Comme un air de déjà vu, l'histoire n'est pas vraiment nouvelle ,un clone qui prend la place de la vraie personne, ce qui me fait penser au film avec Swarzy en beaucoup moins bien . Ça manque de punch , beaucoup trop lent à mon goût.
Oh la cata !!! Avec un pitch pareil, il y avait de quoi concocter un film plein de surprises, un vraiment très bon film. Mais alors là ! Le jeu des acteurs est minable, le scénario sans queue ni tête, la mise en scène à la dérive. Apparemment, c'est une comédie. Ah bon ? On ne doit pas avoir la même définition de : comédie. Quand je vois que l'on a accordé 4,5 millions de dollars à cette production, il y a vraiment des gens qui ont de l'argent à jeter par les fenêtres ou alors ils ont vraiment bien vendu leur projet et là... je plains vraiment la production lorsqu'ils ont visionné ce déchet cinématographique.
Séduit par Karen grace à Jumanji , j'étai curieux de ce film que je pensai se voir finir comme un Hunger Games... Mais finalement c'est plat, trop bizarrement joué , Karen a l'air coincé pendant tout le film et reste peu attachante. Reste une fin un peu troublante...
Quel drôle de film! Ou plutôt terriblement étrange devrait-on dire. Mais c’est aussi ce qui fait sa force. Imaginez plutôt : on y voit une jeune femme vivant dans un contexte indéfini mais ressemblant à nos sociétés occidentales actuelles, donc réaliste, apprendre qu’elle va mourir et donc décider de se payer un clone, comme c’est autorisé dans ladite société, de manière à combler la peine de ses proches. Sauf qu’après quelques mois, notre Sarah (et accessoirement le personnage principal) de « Dual » découvre qu’elle est en totale rémission et ne souhaite donc plus de ce clone qui a pris sa place. Dans ces rares cas, la loi exige donc un duel à mort de manière à savoir qui va rester entre l’original et le clone. Tout cela dans une atmosphère froide où tous les personnages sont inexpressifs et l’ambiance terne et monotone. On se croirait dans un épisode de « Black Mirror » rallongé, car on y retrouve beaucoup des codes de cette illustre série, baigné dans l’atmosphère si singulière d’une autre mythique et immense série, « Severance » et saupoudré d’un zeste d’ambiance scandinave (le film a été tourné en Finlande). Et c’est bien sûr un compliment.
Loin d’être un film de science-fiction tel qu’on se l’imagine, ce « Dual » mêle les genres et brouille (agréablement) les pistes. Rien ne laisse deviner un quelconque film d’anticipation si ce n’est le seul évènement science-fictionnel du film : le clonage et les lois qui en découlent. Sur ce postulat, cette œuvre bizarre alterne admirablement entre le thriller, le drame et surtout la comédie pince-sans-rire pour un mélange des genre et des styles assez pertinent. En effet, certaines situations sont étrangement drôles dans un cadre qui ne l’est pas du tout : on pense à la manière dont cette femme médecin annonce ses diagnostics aux patients où à ce cours de hip-hop drolatique alors que les enjeux du film sont très sérieux. Des ruptures de tons au décalage du jeu des acteurs, c’est totalement inattendu et surprenant. Si on goûte à ce type d’univers et d’humour à froid, c’est plutôt jouissif.
Malheureusement, tout le long-métrage n’est pas exempt de défauts. En premier lieu, même si le rebondissement final se sent venir à plein nez sans forcément savoir l’issue exacte, la fin est très abrupte. Et on se demande le sens final et véritable caché derrière cette œuvre peu commune. Et s’il y en a vraiment un d’ailleurs. Ensuite le flou du contexte spatio-temporel est utile et accentue le côté étrange que l’on ressent à la vue de « Dual ». Mais était-ce pour autant nécessaire que l’esthétique de l’ensemble soit si pauvre. En effet, Riley Stears ne semble faire aucun effort pour rendre son long-métrage agréable à l’œil. L’image est laide au possible et il semblerait qu’elle choisisse les décors les plus banals (et moches) ainsi que la façon de filmer la plus triviale qui soit. Mais peut-être est-ce fait exprès pour appuyer la drôle d’ambiance de ce film qui joue très bien de toutes les retombées et développements possibles du clonage présenté ici. On lui laissera le bénéfice du doute mais cela rend le visionnage tout de même moins sympathique.
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‘Dual’ repose sur une idée intéressante, qu’on a pourtant déjà vu dans d’autres films de genre et même chez des auteurs oscarisables tordus comme le Grec Yorgos Lanthimos, mais qui parvient ici à faire entendre sa propre voix : la création de clones pour aider les familles à supporter la perte d’un proche…sauf qu’ici, les choses ne prendront pas exactement la tournure prévue. Après avoir appris à jouer son rôle par imitation auprès de Sarah, le “clone de Sarah” (car tel est son nom officiel) finit par être préférée à l’original, à la fois par sa famille et son conjoint, laissant la jeune femme, qui bénéficie d’une rémission inattendue de sa maladie, seule et abandonnée. La loi ne lui laissant comme seul échappatoire que d’affronter l’imposteur lors d’une ordalie moderne, Sarah n’a plus qu’à entamer son entraînement. Riley Steams aime visiblement beaucoup le concept de l’entraînement : on se souvient de lui pour l’étrange ‘The art of self-defense’, dans lequel Jesse Eisenberg se musclait pour échapper à son statut de tête-à-claque et de victime éternelle. Ici, c’est un peu la même chose : plutôt que de développer les éléments science-fictionnels ou du suspense attendus, Steams le franc-tireur préfère s’attarder sur le côté absurde et ubuesque de la situation, et sur les tentatives désespérées de Sarah pour retourner la situation à son avantage. ‘Dual’ baigne dans un étrange humour à froid et indirectement sarcastique, dont on ne sait jamais s’il est drôle ou profondément malaisant…et si le jeu éteint des différents acteurs peut s’avérer perturbant, on se souvient vite qu’il s’agit de la marque de fabrique de Riley Steams, tout aussi présente dans ‘The art of self-defense’ et que c’est justement cet élément, aussi inhabituel soit-il, qui fait de ces oeuvres de facture modeste, d’étranges objets cinématographiques dont on se souvient bien plus longtemps que des grosses productions qui respectent scrupuleusement tous les codes en vigueur.
Dans ce film, on peut se faire cloner afin de soulager la famille de la perte d'un proche sur le point de mourir. J'ai bien aimé l'histoire et j'étais dans le film du début à la fin. Bon film