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J’aurais aimé voir ce film au cinéma pour apprécier le jeu tout en finesse de l’actrice principale mais j’ai malheureusement du me contenter d’Amazon prime. Moana Ferré donne envie de suivre ce drame psychologique dans ce film tout en nuance. Un grand moment de cinéma !
Moana Ferré dévoile son jeu subtile dans ce film assez élégant. Certes il y a des longueurs mais le jeu de la comédienne nous emporte dans un état de grâce.
Le jeu tout en pudeur de Moana Ferré mérite de s'attarder sur ce film. Certes on sent que le réalisateur n'a pas eu les moyens de faire le faire qu'il espérait, mais tous les comédiens sont très bien. Moana Ferré parvient à nous émouvoir et à donner une âme au film.
Un jeu d actrice plus que médiocre de moana ferré... Ce film aurait mérité une actrice avec plus de panache . Le scénario est d une banalité et d un ennui .... Bref a éviter si vous souhaiter être surpris
Dans Méprises, une idylle de rêve née de la rencontre au musée, par hasard, d’une femme (sublime Moana Ferré), comme dans les contes de fées, se transforme en le plus sombre cauchemar qui pourrait vous arriver. Pascal Grégori, médecin reconnu, socialement brillant, féroce, élégant mais cruel, souffre le martyre dans son mariage. Sa vie parfaite de médecin célèbre règnant comme un dieu sur une clinique psychiatrique, est dramatiquement terne et vide d’amour, le pauvre n’arrivant pas à obtenir l’amour et la passion qu’il attend de sa femme, qui a la cuisse maladivement légère, et lui préfère un amant rencontré au hasard. Ce thriller est un jeu visuel à travers des tableaux étranges, un univers de gens riches baignant dans le luxe, un services psychiatriques froid et terrifiant, des personnages isolés et un conte de fées sombre. Le mystère se tisse autour de cette femme prisonnière de son mari à la jalousie maladive, et dont le passé mystérieux révèlent doucement ses secrets, jusqu’à un ultime final qui ne manque pas de faire froid dans le dos.
Que c'est mal joué ! Ça donne mal à la tête ces productions francophones d'une vacuité sidérale. La mise en scène est aussi plate qu'un encéphalogramme de mort cérébrale. A fuir absolument !
un très bon film mettant en avant la vraie nature des femmes.
d'aucuns trouveront que c'est un peu caricatural.
les acteurs ne sont en effet pas à leur apogée, mais le scénario se tient
en clair, à voir
d'aucuns trouveront que c'est un peu caricatural.
les acteurs ne sont en effet pas à leur apogée, mais le scénario se tient
en clair, à voir
Mauvais!Mauvais! Que c'est mauvais!!
On dirait un épisode des sitcoms de la TNT "c'est arrivé près de chez vous" "au nom de la vérité" et là c'est : "ma femme jobarde me trompe, j'en suis sur!" C'est la même qualité d'acteurs que ces sitcoms!! Mal joué,mal filmé , scénario en carton (on connait la fin dès le début,merci) Moana Ferré est à gifler en permanence , les autres valent guère mieux...
Le pitch aurait pu être intéressant si ça avait été traité entre angoisse et fantastique mais là c'est un naufrage!!
On dirait un épisode des sitcoms de la TNT "c'est arrivé près de chez vous" "au nom de la vérité" et là c'est : "ma femme jobarde me trompe, j'en suis sur!" C'est la même qualité d'acteurs que ces sitcoms!! Mal joué,mal filmé , scénario en carton (on connait la fin dès le début,merci) Moana Ferré est à gifler en permanence , les autres valent guère mieux...
Le pitch aurait pu être intéressant si ça avait été traité entre angoisse et fantastique mais là c'est un naufrage!!
tixou0
Le Dr Lepage (Pascal Greggory) est atteint de jalousie obsessionnelle .
spoiler:
Son ancienne patiente (des années durant)
et épouse depuis 3 ans, "Françoise" (Moanna Ferré), la bonne quarantaine, version androgyne, entretient cette pathologie, qui enchaîne les conquêtes. Toutes éphémères cependant, car elle est incapable de susciter le moindre attachement durable - comme le lui serine son vieillard de mari (25 ans de plus qu'elle, à l'estime). Quand se présente (hasard ?) à la consultation du médecin, "Jacques" (Fabrizio Rongione - celui des frères Dardenne), le nouvel amant de Françoise, auquel le praticien diagnostique une tumeur au cerveau, et propose une thérapie révolutionnaire, mais risquée....
Ce "Méprises" belge a des qualités certaines au niveau formel - ce qui ne surprend pas quand on apprend que le réalisateur, Bernard Declercq, est aussi plasticien. Mais c'est le seul attrait, l'esthétique, que l'on portera vraiment au crédit de ce (heureusement) plutôt court premier "long" mis en scène seul par BD (déjà auteur de courts métrages, et co-réalisateur, à plusieurs reprises)...le scénario, spécialement, manquant de fond.
et épouse depuis 3 ans, "Françoise" (Moanna Ferré), la bonne quarantaine, version androgyne, entretient cette pathologie, qui enchaîne les conquêtes. Toutes éphémères cependant, car elle est incapable de susciter le moindre attachement durable - comme le lui serine son vieillard de mari (25 ans de plus qu'elle, à l'estime). Quand se présente (hasard ?) à la consultation du médecin, "Jacques" (Fabrizio Rongione - celui des frères Dardenne), le nouvel amant de Françoise, auquel le praticien diagnostique une tumeur au cerveau, et propose une thérapie révolutionnaire, mais risquée....
Ce "Méprises" belge a des qualités certaines au niveau formel - ce qui ne surprend pas quand on apprend que le réalisateur, Bernard Declercq, est aussi plasticien. Mais c'est le seul attrait, l'esthétique, que l'on portera vraiment au crédit de ce (heureusement) plutôt court premier "long" mis en scène seul par BD (déjà auteur de courts métrages, et co-réalisateur, à plusieurs reprises)...le scénario, spécialement, manquant de fond.
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