AlloCiné
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FILM QUI PETARADE...! enfin un excellent film italien...! Drôle, Frais, Vivant malgré un sujet un peu tartignole : l'accueil de deux gamins par un couple homo un peu usé ... les acteurs sont à tomber : on passe deux heures à sa demander lequel est le plus sexy des deux ! Bravissimo !!
traversay1
Derrière un titre français anodin : Pour toujours, traduction guère heureuse de La dea fortuna, se cache l'une des œuvres parmi les plus attachantes de Ferzan Özpetek dont nous voyons en France environ un film sur deux depuis une vingtaine d'années. Si l'existence de deux intrigues parallèles (voire trois) peut sembler parfois un frein au bon équilibre de La dea fortuna, elles se complètent et tissent un réseau de sentiments entre l'amour, l'amitié et la peur. D'un couple gay qui se délite à la maladie de leur meilleure amie, les enfants de cette dernière forment le point de convergence jusqu'au dénouement en Sicile, très différent dans sa tonalité avec ce qui avait proposé auparavant. Le film n'est pas peut-être pas assez profond avec son personnage féminin principal mais il a assez de force, par ce qu'on devine de son passé, pour que même son absence irrigue les relations entre les deux protagonistes masculins et les enfants. De fait, même les manques dans l'écriture du scénario ne parviennent pas à gâcher le plaisir de retrouver les modulations du cinéma italien que l'on aime et qui balance entre la comédie et la tragédie, dans la chronique du temps qui passe et meurtrit. Dans l'interprétation, même si les garçons ont le plus de temps de jeu, Stefano Accorsi en particulier, toujours impeccable, c'est la lumineuse Jasmine Trinca, qui n'avait jamais tourné avec Özpetek, qui retient l'attention. A 40 ans, elle est en train de construire une carrière qui en fait la digne héritière des plus grandes actrices italiennes.
Quel film bouleversant ! Tous les acteurs sont éblouissants : le couple formé par Stefano Accorsi et Edoardo Leo est crédible et d'une justesse incroyable. On sent une véritable tendresse entre eux malgré l'érosion de leur historie d'amour. Jasmine Trinca est excellente dans ce rôle de femme forte, douce mais avec son caractère. Les enfants sont également parfaits, tous comme les seconds rôles qui apportent un véritable plus. Le film aborde la fin d'un couple, la parentalité, les liens du cœurs qui priment sur les liens du sang. On passe des rires aux larmes, sans tomber dans le pathos. Je repense souvent au film et quand cela arrive, j'ai des larmes qui pointent le bout de leur nez tellement le film de Ferzan Ozpetek m'a touché droit au cœur. Courez voir ce film en urgence pour faire le plein d'émotions !
C’est une réalisation de Ferzan Ozpetek qui a écrit le scénario avec Silvia Ranfagni et Gianni Romoli.
L’histoire est véritablement des plus touchantes. Elle va aborder des thèmes primordiaux comme la famille, l’amour ou encore la mort. On va donc être dans ce foyer qui s’improvise au vu des circonstances. Déjà, vous prenez un couple en difficulté. Vous rajoutez une amie malade qui leur confie ses deux enfants. Cela vous donne un cocktail émotionnel assez fort.
Ce couple, composé d’Arturo et Alessandro, est génial. On va facilement être pris dans leur histoire. Cela se voit qu’au départ, ils étaient fous amoureux, mais que le temps a fait son effet. Le quotidien les a séparés au fur et à mesure et ils ont oublié ce qui les avait réunis. Sentiments oblige, ils continuent ensemble même si le chaos s’installe. On a envie de croire que la flamme va redémarrer même si l’espoir diminue avec le temps qui avance. Stefano Accorsi et Edoardo Leo font vibrer par leur justesse.
Les deux enfants aussi vont être top. On arrive bien à se mettre à leur place pour cette situation déchirante. Voir sa mère mal en point et être confié à de total inconnu. Ils vont devoir apprendre à lâcher prise pour ne pas aller dans le mur. Une épreuve pas facile que les jeunes Sara Ciocca et Serra Yılmaz font à merveille. Ils vont rajouter une dose émotionnelle conséquente.
Ce drame va être porté par une ambiance ressemblant à un cocon. On va être confronté à beaucoup d’épreuves, mais une bulle se forme autour de nos protagonistes. Malgré les difficultés, nous avons la sensation d’être en famille. La bande originale est tout bonnement fantastique. La touche italienne est sublime. Elle se fond parfaitement dans le thème. Grâce à tous ces éléments, la fin sera sublime.
L’histoire est véritablement des plus touchantes. Elle va aborder des thèmes primordiaux comme la famille, l’amour ou encore la mort. On va donc être dans ce foyer qui s’improvise au vu des circonstances. Déjà, vous prenez un couple en difficulté. Vous rajoutez une amie malade qui leur confie ses deux enfants. Cela vous donne un cocktail émotionnel assez fort.
Ce couple, composé d’Arturo et Alessandro, est génial. On va facilement être pris dans leur histoire. Cela se voit qu’au départ, ils étaient fous amoureux, mais que le temps a fait son effet. Le quotidien les a séparés au fur et à mesure et ils ont oublié ce qui les avait réunis. Sentiments oblige, ils continuent ensemble même si le chaos s’installe. On a envie de croire que la flamme va redémarrer même si l’espoir diminue avec le temps qui avance. Stefano Accorsi et Edoardo Leo font vibrer par leur justesse.
Les deux enfants aussi vont être top. On arrive bien à se mettre à leur place pour cette situation déchirante. Voir sa mère mal en point et être confié à de total inconnu. Ils vont devoir apprendre à lâcher prise pour ne pas aller dans le mur. Une épreuve pas facile que les jeunes Sara Ciocca et Serra Yılmaz font à merveille. Ils vont rajouter une dose émotionnelle conséquente.
Ce drame va être porté par une ambiance ressemblant à un cocon. On va être confronté à beaucoup d’épreuves, mais une bulle se forme autour de nos protagonistes. Malgré les difficultés, nous avons la sensation d’être en famille. La bande originale est tout bonnement fantastique. La touche italienne est sublime. Elle se fond parfaitement dans le thème. Grâce à tous ces éléments, la fin sera sublime.
velocio
Malgré une toute petite poignée de scènes qui n’arrivent pas totalement à convaincre, "Pour toujours" ne dépare pas dans la riche filmographie de Ferzan Ozpetek. Continuant dans ce qui est en quelque sorte sa marque de fabrique, il nous introduit dans l’intimité d’un couple homosexuel appartenant à la classe aisée de l’Italie et qui, comme beaucoup d’autres couples, entre dans une phase de crise sentimentale. Très bien interprété, il jouit également d’une somptueuse photographie.
Magnifique tout simplement. Sujet interessant, histoire prenante, très bien joué par des acteurs que l'on apprécie. Je recommande vivement d'aller voir ce film touchant et émouvant.
Un couple d'hommes dont l'histoire s'érode au fil du temps vient se voir confier la garde provisoire de 2 enfants dont la mère un très bonne amie doit subir une série d'examens nécessitant son hospitalisation. Sous cet apparent scénario qui semblait conduire vers une série de gags et situations atypiques, on a ici affaire à un vrai drame sur le positionnement du couple en général, de son usure, de la fidélité, de la maladie quand on est parent solo, des rapports avec ses parents enfants qui conditionnent l'avenir, etc...
Une galerie de personnages un peu clichés quand même mais le tout se suit avec vif intérêt.
Une interprétation excellente des différents acteurs, une mise en scène solide mais une vision un peu trop manichéenne et caricaturale à mon goût.Reste un beau film qui vaut vraiment le coup d'œil.
Une galerie de personnages un peu clichés quand même mais le tout se suit avec vif intérêt.
Une interprétation excellente des différents acteurs, une mise en scène solide mais une vision un peu trop manichéenne et caricaturale à mon goût.Reste un beau film qui vaut vraiment le coup d'œil.
Super moment j'ai passé un excellent moment . Le couple homosexuel est attachant et loin d'être caricatural ça fait du bien ! Enfin !
Globalement on s'ennuie pas et l'histoire est originale. Quelque note d'humour a trois reprise et c'est bien fait.
J'ai apprécié les rebondissements et le rythme est plutôt correct .
C'est un bon film a tous niveau vraiment. Je l'ai vu en VO ça fait la différence je pense.
Je recommande.
Globalement on s'ennuie pas et l'histoire est originale. Quelque note d'humour a trois reprise et c'est bien fait.
J'ai apprécié les rebondissements et le rythme est plutôt correct .
C'est un bon film a tous niveau vraiment. Je l'ai vu en VO ça fait la différence je pense.
Je recommande.
Ufuk K
"Pour toujours" gros succès au box office italien est une comédie dramatique à l'italienne touchante. En effet en dépit de quelques longueurs, le réalisateur turc Ferzan Ozpetek s'est servi de ses souvenirs pour en faire une histoire qui oscille entre comédie et émotions abordant des thèmes forts comme l'homoparentalité, le délitement d'un couple, la maladie, la mort et l'homophobie avec une galerie de personnages extravagants et attachants.
Yves G.
Arturo (Stefano Accorsi, acteur fétiche de Ferzan Özpetek) et Alessandro (Edoardo Leo sexy en diable), la quarantaine bien entamée, sont en couple depuis quinze ans. Ils vivent au dernier étage d’un splendide appartement romain en terrasse. Leur meilleure amie Annamaria (Jasmine Trinca révélée par Nanni Moretti), à laquelle une vie sentimentale agitée a donné deux enfants, leur en confie la garde le temps de se faire soigner à Rome. Cette soudaine responsabilité tombe mal pour le couple en pleine crise conjugale.
Le réalisateur turco-italien Ferzan Özpetek a importé dans la péninsule avec succès la romcom gay : "Le Fate Ignoranti" en 2001, "Mine Vaganti" en 2010 et La Dea Fortuna" en 2019 qui, juste avant la fermeture des salles, a conquis plus d’un million de spectateurs dans la péninsule italienne.
C’est avec plus de deux ans de retard que "La Dea Fortuna" sort en France, dans un réseau de salles très réduit et sous un titre niaiseux (manifestement la traduction des titres des films d’Özpetek pose problème car "Le Fate Ignoranti" est devenu "Tableau de famille" et "Mine Vaganti" "Le Premier qui l’a dit"). Son histoire est cousue de fil blanc. On sait par avance, en regardant l’affiche, en lisant le résumé, ce qu’il adviendra d’Annamaria, de ses deux enfants et du couple tellement séduisant formé par Arturo, l’écrivain maudit, et Alessandro, le plombier musclé. spoiler: Seule surprise qui rallonge le film d’une vingtaine de minutes pas vraiment nécessaires : un détour par la Sicile qui nous offre quelques jolies vues de carte postale de la baie de Palerme.
Certes, la joyeuse smala qui entoure le couple bobo est attachante ; certes, leur appartement, si joliment décoré, rappelle ceux que filme Almodóvar à Madrid ; certes encore, les deux gamins sont attendrissants en diable… mais les bons sentiments ne font pas nécessairement les bons films.
Le réalisateur turco-italien Ferzan Özpetek a importé dans la péninsule avec succès la romcom gay : "Le Fate Ignoranti" en 2001, "Mine Vaganti" en 2010 et La Dea Fortuna" en 2019 qui, juste avant la fermeture des salles, a conquis plus d’un million de spectateurs dans la péninsule italienne.
C’est avec plus de deux ans de retard que "La Dea Fortuna" sort en France, dans un réseau de salles très réduit et sous un titre niaiseux (manifestement la traduction des titres des films d’Özpetek pose problème car "Le Fate Ignoranti" est devenu "Tableau de famille" et "Mine Vaganti" "Le Premier qui l’a dit"). Son histoire est cousue de fil blanc. On sait par avance, en regardant l’affiche, en lisant le résumé, ce qu’il adviendra d’Annamaria, de ses deux enfants et du couple tellement séduisant formé par Arturo, l’écrivain maudit, et Alessandro, le plombier musclé. spoiler: Seule surprise qui rallonge le film d’une vingtaine de minutes pas vraiment nécessaires : un détour par la Sicile qui nous offre quelques jolies vues de carte postale de la baie de Palerme.
Certes, la joyeuse smala qui entoure le couple bobo est attachante ; certes, leur appartement, si joliment décoré, rappelle ceux que filme Almodóvar à Madrid ; certes encore, les deux gamins sont attendrissants en diable… mais les bons sentiments ne font pas nécessairement les bons films.
Le film souffre d'un style académique et de personnages un peu caricaturaux. Mais le récit se laisse voir et comporte plusieurs scènes touchantes. Les acteurs sont tous parfaits.
Un beau film, bien écrit, parfaitement interprété, mais qui m'a semblé un peu trop bavard et sage par moments.
Très agréable mais sans surprise.
Très agréable mais sans surprise.
Bon ça a commencé moyennement pour moi un peu de mal à rentrer dans le film et sujet pas très gai , et finalement au fur et à mesure de l'intrigue ce film se révèle très intéressant les acteurs sont vraiment excellents en fait j'allais voir ce film pour Stéphano Accorsi que j'adore ( même si je ne l'ai pas reconnu au tout début mission accomplie )
Un magnifique film italien, poignant, sensible et très touchants. Des acteurs très justes. Le talent du réalisateur du Premier qui l'a dit se confirme ici et ça fait du bien !!!!
Arturo (Stefano Accorsi) et Alessandro (Edoardo Leo) traverse une crise de couple après quinze ans de vie commune et sont sur le point de se séparer. Au même moment, leur amie Annamaria (Jasmine Trinca, lumineuse), mère célibataire de deux enfants leur demande de bien vouloir s’occuper d’eux devant être hospitalisée pour des examens médicaux. Ces deux moments de vie vont se télescoper et vont permettre aux personnages de créer une véritable famille de cœur sans qu’il n’y ait aucun lien du sang et au couple de se retrouver. Mélodrame bienveillant, « Pour toujours » est un film humaniste, tous les personnages étant dépourvus d’une quelconque méchanceté. Les principaux protagonistes et les personnages secondaires (notamment les voisins d’immeuble ou les habitants du quartier) amènent donc aussi une note légère et le film trouve un bon équilibre entre sourires et larmes. Par contre, le personnage de la grand-mère (Barbara Alberti), sorte de Folcoche gratinée, est particulièrement chargé, peut-être un peu trop. L’homosexualité n’est pas ici le sujet et c’est tant mieux. Devant tant d’humanité, Il n’est pas étonnant que ce film est eu un beau succès en Italie. La fin du film, très réussie, emportant le morceau.
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