Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
Un plan du Kiosque, anodin en apparence, est révélateur en substance de la peine réussite du premier long métrage d'Alexandre Pianelli : protéiforme, il étreint le présent comme un tissu à géométrie variable, composé et traversé d'éléments disparates qui tiennent ensemble grâce à l'acuité de la cinéaste.
L'Humanité
par La Rédaction
Dans un enthousiasmant documentaire politico-poétique, Alexandra Pianelli croque des personnages savoureux derrière le comptoir d’un kiosque à journaux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Hélène Riffaudeau
Un film tendre et inventif qui explique, en parallèle, la crise de la presse et se demande si le kiosque familial lui survivra.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Le Kiosque interroge avec finesse la capacité miraculeuse du documentaire à condenser dans un objet minuscule une densité inattendue de sujets, de poèmes, de sens.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Bourrée d’un humour malicieux, une tranche de vie tendre et originale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Construit comme une sorte de journal intime, ce documentaire original qui fustige l’esprit de sérieux, donne à voir une aventure familiale sur plusieurs générations, dresse le portrait de quelques habitués d’un quartier parisien et, sans didactisme, mais avec une mélancolie malheureusement lucide, déplore la raréfaction des kiosques et donc des journaux dans notre quotidien inconsolable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire à la nostalgie savoureuse.
Télérama
par François Ekchajzer
Un premier film sensible, drôle et émouvant, dans lequel on est tenté de voir l’acte de naissance d’une cinéaste attentive aux battements de la vie, telle qu’elle la voit, telle qu’elle la vit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Rendre attrayant un documentaire consacré au métier peu valorisé qu’est celui de kiosquier, tel est le pari osé qu’Alexandra Pianelli relève avec panache.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marin Gérard
Un petit film qui raconte un grand drame, celui d'une institution qui se délite, et dont la fin brutale et pourtant inévitable accouche d'une émouvante tristesse résignée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Grâce à son désir d'être film et à ses histoires intimes, Le Kiosque brave avec ingéniosité ses limites matérielles, tant économiques que métriques. Un premier long-métrage documentaire bricolé en solitaire mais inévitablement connecté à la vie qui s'infiltre dans ses cadres exigus.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Aude Carasco
Avec son Iphone, préféré à la caméra de cinéma, plus encombrante et intimidante, Alexandra Pianelli décrit avec humour et dérision l’envers du décor du métier : l’exiguïté du lieu, l’absence de toilettes, le froid, le paiement comptant de titres imposés, des magazines toujours plus nombreux pour des clients sans cesse plus rares…
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film émeut en tirant le portrait d'un petit bout de France voué à disparaître avec le papier imprimé.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le Kiosque est ce qu’on pourrait appeler de l’infra-cinéma, plein d’humour et de tendresse, qui éclaire tout un pan de Paris et de ses commerces d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Car la légèreté joyeuse qui entoure ce documentaire contraste joliment avec sa fin qu’on sait d’emblée inéluctable : la fermeture de cette institution de quartier. Être nostalgique mais jamais passéiste, voilà la force de ce Kiosque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Un plan du Kiosque, anodin en apparence, est révélateur en substance de la peine réussite du premier long métrage d'Alexandre Pianelli : protéiforme, il étreint le présent comme un tissu à géométrie variable, composé et traversé d'éléments disparates qui tiennent ensemble grâce à l'acuité de la cinéaste.
L'Humanité
Dans un enthousiasmant documentaire politico-poétique, Alexandra Pianelli croque des personnages savoureux derrière le comptoir d’un kiosque à journaux.
L'Obs
Un film tendre et inventif qui explique, en parallèle, la crise de la presse et se demande si le kiosque familial lui survivra.
La Septième Obsession
Le Kiosque interroge avec finesse la capacité miraculeuse du documentaire à condenser dans un objet minuscule une densité inattendue de sujets, de poèmes, de sens.
Les Fiches du Cinéma
Bourrée d’un humour malicieux, une tranche de vie tendre et originale.
Marianne
Construit comme une sorte de journal intime, ce documentaire original qui fustige l’esprit de sérieux, donne à voir une aventure familiale sur plusieurs générations, dresse le portrait de quelques habitués d’un quartier parisien et, sans didactisme, mais avec une mélancolie malheureusement lucide, déplore la raréfaction des kiosques et donc des journaux dans notre quotidien inconsolable.
Ouest France
Un documentaire à la nostalgie savoureuse.
Télérama
Un premier film sensible, drôle et émouvant, dans lequel on est tenté de voir l’acte de naissance d’une cinéaste attentive aux battements de la vie, telle qu’elle la voit, telle qu’elle la vit.
aVoir-aLire.com
Rendre attrayant un documentaire consacré au métier peu valorisé qu’est celui de kiosquier, tel est le pari osé qu’Alexandra Pianelli relève avec panache.
Critikat.com
Un petit film qui raconte un grand drame, celui d'une institution qui se délite, et dont la fin brutale et pourtant inévitable accouche d'une émouvante tristesse résignée.
Culturopoing.com
Grâce à son désir d'être film et à ses histoires intimes, Le Kiosque brave avec ingéniosité ses limites matérielles, tant économiques que métriques. Un premier long-métrage documentaire bricolé en solitaire mais inévitablement connecté à la vie qui s'infiltre dans ses cadres exigus.
La Croix
Avec son Iphone, préféré à la caméra de cinéma, plus encombrante et intimidante, Alexandra Pianelli décrit avec humour et dérision l’envers du décor du métier : l’exiguïté du lieu, l’absence de toilettes, le froid, le paiement comptant de titres imposés, des magazines toujours plus nombreux pour des clients sans cesse plus rares…
Le Monde
Le film émeut en tirant le portrait d'un petit bout de France voué à disparaître avec le papier imprimé.
Les Inrockuptibles
Le Kiosque est ce qu’on pourrait appeler de l’infra-cinéma, plein d’humour et de tendresse, qui éclaire tout un pan de Paris et de ses commerces d’aujourd’hui.
Première
Car la légèreté joyeuse qui entoure ce documentaire contraste joliment avec sa fin qu’on sait d’emblée inéluctable : la fermeture de cette institution de quartier. Être nostalgique mais jamais passéiste, voilà la force de ce Kiosque.