Nul, nul et renul! interprétations très moyennes des acteurs, atmosphère qui va avec un film piteux. Scénario intéressant, mais la mise en scène, le déroulement de l'histoire et ses détails, c'est nul! On s'ennuie, ou plutôt on s'amuse du film risible qu'on a honte d'avoir acheté en DVD. Un film à ne pas regarder, sauf si l'on aime les dvdthèques de ratés.
un thriller sans grande saveur. l'histoire peine a avancé malgré sa longueur excessive et ses dialogues ennuyeux. l'aspect racoleur du film nous fait penser que le public aurait été le voir juste pour ça. michael douglas tire son épingle du jeu grace une belle prestation comme toujours et ces sans compter sur des second rôle pathétique, surtout demi moore en allumeuse raté. il à les scènes en réalité virtuel qui son la pour meublé le tout et qui n'exerce qu'une faible affluence sur l'avancé de l'histoire.
Malgré quelques incohérences scénaristiques, l'histoire sait se faire relativement solide et bien menée pour que l'on suive ces 120 minutes sans ennui, d'autant plus que l'interprétation s'avère dans l'ensemble convaincante, Demi Moore apparaîssant bien meilleure qu'à l'accoutumée.
En plein dans la vague Thrillers érotiques des années 90 sortait ce Harcèlement mou du slip et moralement discutable. Il est en plus assez symbolique d une Amérique puritaine qui prononce le mot penis du bout des lèvres mais se complaît dans une vulgarité évidente. Michael Douglas est bien moins intéressant dans ce film qu il ne pouvait l être dans liaison fatale car son personnage est beaucoup moins ambiguë. Quand à celui de Demie Moore il est tellement caricatural qu il en devient rapidement ridicule. A l époque c était déjà mauvais, cela a en plus pris un vilain coup de vieux.
Dans la grande lignée des thrillers érotiques du moment. N'empêche que l'on ne peut toujours pas oublier Basic Instinct même avec les meilleures intentions du monde.
« Harcèlement » se limite à une séquence où Demi Moore s’emploie à avoir une relation sexuelle forcée avec Michael Douglas. Celui-ci parvenant à se sortir des jambes de sa patronne, l’agression sera retournée contre lui : harcelé il apparaîtra harceleur. C’est tout. Puis le film bascule dans le thème du procès avec la conciliation et enfin le thriller d’entreprise avec une course contre la montre pour retrouver des fichiers manipulés et volés.
Barry Levinson s’attaque à un tabou : le harcèlement des femmes sur les hommes. Déjà, le harcèlement des femmes dans l’entreprise était tabou, alors un homme harcelé par une femme, ça devait prêter à sourire en ce début des années 90. Un sujet casse-cou qui peut tourner au risible. Combien d’hommes y verraient une chance de se faire harceler par une femme comme Meredith Johnson sous les traits de Demi Moore ! Combien fantasmeraient à cette idée comme certaines femmes fantasmeraient sur le viol !
Bref, le récit tient la route même si le harcèlement se limite à une agression sexuelle ; aucune suite sur le plan psychologique. Pour moi, je ne sens pas Sanders (Michael Douglas) effondré. Barry Levinson veut son personnage solide et actif en faisant prestement appel à une avocate.
Dans mes archives cinéma, un critique déclare que le spectateur « prend assez rapidement le parti de la pauvre Meredith Johnson » ! Il justifie que les « non » répétés 31 fois ne seraient pas crédibles de la part de l'acteur. A mes yeux ce critique n’est pas crédible et selon moi il n’a rien compris au film. Il aurait tendance à confondre l’acteur Michael Douglas avec les personnages qu’il a interprétés au cours de ses intrigues érotiques.
A part ça, on peut aussi trouver quelques facilités comme ces preuves dont Sanders bénéficie dans le temps limité des quatre jours. Enfin la partie réalité virtuelle peut donner un coup de vieux au film. Cependant, ce peut être une curiosité dans l’histoire des effets spéciaux. Je considère cette séquence comme un détail. On aurait pu s’en passer.
Un bon thriller qui met en scène une histoire de harcèlement sexuel. Michael Douglas y subit un harcèlement de la part de sa supérieure hiérarchique et ancienne relation (Demi Moore). A côté de cette histoire, il y a aussi une histoire de complot au sein de la société dans lequel ils travaillent tous les deux. C'est assez prenant comme scénario et le casting est très bon avec des seconds rôles excellents (Donald Sutherland y est parfait).
Au cinéma, on peut dire qu'il en aura bavé Michael Douglas avec la gent féminine. Preuve une fois de plus ici avec le harcèlement opéré par une Demi Moore alors tournée vers la sexualisation de son image ("proposition indécente", "striptease"). Intéressant lorsqu'il dissèque les rapports de pouvoir dans l'entreprise, "Harcèlement" l'est nettement moins dans sa manière sournoise d'ériger en modèle l'American way of life du cadre sup marié deux enfants au salaire à six chiffres. Il devient même carrément embarrassant lorsqu'il englue son héros dans des scènes de réalité virtuelle complètement dépassées et grotesques pour résoudre le problème. Reste la scène de harcèlement sexuel super hot, très bien suggérée.
Une excellente intrigue, beaucoup de tension et un jeu révolutionnaire. J'ai bien aimé le déroulement et le rythme du film. Les deux acteurs sont bons, surtout Demi Moore, impitoyable !
Adaptation du romancier en vogue à l'époque (M. Crichton), ce movie-star est surtout un pur produit destiné à opposer à l'affiche un couple glamour sur un scénario vaguement sulfureux le tout dirigé par un yes man au nom plus ou moins ronflant (içi, le sur-estimé B. Levinson). Bon, autant dire que l'installation de l'intrigue est très rapide, LA scène chaude arrive rapidement et la suite tient éveillé le spectateur grâce à un rythme de rebondissements assez élevé. Les thématiques abondent mais bon, on reste à la surface de tout car ce qui intéresse tout le monde, ce sont les confrontations et les coups bas. Avec un sujet aussi racoleur, difficile de l'éviter en même temps. La forme est efficace, les acteurs assurent et l'intrigue est fluide. C'est calibré au micro-poil pour un rendement immédiat et le film garde une grosse cote de sympathie auprès du grand public grâce à ses quelques scènes de dialogues bien menées. Mais il faut aussi voir le vide de ce que ça raconte à force de n'approfondir aucune thématique. D'autres critiques sur
"Harcèlement"(1994)est un techno-thriller sulfureux,qui verse ensuite vers le thriller judiciaire.Il mise beaucoup sur son climat érotique,incarné par une Demi Moore plus désirable et détestable que jamais.Femme de pouvoir,mante religieuse,manipulatrice;elle parvient toujours à ses fins.Michael Douglas succombe à ses avançes cavalières avant de se voir accusé de harcèlement sexuel.Bienvenue dans le monde impitoyable des affaires,où il ne fait pas bon confondre vie privée et vie professionnelle!On y voit les rouages d'une multinationale informatique,ses méthodes douteuses pour arriver à ses fins(une fusion),où chaque employé peut sauter à tout moment,s'il ne suit pas les volontés dictées.La scène de séduction torride entre les 2 stars atteint un pic,que seul "Basic Instinct" peut égaler.Malheureusement,la seconde partie,plate,interminable et émaillée de rebondissements artificiels,font tomber le film dans le tout venant.Barry Levinson n'insuffle pas la tension nécessaire,et Douglas n'est pas suffisamment en danger(pas de réelles menaces,sa vie de famille continue son cours).Sommet du kitsch:une longue-séquence virtuelle à l'intérieur d'un programme.