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La réalisatrice roumaine Anca Damian défie littéralement le spectateur : pas facile de suivre, mais, à condition de faire l’effort d’accepter cet univers parfois déconcertant, c’est réellement gratifiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Jouant aussi bien avec les mythes bibliques qu’avec les codes du conte, ainsi qu’une musique tzigane omniprésente, la réalisatrice roumaine déploie un univers poétique et foisonnant (presque une idée par plan), quitte à étourdir un spectateur, parfois déboussolé mais envouté par ses audaces visuelles et narratives.
Crise migratoire, pollution, capitalisme exacerbé, esclavagisme sont décrits avec une poésie qui frise l’absurde et qui permet d’entrevoir, comme en négatif, la crudité, la noirceur et l’enfer de notre réel.
La critique complète est disponible sur le site Première
D’un côté, la boussole symbolique qui s’emballe ; de l’autre, ces boucles de sons hypnotiques qui invitent au contraire à abandonner le sens. Un grand écart qui ne peut tenir qu’un moment : on n’a toujours pas compris ce que foutait Robinson à Burning Man.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
La réalisatrice roumaine Anca Damian défie littéralement le spectateur : pas facile de suivre, mais, à condition de faire l’effort d’accepter cet univers parfois déconcertant, c’est réellement gratifiant.
Le Journal du Dimanche
Jouant aussi bien avec les mythes bibliques qu’avec les codes du conte, ainsi qu’une musique tzigane omniprésente, la réalisatrice roumaine déploie un univers poétique et foisonnant (presque une idée par plan), quitte à étourdir un spectateur, parfois déboussolé mais envouté par ses audaces visuelles et narratives.
Les Fiches du Cinéma
Une fable musicale douce-amère et enchanteresse sur nos peurs et nos rêves.
Ouest France
Le film joue avec les archétypes de la fable pour mieux dénoncer les tares de notre société.
Première
Crise migratoire, pollution, capitalisme exacerbé, esclavagisme sont décrits avec une poésie qui frise l’absurde et qui permet d’entrevoir, comme en négatif, la crudité, la noirceur et l’enfer de notre réel.
Télérama
De l’animation pour adultes, brouillonne mais inspirée.
Libération
D’un côté, la boussole symbolique qui s’emballe ; de l’autre, ces boucles de sons hypnotiques qui invitent au contraire à abandonner le sens. Un grand écart qui ne peut tenir qu’un moment : on n’a toujours pas compris ce que foutait Robinson à Burning Man.