Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Construit autour de la voix off très littéraire d’Emmanuelle Bonthoux, la professeure, En nous brosse le portrait de jeunes gens qui, tant bien que mal, trouvent leur place dans une société fracturée et se libèrent des assignations.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Bande à part
par Isabelle Danel
Dix ans après Nous, princesses de Clèves, le documentariste Régis Sauder retrouve une partie de ses protagonistes. Ils et elles ont grandi, déchanté, mais ont avancé. Et les regarder fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Empathique, le cinéaste les accompagne dans leur vie quotidienne, recueille leurs doutes, leurs ambitions brimées et leurs confusions amoureuses ainsi que l’empreinte, encore vibrante, des mots de la romancière du XVIIe siècle. Et il dessine en creux l’influence de l’enseignement public et de la littérature sur ces étudiants issus de quartiers dits difficiles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Régis Sauder retrouve les élèves et l’enseignante du lycée Diderot de Marseille avec qui il réalisa, voici dix ans, Nous, princesses de Clèves, et trousse un nouveau documentaire formidable d’humanité, de vie et de sociologie sur notre jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O’Neill
Un hymne à la jeunesse.
Télérama
par Cécile Mury
De l’école au monde du travail, des terres fertiles de La Princesse de Clèves aux cahots de l’ascenseur social, En nous, singulier au pluriel, offre constamment le relief de l’intime à la reflexion politique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La beauté d’En nous réside sans doute ailleurs que dans la curiosité attendrie des retrouvailles : c’est quand il se résout à l’austérité du portrait et accepte la normalité des vies présentes des jeunes gens que Sauder parvient à ériger des figures placidement héroïques.
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Ils étaient magnifiques il y a dix ans, ils sont magnifiques aujourd’hui, intrinsèquement et devant la caméra de Régis Sauder l’humaniste, qui en captant l’intime touche à l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par A.H.
Sans misérabilisme, Régis Sauder dresse le portrait d'une jeunesse ancrée dans la modernité, dont l'existence n'est pas définie par leurs origines dans un quartier populaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Positif mais pas naïf, ce documentaire soulignant la force que chaque protagoniste porte en lui en dit beaucoup sans grand discours.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
En nous conserve cette légèreté qui faisait le charme du premier opus, tout en faisant apparaître les nouvelles morsures et entorses au pacte républicain, auxquelles les lycéens ont dû faire face.
Libération
par Sandra Onana
[...] nul n’aurait le cœur à dire du mal de l’entreprise, et l’on prend grand plaisir à les écouter. Rien n’indique pour autant que cette question de la représentation de soi serait particulièrement prise en charge ou problématisée par la forme du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Une ode au service public – particulièrement à une école et son rôle majeur d’ascenseur social, en dépit de moyens exsangues – qui témoigne de l’immense talent de confesseur d’un cinéaste qui s’efface (en images comme en mots) derrière ceux qu’ils filment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Régis Sauder signe un beau documentaire, dix ans après le film qu’il avait réalisé avec une classe du lycée Diderot de Marseille.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un documentaire sans complexe, qui démontre que le multiculturalisme Français n’est pas nécessairement un frein à la réussite et à l’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Construit autour de la voix off très littéraire d’Emmanuelle Bonthoux, la professeure, En nous brosse le portrait de jeunes gens qui, tant bien que mal, trouvent leur place dans une société fracturée et se libèrent des assignations.
Bande à part
Dix ans après Nous, princesses de Clèves, le documentariste Régis Sauder retrouve une partie de ses protagonistes. Ils et elles ont grandi, déchanté, mais ont avancé. Et les regarder fait un bien fou.
L'Obs
Empathique, le cinéaste les accompagne dans leur vie quotidienne, recueille leurs doutes, leurs ambitions brimées et leurs confusions amoureuses ainsi que l’empreinte, encore vibrante, des mots de la romancière du XVIIe siècle. Et il dessine en creux l’influence de l’enseignement public et de la littérature sur ces étudiants issus de quartiers dits difficiles.
Les Fiches du Cinéma
Régis Sauder retrouve les élèves et l’enseignante du lycée Diderot de Marseille avec qui il réalisa, voici dix ans, Nous, princesses de Clèves, et trousse un nouveau documentaire formidable d’humanité, de vie et de sociologie sur notre jeunesse.
Positif
Un hymne à la jeunesse.
Télérama
De l’école au monde du travail, des terres fertiles de La Princesse de Clèves aux cahots de l’ascenseur social, En nous, singulier au pluriel, offre constamment le relief de l’intime à la reflexion politique.
Cahiers du Cinéma
La beauté d’En nous réside sans doute ailleurs que dans la curiosité attendrie des retrouvailles : c’est quand il se résout à l’austérité du portrait et accepte la normalité des vies présentes des jeunes gens que Sauder parvient à ériger des figures placidement héroïques.
Culturopoing.com
Ils étaient magnifiques il y a dix ans, ils sont magnifiques aujourd’hui, intrinsèquement et devant la caméra de Régis Sauder l’humaniste, qui en captant l’intime touche à l’universel.
Le Figaro
Sans misérabilisme, Régis Sauder dresse le portrait d'une jeunesse ancrée dans la modernité, dont l'existence n'est pas définie par leurs origines dans un quartier populaire.
Le Journal du Dimanche
Positif mais pas naïf, ce documentaire soulignant la force que chaque protagoniste porte en lui en dit beaucoup sans grand discours.
Le Monde
En nous conserve cette légèreté qui faisait le charme du premier opus, tout en faisant apparaître les nouvelles morsures et entorses au pacte républicain, auxquelles les lycéens ont dû faire face.
Libération
[...] nul n’aurait le cœur à dire du mal de l’entreprise, et l’on prend grand plaisir à les écouter. Rien n’indique pour autant que cette question de la représentation de soi serait particulièrement prise en charge ou problématisée par la forme du film.
Première
Une ode au service public – particulièrement à une école et son rôle majeur d’ascenseur social, en dépit de moyens exsangues – qui témoigne de l’immense talent de confesseur d’un cinéaste qui s’efface (en images comme en mots) derrière ceux qu’ils filment.
Sud Ouest
Régis Sauder signe un beau documentaire, dix ans après le film qu’il avait réalisé avec une classe du lycée Diderot de Marseille.
aVoir-aLire.com
Un documentaire sans complexe, qui démontre que le multiculturalisme Français n’est pas nécessairement un frein à la réussite et à l’émancipation.