Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Ecran Large
par Chloé Chahnamian
Avec Treize vies, Ron Howard revisite le survival en se plaçant du côté des sauveteurs. Même si le film relate des faits réels et connus, la tension reste palpable du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
LCI
par Delphine De Freitas
Un film précis et intense.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même si on connaît l’issue, on est captivé par le récit anxiogène qui orchestre un suspense parfois irrespirable, si bien qu’on ne voit pas passer les 2 h 27.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Ce film restitue au plus près ce fait divers, qui a tenu le monde en haleine, tout en rendant hommage à l'héroïsme des volontaires.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Du grand spectacle.
Le Parisien
par Augustin Pietron
« Treize Vies » reste égaré entre le film et le documentaire. Dans les scènes de plongée, on ressent bien l’étroitesse du boyau et le poids de l’équipement qui encombre les sauveteurs. Et les met en danger. Mais le film, tout en étant très informatif — avec schémas de la grotte à l’écran — peine sur le plan narratif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film fidèle aux faits et brillamment interprété par Viggo Mortensen et Colin Farrell : sa retenue respecte les morts et les vivants mais limite le «suspense» même si la demi-heure finale est irrespirable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Le film de Ron Howard, appliqué à défaut d’être génial, sera un bon moyen de revivre cette opération de rescousse défiant l’entendement, qu’on aurait certainement jugé invraisemblable si elle n’avait pas été vraie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jérémie Couston
Tout paraît fabriqué, interminable (deux heures vingt-sept de pataugeage) et maladroitement sentimental dans cette grosse production qui réussit par ailleurs la gageure, avec son trio de vedettes anglo-saxonnes surnageant au-dessus d’une foule d’acteurs asiatiques indifférenciés, de trahir symboliquement le bel esprit de solidarité qui fut l’une des clés du succès d’une mission a priori impossible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Avec Treize vies, Ron Howard revisite le survival en se plaçant du côté des sauveteurs. Même si le film relate des faits réels et connus, la tension reste palpable du début à la fin.
LCI
Un film précis et intense.
Le Journal du Dimanche
Même si on connaît l’issue, on est captivé par le récit anxiogène qui orchestre un suspense parfois irrespirable, si bien qu’on ne voit pas passer les 2 h 27.
Télé 7 Jours
Ce film restitue au plus près ce fait divers, qui a tenu le monde en haleine, tout en rendant hommage à l'héroïsme des volontaires.
Télé Loisirs
Du grand spectacle.
Le Parisien
« Treize Vies » reste égaré entre le film et le documentaire. Dans les scènes de plongée, on ressent bien l’étroitesse du boyau et le poids de l’équipement qui encombre les sauveteurs. Et les met en danger. Mais le film, tout en étant très informatif — avec schémas de la grotte à l’écran — peine sur le plan narratif.
Paris Match
C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film fidèle aux faits et brillamment interprété par Viggo Mortensen et Colin Farrell : sa retenue respecte les morts et les vivants mais limite le «suspense» même si la demi-heure finale est irrespirable.
Les Inrockuptibles
Le film de Ron Howard, appliqué à défaut d’être génial, sera un bon moyen de revivre cette opération de rescousse défiant l’entendement, qu’on aurait certainement jugé invraisemblable si elle n’avait pas été vraie.
Télérama
Tout paraît fabriqué, interminable (deux heures vingt-sept de pataugeage) et maladroitement sentimental dans cette grosse production qui réussit par ailleurs la gageure, avec son trio de vedettes anglo-saxonnes surnageant au-dessus d’une foule d’acteurs asiatiques indifférenciés, de trahir symboliquement le bel esprit de solidarité qui fut l’une des clés du succès d’une mission a priori impossible.