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La saga culte "Rocky" commence avec ce film : "Rocky". On y suit un boxeur de seconde zone qui a raté sa vie, Rocky Balboa, et qui va avoir l'opportunité innespérée de jouer pour le titre de champion du monde de boxe. C'est en incarnant ce boxeur que Sylvester Stallone se fit connaître du grand public. Il s'est beaucoup impliqué dans ce personnage en écrivant notamment le scénario du premier film de cette saga. En parlant de ce scénario, il a un imposant défaut : il ne contient qu'un seul rebondissement. Et ce défaut détériore sur tout le film car l'ennuie monte progressivement pendant la première partie du film jusqu'à ce rebondissement qui donne un vrai coup de boost à l'histoire. Et comme si ça ne suffisait pas, le film est long : environ 2 heures. Pour raconter ce récit, 1h30 aurait suffit mais le film s'étale et provoque des longueurs qui contribuent à l'ennuie du spectateur. Étrangement, on s'attache tout de même à ce boxeur à qui une chance unique est offerte. La deuxième partie du film se rattrape avec l'entrainement et le célèbre thème qui l'accompagne. Le film se met enfin à bouger et cela compense les faiblesses du début.
Le premier et bien sur le meilleur de la série ; culte pour toute une génération .
Re vu une enième fois sur D8... Il faut bien dire que c'est un petit chef d'œuvre de (déjà) 1976. Les décors la musique, le scénario écrit par Stalonne (sans doute son meilleur film). Alors que le 3 passait juste avant & est super aussi mais le combat final du 3 n'est franchement pas très réaliste.
"Rocky" arrive au milieu des années 70 comme un véritable OVNI du cinéma, longtemps considéré comme un film d'action sur la boxe, ce film est tout de même bien plus que cela. Il raconte l'histoire d'un petit boxeur de quartier (Sylvester Stallone) se voyant proposer un combat contre le champion du monde des poids lourds Apollo Creed (Carl Weathers) pour le titre suprême. Le film se veut avant tout intimiste et profond, ne se basant pas sur le côté spectaculaire et le divertissement, ce qui sera la ligne de conduite des suites mis à par "Rocky Balboa" le sixième opus de la saga. Sylvester Stalone, étant lui même le scénariste du film, prend le rôle de Rocky et en est la grande révélation, ce qui sera un tremplin pour sa carrière d'acteur, il est juste exceptionnel dans ce rôle. Le reste du casting est également très convaincant, notamment Burt Young en beau frère magouilleur. La bande originale est absolument légendaire et le combat final terriblement efficace et émouvant. Un film culte pour toute une génération.
Le début est un peu long, mais la fin est époustouflante! Il met de temps à démarrer mais ça en vaut la peine!
Rocky est un chef d'oeuvre, un véritable monument du cinéma qui a dressé Rocky Balboa au rang de personnage culte et d'icone de la boxe.
On peut toujours critiquer, mais Rocky reste un très bon film qui a marqué le cinéma et une époque. La musique deviendra culte, Stallone semble ici dans son élément et se propulse avec ce film vers l'avant de la scène. A ne pas manquer.
Un très bon film où l'on voit Stalone sous un autre jour, avec un rôle plus tendre et moins creux qu'à l’accoutumée. Le film est réellement prenant jusqu'au dénouement final.
Je ne sais pas trop comment juger la prestation de Stallone dans ce premier film, à la fois je trouve qu'il en fait des caisses, et en même temps son personnage reste assez crédible, c'est très étrange. Quoi qu'il en soit on découvre pour la première fois un Rocky Balboa très attachant, une mise en scène simple et élégante et un scénario ma foi très bien construit. Je suis un peu déçu car le combat contre Apollo me semblait un peu plus spectaculaire, mais cela n'enlève en rien le charme de ce premier opus intimiste. La légende est née.
Un film culte, sans aucun doute, avec une magnifique musique, un bon Stallone, et une belle histoire.
Mais que la 1ère moitié est lente et molle, et que le seconde est intéressante, avec ce combat final, et ce cris final, ADRIAN!!!
Culte je vous dis.
Mais que la 1ère moitié est lente et molle, et que le seconde est intéressante, avec ce combat final, et ce cris final, ADRIAN!!!
Culte je vous dis.
Premier épisode de la saga, relatant l'histoire d'un boxeur raté, qui vivote, un peu naïf, qui a du mal à lire et écrire, un looser auquel personne ne remarque. Pourtant à qui on donne la chance de se battre contre le champion du monde des poids lourds de boxe, combattre pour le titre. Et c'est là que tout a son importance, car il se trouve que notre raté, boxeur du dimanche fait preuve d'une grande résistance, et est prêt à en découdre avec son adversaire. La bande son correspond tout à fait au film, les acteurs sont parfaits, Sly est né pour faire ce rôle. Un film qui date mais qui est devenu culte. Certes le combat de boxe n'est qu'à la fin du film. Mais le film exploite la psychologie du personnage de Rocky à qui, il n'est jamais rien arriver dans la vie, où finalement une opportunité se présente à lui. Aussi bien avec la relation entre Rocky et son manager. Enfin on voit la détermination de Rocky à la fin, et ça c'est le plus important. Bravo.
Le meilleur film du genre, un ovni sorti de nulle part; une histoire superbement construite avec des personnages attachants, même les maladresses sont touchantes. Une vraie fin n'aurait pas été de refus en revanche. Et on a droit en Blu-Ray à une remasterisation époustouflante.
Une danse de l’espérance qui se finalise dans un ring de mort… Rocky est un film poignant qui quoi qu’on en dise, touche du doigt la corde sensible de nos coeurs d'hommes... Combien de jeunes de quartier essayent de par le sport de s’extirper d’un quotidien peu évident… Une mise en scène sobre et propre, un combat d’anthologie finalisé par une histoire d'amour sans artifice mais au combien puissante...
Ceux qui voudraient voir dans ce premier "Rocky" un film de boxe avec de l'action et des combats risquent d'être déçus. En effet, le combat en lui-même n’apparaît que dans les dix dernières minutes (et nous propose une fin devenue culte). Pendant près de deux heures, nous suivons Rocky Balboa, un petit "boxeur du dimanche" qui vivote, essaye de draguer la soeur d'un de ses copains. Ce personnage campé par Stallone est très attachant et on assiste progressivement à sa mise en lumière vu qu'il a l'opportunité de combattre contre le champion du monde en titre. "Rocky" est au final un film assez intimiste, avec une ambiance relativement noire des USA du milieu des 70's, qui repose presque entièrement sur Sylvester Stallone. Très prenant et plus qu'un vulgaire film de boxe.
Il y a la dimension sportive, bien sûr, avec un vrai souffle dans la narration, une action captivante, une musique galvanisante, mais aussi un tableau lucide du monde de la boxe, d'un extrême à l'autre, des tocards du ring aux stars de la discipline. Où il est question de sueur et de communication, de coups de poing et de coups de marketing. Mais Rocky, c'est avant tout une peinture de l'Amérique des quartiers populaires, celle des vendeuses de graines et des accrocheurs de barbaque, ainsi qu'une représentation du rêve américain, avec ce héros parti de rien, qui va tutoyer les sommets. Un exemple de réussite individuelle.
Acteur principal, Sylvester Stallone est aussi l'auteur de ce scénario qui, sans être transcendant, tient bien la route et évite le happy end absolu. Stallone y propose également un surprenant autoportrait, celui d'un gars gentil mais pas malin, coeur tendre et gros biscotos, paumé mais courageux. Le triomphe de ce film a lancé sa carrière.
Acteur principal, Sylvester Stallone est aussi l'auteur de ce scénario qui, sans être transcendant, tient bien la route et évite le happy end absolu. Stallone y propose également un surprenant autoportrait, celui d'un gars gentil mais pas malin, coeur tendre et gros biscotos, paumé mais courageux. Le triomphe de ce film a lancé sa carrière.
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