Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Fuyant le pathos, Le Rapport Auschwitz présente une certaine singularité formelle, mais son aridité tient le spectateur à distance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par François Forestier
Il y a des moments que le cinéma ne peut traduire. D’où la distance devant un film qui affiche d’excellentes intentions, mais qui pèche par… mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Charlotte de Frémont
Alors que l’extrême droite semble gagner du terrain en Slovaquie, pays d’origine du réalisateur, le travail de mémoire est indispensable, mais pose des questions sur son traitement, et la pudeur qui doit y être apportée. Est-il indispensable de disséquer, à la manière d’un documentaire, l’innommable ?
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un sujet édifiant et nécessaire mais, avec une certaine complaisance dans la reconstitution du camp, le réalisateur propose un récit déséquilibré, s’étirant pour retracer l’évasion au détriment du véritable intérêt : la vérité qui peine à s’imposer face à la propagande nazie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.M.
Inspiré de l’évasion de Rudolf Vrba et d’Alfred Wetzler – deux personnages-clés du Shoah, de Claude Lanzmann – Le Rapport Auschwitz est un film honorable, mais qui se heurte, comme tant d’autres, au dur écueil de la représentation des camps (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par É. Lo.
Un film bouleversant et formidablement interprété, même si la phase de la révélation des crimes perpétrés aurait pu être davantage développée.
Ouest France
par Thierry Cheze
Le devoir de mémoire est louable mais le cinéaste multiplie les plans maladroits à l'intérieur d'Auschwitz.
Positif
par Bernard Génin
Le propos de Peter Bebjak est honorable [...]. Il s’enlise dès le premier plan (long travelling avant sur l’agonie d’un pendu) dans une indécente représentation hyperréaliste de la violence.
Première
par Thierry Chèze
Ici, Bebjak a choisi de ne jamais montrer les chambres à gaz et les fours crématoires car Wetzler et Rosenberg ne les ont jamais connus directement. Mais cela n’empêche pas d’éprouver une certaine perplexité devant la manière dont il met en scène le suspense dans ces camps de l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Des horreurs stylistiques de ce style, il y en a pléthore, hélas, dans ce long métrage pénible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Fuyant le pathos, Le Rapport Auschwitz présente une certaine singularité formelle, mais son aridité tient le spectateur à distance.
L'Obs
Il y a des moments que le cinéma ne peut traduire. D’où la distance devant un film qui affiche d’excellentes intentions, mais qui pèche par… mise en scène.
La Croix
Alors que l’extrême droite semble gagner du terrain en Slovaquie, pays d’origine du réalisateur, le travail de mémoire est indispensable, mais pose des questions sur son traitement, et la pudeur qui doit y être apportée. Est-il indispensable de disséquer, à la manière d’un documentaire, l’innommable ?
Le Journal du Dimanche
Un sujet édifiant et nécessaire mais, avec une certaine complaisance dans la reconstitution du camp, le réalisateur propose un récit déséquilibré, s’étirant pour retracer l’évasion au détriment du véritable intérêt : la vérité qui peine à s’imposer face à la propagande nazie.
Le Monde
Inspiré de l’évasion de Rudolf Vrba et d’Alfred Wetzler – deux personnages-clés du Shoah, de Claude Lanzmann – Le Rapport Auschwitz est un film honorable, mais qui se heurte, comme tant d’autres, au dur écueil de la représentation des camps (...).
Télé Loisirs
Un film bouleversant et formidablement interprété, même si la phase de la révélation des crimes perpétrés aurait pu être davantage développée.
Ouest France
Le devoir de mémoire est louable mais le cinéaste multiplie les plans maladroits à l'intérieur d'Auschwitz.
Positif
Le propos de Peter Bebjak est honorable [...]. Il s’enlise dès le premier plan (long travelling avant sur l’agonie d’un pendu) dans une indécente représentation hyperréaliste de la violence.
Première
Ici, Bebjak a choisi de ne jamais montrer les chambres à gaz et les fours crématoires car Wetzler et Rosenberg ne les ont jamais connus directement. Mais cela n’empêche pas d’éprouver une certaine perplexité devant la manière dont il met en scène le suspense dans ces camps de l’horreur.
Télérama
Des horreurs stylistiques de ce style, il y en a pléthore, hélas, dans ce long métrage pénible.