Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
De ses sautillements d’un néant à un autre, de ses décors se mêlant sur un double fond d’apocalypse sociale et de naufrage intérieur, ce beau film fait les axes d’une suite d’allers-retours fixant cette idée que toute possibilité de « traversée », pour l’un comme pour l’autre des deux mondes dont ces amants maudits portent le fardeau, se voit reportée à l’horizon d’un inaccessible lendemain.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
La beauté de cette rencontre fulgurante et le jeu magistral des acteurs compensent un scénario parfois un peu conventionnel [...] A mille lieues des clichés touristiques, Athènes[...] est filmée comme un territoire d’où les migrants ne peuvent plus s’extirper et errent comme des spectres.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Derrière cette romance impossible, la réalité est plus sombre, comme la corruption des représentants de la loi ou la détresse de ces hommes et femmes ayant fui leur pays où ils étaient menacés de mort. Reste que la réalisation est trop illustrative.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Fabien Baumann
Film étrange, où l’on attend patiemment qu’il ne s’y passe rien.
Première
par Thierry Chèze
Trop gris, trop fouillis, trop « auteur », Demain, je traverse ne parvient ni à élever le fait de société au rang de mythe ni à raconter quelque chose de suffisamment fort sur notre présent. Le couple formé par Marisha Triantafyllidou et Hanna Issa reste cependant très beau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
D’origine iranienne, la réalisatrice livre un film dont la générosité se fige en un drame conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voici les grandes lignes d’un scénario qui, plutôt que de s’occuper un tant soit peu de ses personnages, ne craint pas de multiplier les lieux communs et d’ajouter du malheur au malheur. Une veine édifiante et un climat doloriste qui pèsent de bout en bout sur le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Très lâche, le récit de Demain, je traverse, flottant au diapason de ses personnages, ne parvient hélas jamais à s’imprimer sur la rétine du spectateur, glissant sans cesse à sa surface.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
De ses sautillements d’un néant à un autre, de ses décors se mêlant sur un double fond d’apocalypse sociale et de naufrage intérieur, ce beau film fait les axes d’une suite d’allers-retours fixant cette idée que toute possibilité de « traversée », pour l’un comme pour l’autre des deux mondes dont ces amants maudits portent le fardeau, se voit reportée à l’horizon d’un inaccessible lendemain.
Culturopoing.com
La beauté de cette rencontre fulgurante et le jeu magistral des acteurs compensent un scénario parfois un peu conventionnel [...] A mille lieues des clichés touristiques, Athènes[...] est filmée comme un territoire d’où les migrants ne peuvent plus s’extirper et errent comme des spectres.
L'Obs
Derrière cette romance impossible, la réalité est plus sombre, comme la corruption des représentants de la loi ou la détresse de ces hommes et femmes ayant fui leur pays où ils étaient menacés de mort. Reste que la réalisation est trop illustrative.
Positif
Film étrange, où l’on attend patiemment qu’il ne s’y passe rien.
Première
Trop gris, trop fouillis, trop « auteur », Demain, je traverse ne parvient ni à élever le fait de société au rang de mythe ni à raconter quelque chose de suffisamment fort sur notre présent. Le couple formé par Marisha Triantafyllidou et Hanna Issa reste cependant très beau.
Télérama
D’origine iranienne, la réalisatrice livre un film dont la générosité se fige en un drame conventionnel.
Le Monde
Voici les grandes lignes d’un scénario qui, plutôt que de s’occuper un tant soit peu de ses personnages, ne craint pas de multiplier les lieux communs et d’ajouter du malheur au malheur. Une veine édifiante et un climat doloriste qui pèsent de bout en bout sur le film.
Les Inrockuptibles
Très lâche, le récit de Demain, je traverse, flottant au diapason de ses personnages, ne parvient hélas jamais à s’imprimer sur la rétine du spectateur, glissant sans cesse à sa surface.