Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette production de Michael Bay se révèle fort efficace pour mêler les ingrédients d’une histoire d’amour et d’un film catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par La Rédaction
"Songbird" ne fait pas dans la dentelle avec cette romance anxiogène au cœur d'un chaos épidémique dans lequel on est forcément tenté de se projeter, mais s'avère très divertissant, tout en fourmillant de bonnes idées, dopées par des effets spéciaux bluffants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
[...] une série B catastrophe honnête, mais instantanément oubliable [...].
Ecran Large
par Antoine Desrues
"Songbird" est bien le film opportuniste que tout le monde craignait, dont le manque de sensibilité n'a d'égal que le je-m'en-foutisme de sa fabrication. Au-delà de la curiosité malsaine, difficile de défendre une proposition aussi creuse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
De la SF intimiste et dystopique qui donnerait plutôt envie de revoir le classique "Omega Man" de Boris Sagal avec Charlton Heston sorti voici déjà un demi-siècle.
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Anxiogène à souhait, cette production Michael Bay aurait pu être un bon thriller dystopique (...). Mais, avec sa réalisation scolaire, elle se contente de se servir paresseusement du contexte comme d’un décor pour raconter une pauvre histoire d’amour.
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Produit par Michael Bay et tourné dans les rues désertes de Los Angeles pendant l'été 2020, ce premier film labellisé “Covid” évite de mettre en scène le seul réel affect qui a marqué notre confinement, l'ennui, au profit d'une esthétique cheap et épileptique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Il y a encore un an, on aurait regardé cette production Michael Bay comme un inoffensif nanar, une série B à l’esthétique approximative dont la seule mission aurait été d’occuper notre samedi soir. Aujourd’hui, à l’heure où l’industrie est pratiquement à l’arrêt et que la Terre entière se raccroche à l’espoir d’une sortie de crise, difficile de ne pas trouver le film d’un opportunisme franchement dégueulasse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Tout ça pourrait distraire, ou au moins faire glousser, s’il s’agissait d’une histoire d’invasion extraterrestre, mais la proximité du spectateur avec le sujet rend le visionnage, à vrai dire, plutôt éprouvant. Est-il trop tôt pour faire du pur divertissement avec le Covid ? Pas nécessairement. Mais se démener pour dégainer, le premier, un nanar aussi maladroit n’était assurément « pas essentiel ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Cette production de Michael Bay se révèle fort efficace pour mêler les ingrédients d’une histoire d’amour et d’un film catastrophe.
Le Parisien
"Songbird" ne fait pas dans la dentelle avec cette romance anxiogène au cœur d'un chaos épidémique dans lequel on est forcément tenté de se projeter, mais s'avère très divertissant, tout en fourmillant de bonnes idées, dopées par des effets spéciaux bluffants.
Mad Movies
[...] une série B catastrophe honnête, mais instantanément oubliable [...].
Ecran Large
"Songbird" est bien le film opportuniste que tout le monde craignait, dont le manque de sensibilité n'a d'égal que le je-m'en-foutisme de sa fabrication. Au-delà de la curiosité malsaine, difficile de défendre une proposition aussi creuse.
L'Ecran Fantastique
De la SF intimiste et dystopique qui donnerait plutôt envie de revoir le classique "Omega Man" de Boris Sagal avec Charlton Heston sorti voici déjà un demi-siècle.
Le Journal du Dimanche
Anxiogène à souhait, cette production Michael Bay aurait pu être un bon thriller dystopique (...). Mais, avec sa réalisation scolaire, elle se contente de se servir paresseusement du contexte comme d’un décor pour raconter une pauvre histoire d’amour.
Les Inrockuptibles
Produit par Michael Bay et tourné dans les rues désertes de Los Angeles pendant l'été 2020, ce premier film labellisé “Covid” évite de mettre en scène le seul réel affect qui a marqué notre confinement, l'ennui, au profit d'une esthétique cheap et épileptique.
Première
Il y a encore un an, on aurait regardé cette production Michael Bay comme un inoffensif nanar, une série B à l’esthétique approximative dont la seule mission aurait été d’occuper notre samedi soir. Aujourd’hui, à l’heure où l’industrie est pratiquement à l’arrêt et que la Terre entière se raccroche à l’espoir d’une sortie de crise, difficile de ne pas trouver le film d’un opportunisme franchement dégueulasse.
Télérama
Tout ça pourrait distraire, ou au moins faire glousser, s’il s’agissait d’une histoire d’invasion extraterrestre, mais la proximité du spectateur avec le sujet rend le visionnage, à vrai dire, plutôt éprouvant. Est-il trop tôt pour faire du pur divertissement avec le Covid ? Pas nécessairement. Mais se démener pour dégainer, le premier, un nanar aussi maladroit n’était assurément « pas essentiel ».