre de l'écriture, « Emily » est aussi le portrait d'une femme en avance accélérée sur son temps.
Télérama
Pour sa première réalisation, l’actrice Frances O’Connor filme une Emily Brontë flamboyante, incarnation d’une jeunesse exaltée qui veut tout vivre. Avec l’étonnante Emma Mackey dans le rôle de cette figure de proue de la création féminine.
Voici
Emily a cette originalité audacieuse de raconter l'écrivaine en partie par la fiction et notamment une romance totalement inventée.
Cahiers du Cinéma
Si Emma Mackey, star de la série Netflix Sex Education, donne au rôle une détermination contemporaine, s’épanouissant surtout dans les séquences de solitude et de silence, le trouble provient dès que la mise en scène lui résiste, décale ses regards, se décentre d’elle par un travelling subjectif hérité du cinéma fantastique et accentue sa sécheresse, à la recherche d’une dépossession et non d’un déploiement affectif.
CinemaTeaser
Le film rend hommage à l'audace et au romanesque de son écriture notamment parce que l'histoire d'amour tragique entre Emily et William essaie de redonner du sens à l'existence éphémère de Brontë.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Libre variation sur la vie d’Emily Brontë et de sa famille, moins ses sœurs Charlotte et Anne que son frère débauché Branwell, Emily s’égare dans une romance standard, les amours clandestins de l’auteure des Hauts de Hurlevent, avant de s’élever vers une fiction biographique supérieure aux atmosphères gothiques.
Franceinfo Culture
Parmi les nombreux films autour des Sœurs Brontë, le film de Frances O’Connor ne se démarque pas de ses prédécesseurs.
L'Humanité
Les images prennent un tour pictural avec la multiplication de plans fixes aux allures de tableau clair-obscur de Vermeer. Hélas, une histoire d’amour fictive avec un vicaire, William Weightman, dont la mort aurait poussé Emily à écrire son roman, outrepasse les aspects historiques pourtant très fins du récit. Du grandiose, le film sombre dans la guimauve.
L'Obs
Les puristes critiqueront ; les spectateurs y trouvent leur compte. Romantisme garanti.
La Croix
Évocation très libre de la courte vie de la plus farouche des sœurs Brontë, « Emily », premier film de Frances O’Connor, évite habilement le piège du biopic et offre un premier rôle en or à Emma Mackey.
Le Dauphiné Libéré
Libre variation sur la vie d’Emily Brontë et de sa famille, moins ses sœurs Charlotte et Anne que son frère débauché Branwell, Emily s’égare dans une romance standard, les amours clandestins de l’auteure des Hauts de Hurlevent, avant de s’élever vers une fiction biographique supérieure aux atmosphères gothiques.
Le Journal du Dimanche
Frances O’Connor nous épargne un énième récit romantique et enfiévré à la gloire de l’une des stars de la littérature anglaise en se focalisant sur le mal-être d’un esprit trop libre dans une époque conservatrice.
Première
L’arme fatale du film, c’est son interprète, Emma Mackey, de qui O’Connor semble totalement éprise, captant en gros plans obsédants son magnétisme frondeur, ses yeux intimidants qui expriment si puissamment la haine de la bêtise et du conformisme. Grand film d’actrices, des deux côtés de la caméra.
Sud Ouest
La grande faiblesse de ce biopic très romancé, c’est son récit, sans surprise. Mais une énergie farouche se dégage de la réalisation, vivace, et de l’incarnation magnétique d’Emma Mackey.
Télé 7 Jours
Emma Mackey illumine l’écran de son interprétation fiévreuse, hautement contagieuse.
Libération
Lesté par un épais conformisme romantique, le film de Frances O’Connor passe à côté de la vérité et de l’esprit de l’autrice des «Hauts de Hurlevent».
aVoir-aLire.com
Si le réalisme historique est de très loin l’effet recherché de Frances O’Connor, le traitement hyper romantique de ce récit réinventé d’Emily Brontë nuit véritablement à l’intérêt du propos.
Le Monde
Malgré ces torsions signifiantes dans la toile appliquée de la reconstitution, le film n’échappe pas à la pesante téléologie du récit biographique : tout, dans la passion prohibée d’Emily pour un jeune pasteur, ou son entente secrète avec un frère renégat, ne fait que paver la voie des Hauts de Hurlevent, roman sur l’écriture duquel le film se conclut en apothéose.
Le Parisien
Ceux qui connaissent bien l’histoire réelle des sœurs Brontë ne pourront qu’écarquiller les yeux au fil de ce récit à dormir debout. Car Emily n’a jamais connu le moindre flirt dans sa vie. Le film se permet d’autres libertés.