Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un documentaire intelligent, qui révèle par petites touches l’horreur de la condition des Afro-Américains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par François Forestier
Le film d’Andreï Schtakleff joue sur ce contraste entre quartiers ruinés et dynamisme des habitants noirs, qui non seulement conservent la mémoire du lieu (et de son capitalisme féroce), mais réinventent un futur postindustriel. L’Amérique est-elle un empire qui se disloque et se restructure ? Faut voir. On voit : c’est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
En donnant essentiellement la parole à des Afro-Américains, le réalisateur raconte le passage d'une ségrégation à une autre, de l'exploitation à la gentrification.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Les ruines ont remplacé le faste de l’ère industrielle, et c’est à un monde mourant que le troisième long-métrage d’Andreï Schtakleff rend son étincelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Las, si ce documentaire s’avère réussi dans sa partie nostalgique, avec notamment des images fascinantes de clips des groupes phares de la Motown, le label local qui a lancé les meilleurs artistes soul, il se perd en route en choisissant de ne faire parler que ceux qui défendent les droits civiques et ont une approche sociale de la reconstruction de la ville.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un beau portrait, mais un documentaire parfois frustrant qui lance des pistes sans toujours les explorer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Si le film d’Andreï Schtakleff ne manque pas des habituels travellings le long des rues et des autoroutes, il vaut surtout pour la perspective historique qu’il déploie à partir d’archives et d’entretiens avec les habitants.
Première
par Thierry Chèze
Mais Detroiters apparaît cependant rapidement comme un documentaire de plus sur cette Amérique des laissés- pour- compte, sans singularité saillante dans son récit comme dans sa mise en images.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Un documentaire intelligent, qui révèle par petites touches l’horreur de la condition des Afro-Américains.
L'Obs
Le film d’Andreï Schtakleff joue sur ce contraste entre quartiers ruinés et dynamisme des habitants noirs, qui non seulement conservent la mémoire du lieu (et de son capitalisme féroce), mais réinventent un futur postindustriel. L’Amérique est-elle un empire qui se disloque et se restructure ? Faut voir. On voit : c’est fascinant.
Le Figaro
En donnant essentiellement la parole à des Afro-Américains, le réalisateur raconte le passage d'une ségrégation à une autre, de l'exploitation à la gentrification.
Le Monde
Les ruines ont remplacé le faste de l’ère industrielle, et c’est à un monde mourant que le troisième long-métrage d’Andreï Schtakleff rend son étincelle.
Le Parisien
Las, si ce documentaire s’avère réussi dans sa partie nostalgique, avec notamment des images fascinantes de clips des groupes phares de la Motown, le label local qui a lancé les meilleurs artistes soul, il se perd en route en choisissant de ne faire parler que ceux qui défendent les droits civiques et ont une approche sociale de la reconstruction de la ville.
Les Fiches du Cinéma
Un beau portrait, mais un documentaire parfois frustrant qui lance des pistes sans toujours les explorer.
Cahiers du Cinéma
Si le film d’Andreï Schtakleff ne manque pas des habituels travellings le long des rues et des autoroutes, il vaut surtout pour la perspective historique qu’il déploie à partir d’archives et d’entretiens avec les habitants.
Première
Mais Detroiters apparaît cependant rapidement comme un documentaire de plus sur cette Amérique des laissés- pour- compte, sans singularité saillante dans son récit comme dans sa mise en images.