Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
La tenue du film doit beaucoup à un travail attentif et précis qui s’écarte des clichés du film de prison en mettant à contribution les véritables détenues et gardiennes voyant leur établissement pénitentiaire transformé en plateau.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Le film de Péter Kerekes interroge le carcan de la prison dans cette situation particulière de la maternité, en entrelaçant sans cesse la froideur et la compassion. Sans pour autant jouer d’une simple dichotomie manichéenne, opposant l’intransigeance de la gardienne à la tendresse des mères pour leur enfant, le réalisateur, au contraire, dresse de chacun de ses personnages un portrait riche et complexe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par F. F.
La force du film vient de cette authenticité, de la simplicité de la mise en scène, et de l’émotion puissante du récit. C’est du cinéma social, et du meilleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Son approche documentaire et son austérité n’empêchent pas l’émotion d’affleurer. Il s’en dégage même une certaine douceur malgré l’âpreté du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
La mise en scène de Peter Kerekes, rigoureuse et pondérée, se mesure aux cycles et aux rythmes de la prison. Ce regard pourrait aisément passer pour froid. Or c’est tout le contraire qui se produit ici : la froideur inhérente aux lieux et à leur fonction est contestée par les présences qui l’habitent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marie Claire
par Emily Barnett
Bouleversant.
Positif
par Louise Dumas
Naturaliste, sec et humaniste, le film évite l’écueil du pathos.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une fresque sociale qui, dans son point de vue théâtral assumé, donne à voir le portrait magnifique de mères en situation d’incarcération dans une Ukraine loin du conflit grave qu’on lui connaît, et plus largement des femmes ukrainiennes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Les deux comédiennes, l’une professionnelle, l’autre pas, ne sont pas pour rien dans l’attrait du film, qui avance par touches plutôt douces, malgré le propos désenchanté.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par É.S.
Peter Kerekes, réalisateur slovaque, a rencontré ces mères avant d'écrire 107 Mothers. Il signe un beau portrait de femme et une peinture réaliste de l'univers carcéral.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Avec sa démarche documentaire et sa mise en scène dépouillée, Péter Kerekes signe un drame sensible mais austère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Censé ramener de la vie, ces blocs de vérités sont rigidifiés par l’immobilité léthargique des cadres. Cette solennité forcée imprime une gravité écrasante dont le film aurait pu se passer. À trop vouloir préserver la vérité de ses scènes, le film de Kerekes manque d’un véritable souffle romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Ce mélange permanent de fiction et de documentaire est parfois déroutant, mais souvent émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Au lieu de se concentrer sur les seules détenues, on passe par exemple beaucoup de temps avec une gardienne, personnage qui mériterait un film en elle-même et dont on ne saura jamais ici vraiment pourquoi elle s’attache plus à Lyesa qu’à une autre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
La tenue du film doit beaucoup à un travail attentif et précis qui s’écarte des clichés du film de prison en mettant à contribution les véritables détenues et gardiennes voyant leur établissement pénitentiaire transformé en plateau.
Culturopoing.com
Le film de Péter Kerekes interroge le carcan de la prison dans cette situation particulière de la maternité, en entrelaçant sans cesse la froideur et la compassion. Sans pour autant jouer d’une simple dichotomie manichéenne, opposant l’intransigeance de la gardienne à la tendresse des mères pour leur enfant, le réalisateur, au contraire, dresse de chacun de ses personnages un portrait riche et complexe.
L'Obs
La force du film vient de cette authenticité, de la simplicité de la mise en scène, et de l’émotion puissante du récit. C’est du cinéma social, et du meilleur.
Le Journal du Dimanche
Son approche documentaire et son austérité n’empêchent pas l’émotion d’affleurer. Il s’en dégage même une certaine douceur malgré l’âpreté du sujet.
Le Monde
La mise en scène de Peter Kerekes, rigoureuse et pondérée, se mesure aux cycles et aux rythmes de la prison. Ce regard pourrait aisément passer pour froid. Or c’est tout le contraire qui se produit ici : la froideur inhérente aux lieux et à leur fonction est contestée par les présences qui l’habitent.
Marie Claire
Bouleversant.
Positif
Naturaliste, sec et humaniste, le film évite l’écueil du pathos.
aVoir-aLire.com
Une fresque sociale qui, dans son point de vue théâtral assumé, donne à voir le portrait magnifique de mères en situation d’incarcération dans une Ukraine loin du conflit grave qu’on lui connaît, et plus largement des femmes ukrainiennes.
La Voix du Nord
Les deux comédiennes, l’une professionnelle, l’autre pas, ne sont pas pour rien dans l’attrait du film, qui avance par touches plutôt douces, malgré le propos désenchanté.
Le Figaro
Peter Kerekes, réalisateur slovaque, a rencontré ces mères avant d'écrire 107 Mothers. Il signe un beau portrait de femme et une peinture réaliste de l'univers carcéral.
Les Fiches du Cinéma
Avec sa démarche documentaire et sa mise en scène dépouillée, Péter Kerekes signe un drame sensible mais austère.
Les Inrockuptibles
Censé ramener de la vie, ces blocs de vérités sont rigidifiés par l’immobilité léthargique des cadres. Cette solennité forcée imprime une gravité écrasante dont le film aurait pu se passer. À trop vouloir préserver la vérité de ses scènes, le film de Kerekes manque d’un véritable souffle romanesque.
Télérama
Ce mélange permanent de fiction et de documentaire est parfois déroutant, mais souvent émouvant.
Première
Au lieu de se concentrer sur les seules détenues, on passe par exemple beaucoup de temps avec une gardienne, personnage qui mériterait un film en elle-même et dont on ne saura jamais ici vraiment pourquoi elle s’attache plus à Lyesa qu’à une autre.