Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par M.O.
Un passionnant récit de l'acte de la création.
Voici
par La Rédaction
Un document captivant.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Indispensable pour les profanes, un plaisir pour les admirateurs.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un formidable documentaire sur un artiste jusqu’ici resté très discret dont la parole s’exprimait uniquement par la musique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sans faire les pieds au mur, ni s’étaler sur sa collaboration avec le maestro, Tornatore, cinéaste plan-plan, détaille parfaitement le processus qui a graduellement transformé un petit trompettiste fils de trompettiste (de jazz) en géant musical du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par N. S.
On en sort avec une envie folle de les revoir, quelques frustrations et, en tête, le portrait d’un homme sévère dont la rigueur et l’intransigeance, qui l’amenaient souvent à se fâcher avec les cinéastes, cachaient une émotion à fleur de peau. Vivement une version longue de cinq heures.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Proche du maestro disparu en 2020, la cinéaste italien Guiseppe Tornatore signe un somptueux et très riche documentaire où le génie d’Ennio Morricone s’affirme à chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Nuc
Les premiers plans du documentaire établissent une proximité difficile à obtenir avec ce grand taiseux. En confiance, le musicien se montre dans l’intimité, ouvre les portes de son bureau et se dévoile comme il ne l’avait jamais fait. On est sidéré par ce parcours complètement atypique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le film, truffé d’images d’archives, d’extraits de films et de concerts, retrace en deux heures et demie la vie et la carrière de ce grand monsieur, qui se livre lui aussi, depuis son appartement romain, au réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Ennio ou le portrait d'un incompris magnifique.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Grâce à un fonds d’archives pléthorique, des intervenants souvent pertinents, une attention portée autant à l’œuvre qu’à l’homme, Giuseppe Tornatore a conçu un portrait cinématographique d’Ennio Morricone à la hauteur de son immense sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Riche en archives et témoignages, le documentaire de Giuseppe Tornatore instaure une vraie proximité avec le compositeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Christophe Conte
[Un] film sérieux, formellement classique mais éblouissant dans ce qu’il révèle des secrets de fabrication d’une œuvre dont on ne verra jamais le bout (plus de 500 bandes originales, des centaines de chansons composées ou orchestrées, un vaste corpus de musique de chambre et d’avant-garde) [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
Documentaire aux proportions impressionnantes (2 h 36), Ennio sait nous rendre proche un musicien que l'on disait difficile, voire hautain. On le découvre timide et exigeant. Somptueux patchworks, témoignages et extraits de film célèbrent la diversité et l'ampleur de Morricone.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Le déroulé est aussi fascinant qu’il peut paraître fastidieux de temps en temps, précisément parce que la trajectoire fut loin d’être rectiligne.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un portrait très touchant et une immersion dans la musique du plus populaire compositeur de cinéma du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec le documentaire Ennio, le cinéaste Giuseppe Tornatore rend un bel hommage au maestro italien, mort en 2020.
Télérama
par Stéphane Jarno
Si le film de Tornatore n’évite pas l’avalanche d’éloges lénifiants, certains témoignages, en particulier ceux de Bernardo Bertolucci, Nicola Piovani ou Clint Eastwood, éclairent le génie singulier du maestro, son instinct musical, sa faculté à savoir immédiatement devant l’image quel chemin et quelles sonorités emprunter.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par Chloé Ronchin
S’il fallait bien 2h40 pour embrasser toute son illustre carrière, cette œuvre hagiographique, classique et conventionnelle sur la forme, peut faire décrocher un spectateur pourtant investi.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Un documentaire au contenu formidable, mais à la forme répétitive.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Classique dans sa forme mais captivant, le documentaire parcourt une œuvre colossale, des expérimentations musicales aux BO incontournables, insistant sur sa richesse et sa diversité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Et ce qui frappe, c’est l’incroyable vivacité d’esprit, l’expression d’une mémoire intacte, la précision de l’énonciation lorsqu’il s’agit de rappeler les conditions et les idées qui ont engendré telle ou telle composition devenue immortelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Cédric Delelée
L'ennui, c'est qu'en dehors des extraits musicaux et d'anecdotes parfois savoureuses, le documentaire se résume trop souvent à une hagiographie à rallonge [...].
Ouest France
Un passionnant récit de l'acte de la création.
Voici
Un document captivant.
CinemaTeaser
Indispensable pour les profanes, un plaisir pour les admirateurs.
Franceinfo Culture
Un formidable documentaire sur un artiste jusqu’ici resté très discret dont la parole s’exprimait uniquement par la musique.
L'Humanité
Sans faire les pieds au mur, ni s’étaler sur sa collaboration avec le maestro, Tornatore, cinéaste plan-plan, détaille parfaitement le processus qui a graduellement transformé un petit trompettiste fils de trompettiste (de jazz) en géant musical du XXe siècle.
L'Obs
On en sort avec une envie folle de les revoir, quelques frustrations et, en tête, le portrait d’un homme sévère dont la rigueur et l’intransigeance, qui l’amenaient souvent à se fâcher avec les cinéastes, cachaient une émotion à fleur de peau. Vivement une version longue de cinq heures.
La Voix du Nord
Proche du maestro disparu en 2020, la cinéaste italien Guiseppe Tornatore signe un somptueux et très riche documentaire où le génie d’Ennio Morricone s’affirme à chaque instant.
Le Figaro
Les premiers plans du documentaire établissent une proximité difficile à obtenir avec ce grand taiseux. En confiance, le musicien se montre dans l’intimité, ouvre les portes de son bureau et se dévoile comme il ne l’avait jamais fait. On est sidéré par ce parcours complètement atypique.
Le Parisien
Le film, truffé d’images d’archives, d’extraits de films et de concerts, retrace en deux heures et demie la vie et la carrière de ce grand monsieur, qui se livre lui aussi, depuis son appartement romain, au réalisateur.
Le Point
Ennio ou le portrait d'un incompris magnifique.
Les Fiches du Cinéma
Grâce à un fonds d’archives pléthorique, des intervenants souvent pertinents, une attention portée autant à l’œuvre qu’à l’homme, Giuseppe Tornatore a conçu un portrait cinématographique d’Ennio Morricone à la hauteur de son immense sujet.
Les Inrockuptibles
Riche en archives et témoignages, le documentaire de Giuseppe Tornatore instaure une vraie proximité avec le compositeur.
Libération
[Un] film sérieux, formellement classique mais éblouissant dans ce qu’il révèle des secrets de fabrication d’une œuvre dont on ne verra jamais le bout (plus de 500 bandes originales, des centaines de chansons composées ou orchestrées, un vaste corpus de musique de chambre et d’avant-garde) [...].
Positif
Documentaire aux proportions impressionnantes (2 h 36), Ennio sait nous rendre proche un musicien que l'on disait difficile, voire hautain. On le découvre timide et exigeant. Somptueux patchworks, témoignages et extraits de film célèbrent la diversité et l'ampleur de Morricone.
Rolling Stone
Le déroulé est aussi fascinant qu’il peut paraître fastidieux de temps en temps, précisément parce que la trajectoire fut loin d’être rectiligne.
Sud Ouest
Un portrait très touchant et une immersion dans la musique du plus populaire compositeur de cinéma du XXe siècle.
Télé 7 Jours
Avec le documentaire Ennio, le cinéaste Giuseppe Tornatore rend un bel hommage au maestro italien, mort en 2020.
Télérama
Si le film de Tornatore n’évite pas l’avalanche d’éloges lénifiants, certains témoignages, en particulier ceux de Bernardo Bertolucci, Nicola Piovani ou Clint Eastwood, éclairent le génie singulier du maestro, son instinct musical, sa faculté à savoir immédiatement devant l’image quel chemin et quelles sonorités emprunter.
CNews
S’il fallait bien 2h40 pour embrasser toute son illustre carrière, cette œuvre hagiographique, classique et conventionnelle sur la forme, peut faire décrocher un spectateur pourtant investi.
La Croix
Un documentaire au contenu formidable, mais à la forme répétitive.
Le Journal du Dimanche
Classique dans sa forme mais captivant, le documentaire parcourt une œuvre colossale, des expérimentations musicales aux BO incontournables, insistant sur sa richesse et sa diversité.
Le Monde
Et ce qui frappe, c’est l’incroyable vivacité d’esprit, l’expression d’une mémoire intacte, la précision de l’énonciation lorsqu’il s’agit de rappeler les conditions et les idées qui ont engendré telle ou telle composition devenue immortelle.
Mad Movies
L'ennui, c'est qu'en dehors des extraits musicaux et d'anecdotes parfois savoureuses, le documentaire se résume trop souvent à une hagiographie à rallonge [...].