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    A la recherche des dalmatiens
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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    A la recherche des dalmatiens (1997) est une production Dingo Pictures, un énième moyen-métrage à l’animation toujours aussi approximative et porté par une histoire invraisemblable.

    On retrouve des chiots dalmatiens et un cocker qui jouent ensemble avec un chat (avec lequel ils font des blagues). Les chiots se rendent sur le marché pour acheter des friandises, mais sans argent, ils se font arrêter et finissent à la fourrière (qui ressemble à un goulag avec travail forcé à la chaîne). Ils trouveront de l’aide auprès des animaux de la rue pour parvenir à s’échapper.

    Dans la droite lignée de leurs précédentes productions : animation totalement dégueulasse, doublage foireux, réutilisation de claques d’animation et d’animaux déjà vu dans leurs précédents films : le lapin (Goldie : Le Prince de la Forêt - 1994), le chien loup (Balto : Chien-loup, légende des neiges - 1997), un autre chien (Atlantide - Le Royaume englouti - 2001), et j’en passe.
    Sans oublier le principal, ils se sont très largement inspirés de La Belle et le Clochard (1955), ainsi que d’Oliver et compagnie (1988) de Disney.

    Pour les plus masochistes d’entre vous, si le cœur vous en dit, ils ont un catalogue long comme le bras. On leur doit notamment pêle-mêle : Aladin et la lampe magique (1993), Le Roi Lion : Les Nouvelles Aventures (1994), Goldie: Le Prince de la Forêt (1994) : copie de Bambi, Les Aristos (1995) : pompé sur Les Aristochats, Pocahontas (1995), Le bossu de Notre Dame (1996), A la recherche des Dalmatiens (1997), Les musiciens municipaux de Bremen (1997) ou encore Le seigneur de la jungle (1999) : un ersatz de Tarzan.

    [http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger]
    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2024
    On a grandi avec cette horreur, merci à notre maminette qui s'est trompée en pensant acheter Les 101 Dalmatiens (la pochette de Dingo Pictures est ressemblante, en même temps). Pour nous, Les 101 Dalmatiens, ce n'étaient pas Cruella, Jasper et Horace, Pongo et Perdita, mais un corbeau qui fait "GNAAAAAH" à chaque début de phrase, un couple de doubleurs français qui fait 90% des voix (et ça s'entend), 3 dalmatiens au lieu de 101 (ça ne fait pas beaucoup), des dessins figés (ils courent sans plier les pattes, sont toujours de côté pour une seule raison : les vues de face ressemblent à vos pires cauchemars), qui courent après des chats la moitié du film (le scénario ? Kessessé ?), des dialogues éclatés au sol ("On vient de PERPIGNAN !", mais, euh... D'accord.), et des chiots séquestrés dans une usine pour coller des étiquettes sur des boîtes de conserve. Oui, vous avez bien lu, on a un scénario glauque à souhaits, où des dobermans ("Grr grr") obligent des chiots à bosser à la chaîne dans un sous-sol miteux, et sans pause-pipi (le pire du pire). Mais heureusement, Pastille ("Perdita", c'était sous royalties, "Pastille", étonnamment, non.) va les chercher avec un chien bulldog qui pose un préavis de 48h avant de terminer ses phrases (le doubleur est en roue libre), un basset-comptable ("C'est déductible des impôts !" / "Avant d'aller les secourir...Il faut remplir un formulaire d'identité ! Allez, nom, âge, situation sociale...", et autres dialogues obscurs), un lévrier fringué comme le Prince de Bel Air (et dont la tête grossit quand il voit un chat), et un chien gris qui regarde en l'air (alors qu'il n'y a rien). Vous pourrez aussi voir des museaux dépasser des côtés de l'écran de temps en temps, vous pourrez voir le narrateur qui n'en a plus rien à faire d'être à la narration (goal volant !!! : il résout tout le film tout seul !), vous pourrez voir des décors dessinés par Timéo 4 ans (toujours les mêmes, en boucle, il n'avait plus assez de Velleda), et globalement une musique indescriptible (des trompettes, des cris, des instruments du Far-West...). On redécouvre ce chef-d’œuvre incompris au bonheur d'une vidéo du Joueur du Grenier qui commente le film de la meilleure des façon (foncez voir ça, on n'était pas prêt à découvrir qu'on se souvenait parfaitement de cette ignominie : qu'est-ce que cela a influencé sur notre cinéphilie ? On se remet en question), et nous a redonné une crédibilité face à nos potes qui pensaient qu'on inventait ce film de toutes pièces ("Mais je te promets, ils viennent de PERPIGNAN, ils collent des étiquettes au fond d'une usine clandestine, et 80% des dialogues c'est GNAAAAAAH" : on admet que le résumé du film ressemble à un bad-trip devant Disney+) . Et ce qu'on oublie de vous dire, c'est que comme le film fait 20 minutes, la VHS était comblée de dessins animés aléatoires (et incompréhensibles) pour tenir 1h. On n'était jamais trop pénibles, chez mémé, probablement car cette VHS nous aspirait les méninges.
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