Note moyenne
3,6
14 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Culturopoing.com
Un témoignage indispensable, dominé par une esthétique séduisante et cohérente, qui pourrait sensibiliser un large public si le film bénéficiait d’une diffusion plus ample. Ce qu’il mérite amplement.
Ecran Large
My Favorite War regorge d'idées dans son découpage, son montage et son écriture.
Franceinfo Culture
My Favorite War relève des récits particuliers qui touche l’universel, sous une forme originale, pertinente et esthétique.
Le Parisien
Une pépite qui prend encore plus de sens en cette période de guerre à l’Est.
Les Fiches du Cinéma
Née en 1971 dans une Lettonie encore soviétique, Ilze Burkovska Jacobsen nous raconte avec une lucidité aussi roborative que terrible, sur fond de dessins animés et d’images d’archives, la lutte qu’elle mena sur elle-même pour acquérir sa liberté de penser.
Les Inrockuptibles
Un film d’animation sur l’émancipation par la pensée, aussi singulier en termes d’esthétique que pertinent par son témoignage historique.
Positif
Avec grâce et gravité, ce film conçu par des admirateurs de Youri Norstein revendique son didactisme démocratique. Une lutte continue.
Télérama
Une œuvre à la fois sombre et lumineuse, porteuse d’espoir.
aVoir-aLire.com
Un petit chef-d’œuvre d’animation qui tombe à point au milieu de la tourmente effroyable que subit l’Ukraine.
L'Obs
En choisissant l’animation, idéal terrain d’images de l’enfance, et en jouant d’un dessin qui reprend à son compte le trait appuyé et martial des affiches de propagande de l’époque, la cinéaste brise le rêve idéologique qui fut le sien. La mise en scène manque parfois de fluidité, mais le sujet vaut la découverte.
Le Monde
Ne serait-ce qu’à ce titre, en dépit de certaines faiblesses narratives, ce dessin animé doit être vu à la lumière de la guerre qui s’est rallumée en Europe.
Libération
Rarement le film parvient à s’élever au-delà de sa mission édificatrice. Trop souvent à plat, My Favorite War semble oublier que l’usage de la première personne autorise quelque chose de plus intime.
Paris Match
Si le graphisme très particulier inspiré des dessins de propagande de l'époque peut désorienter, la force du propos et sa troublante d'actualité impriment durablement les esprits.
Première
Découvrir ce film dans le contexte actuel de la guerre en Ukraine lui donne forcément une portée particulière. Dommage cependant que le ton un brin monocorde de l’ensemble empêche de se laisser totalement envahir par ce voyage.