AlloCiné
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Votre avis sur A demain mon amour ?
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Film merveilleux, a voir d'urgence ! Plus qu'une envie en sortant de la salle, trouver l'amour et faire la révolution
Merci Catherine Masson et Laurent Delmas de m'avoir poussé à écrire ma première critique. Des désaccords avec des critiques ciné, on en a tout le temps mais un mépris tel qu'entendu hier dans l'émission "On aura tout vu" méritait au moins une réaction.
Comment avez-vous pu réduire ce film, qui a suivi pendant 4 à 5 ans ce couple (d)étonnant, à une scène d'intimité et "le portrait de deux retraités dans leur petit pavillon de banlieue" ?
Retraités ils n'en ont que le titre tant ils sont de tous les combats, sur le terrain, en train d’observer, motiver, questionner, prendre des notes comme s'ils n'avaient jamais arrêter de travailler. La seule chose qui a changé depuis leur départ du CNRS est qu'ils n'ont désormais plus de devoir de réserve. Nous assistons à leur liberté d'expression retrouvée, chez eux certes mais surtout dans les rues, les usines, les gares, les beaux quartiers...
Quant à la scène d'intimité décriée, elle n'est qu'une preuve parmi d'autres de la confiance gagnée par le réalisateur, qui arrive à toucher au plus juste ces 2 chercheurs: bourreaux de travail, idéalistes enthousiastes qui ne renoncent jamais malgré leurs doutes et leurs fragilités.
Vous l'aurez compris, ce film émouvant, exigeant et drôle, d'une petite histoire dans la grande, mérite bien mieux que cette critique restrictive et expéditive. On n'y rencontre pas seulement 2 vieux sociologues mais une multitude de gens vrais, touchants, de tous âges et de tous milieux. Allez le voir, il ne vous laissera pas indifférent.
Comment avez-vous pu réduire ce film, qui a suivi pendant 4 à 5 ans ce couple (d)étonnant, à une scène d'intimité et "le portrait de deux retraités dans leur petit pavillon de banlieue" ?
Retraités ils n'en ont que le titre tant ils sont de tous les combats, sur le terrain, en train d’observer, motiver, questionner, prendre des notes comme s'ils n'avaient jamais arrêter de travailler. La seule chose qui a changé depuis leur départ du CNRS est qu'ils n'ont désormais plus de devoir de réserve. Nous assistons à leur liberté d'expression retrouvée, chez eux certes mais surtout dans les rues, les usines, les gares, les beaux quartiers...
Quant à la scène d'intimité décriée, elle n'est qu'une preuve parmi d'autres de la confiance gagnée par le réalisateur, qui arrive à toucher au plus juste ces 2 chercheurs: bourreaux de travail, idéalistes enthousiastes qui ne renoncent jamais malgré leurs doutes et leurs fragilités.
Vous l'aurez compris, ce film émouvant, exigeant et drôle, d'une petite histoire dans la grande, mérite bien mieux que cette critique restrictive et expéditive. On n'y rencontre pas seulement 2 vieux sociologues mais une multitude de gens vrais, touchants, de tous âges et de tous milieux. Allez le voir, il ne vous laissera pas indifférent.
La biographie de monstres sacrés de la sociologie française
Les époux Pinçon-Charlot se sont laissé approcher par Basile Carré-Agostini pour un documentaire. Le réalisateur arrive à filmer leurs échanges uniques, des moments de complicités intellectuels et amoureux. Lors d’une conférence, d’une assemblée générale ou dès le lit conjugal, ils ne forment qu’un. Le spectateur entre immédiatement dans leur intimité quotidienne. Après 37 ans de laboratoire au CNRS et 27 livres écrits à 4 mains, leurs travaux portent toujours sur la grande bourgeoisie et ses mécanismes de reproduction sociale (copinage et pantouflage). Ils rêvent d’un profond changement de société, qui a failli aboutir au moment des Gilets jaunes.
Le documentaire atteste d’une profonde amitié entre les trois - le réalisateur et les deux sociologues - à un moment de la vie des époux Pinçon-Charlot, où déjà âgés, ils n’arrêtent pas leurs analyses. Tel un testament, ils sont toujours là pour discuter et « prendre la température » souligne Monique Pinçon-Charlot dans les manifestations. Ils rendent compte de l’évolution des consciences et d’une révolution (ratée). Un magnifique témoignage de la société actuelle et de l'épisode des Gilets jaunes, vécu de l'intérieur, samedis après samedis. Leurs visions acerbes dépeignent les dérives du pays, ce que le réalisateur filme avec une finesse digne des plus grands. Cette turpitude, si caractéristique d'une certaine classe sociale, n'a pas fini de faire couler de l'encre.
« Un petit communisme à deux »
Même s’ils appartiennent à une tradition de lutte très politique, dont Carré-Agostini n’arrive pas (peut-être ne veut pas) à se détacher, l’amour, l’amitié, le partage et la générosité redonnent de l’espoir à des Français en quête d’un avenir meilleur. Lorsque la critique appuie sur le militantisme, la sociologue rétorque « il ne faut pas oublier que l’objectivité n’existe pas » et souligne qu’ils ne voulaient pas « donner une recette pour faire la révolution ». Fervent ambassadeurs démocratiques, les époux donnent une singulière définition de la politique : « La politique c’est un joli mot, ça n’a pas à être confisqué par des hommes et des riches. Même si l’agneau se fait bouffer par le loup, nous on défend l’agneau » s’écrie la coréalisatrice à l'avant-première strasbourgeoise. Dans cette logique, leurs travaux ont (toujours eu) pour objectif de mesurer à quel point le réel est dissimulé par les puissants. Pour les sociologues, la démocratie doit être le produit de tous et pas uniquement d’un petit noyau dirigeant en autarcie.
Les époux Pinçon-Charlot se sont laissé approcher par Basile Carré-Agostini pour un documentaire. Le réalisateur arrive à filmer leurs échanges uniques, des moments de complicités intellectuels et amoureux. Lors d’une conférence, d’une assemblée générale ou dès le lit conjugal, ils ne forment qu’un. Le spectateur entre immédiatement dans leur intimité quotidienne. Après 37 ans de laboratoire au CNRS et 27 livres écrits à 4 mains, leurs travaux portent toujours sur la grande bourgeoisie et ses mécanismes de reproduction sociale (copinage et pantouflage). Ils rêvent d’un profond changement de société, qui a failli aboutir au moment des Gilets jaunes.
Le documentaire atteste d’une profonde amitié entre les trois - le réalisateur et les deux sociologues - à un moment de la vie des époux Pinçon-Charlot, où déjà âgés, ils n’arrêtent pas leurs analyses. Tel un testament, ils sont toujours là pour discuter et « prendre la température » souligne Monique Pinçon-Charlot dans les manifestations. Ils rendent compte de l’évolution des consciences et d’une révolution (ratée). Un magnifique témoignage de la société actuelle et de l'épisode des Gilets jaunes, vécu de l'intérieur, samedis après samedis. Leurs visions acerbes dépeignent les dérives du pays, ce que le réalisateur filme avec une finesse digne des plus grands. Cette turpitude, si caractéristique d'une certaine classe sociale, n'a pas fini de faire couler de l'encre.
« Un petit communisme à deux »
Même s’ils appartiennent à une tradition de lutte très politique, dont Carré-Agostini n’arrive pas (peut-être ne veut pas) à se détacher, l’amour, l’amitié, le partage et la générosité redonnent de l’espoir à des Français en quête d’un avenir meilleur. Lorsque la critique appuie sur le militantisme, la sociologue rétorque « il ne faut pas oublier que l’objectivité n’existe pas » et souligne qu’ils ne voulaient pas « donner une recette pour faire la révolution ». Fervent ambassadeurs démocratiques, les époux donnent une singulière définition de la politique : « La politique c’est un joli mot, ça n’a pas à être confisqué par des hommes et des riches. Même si l’agneau se fait bouffer par le loup, nous on défend l’agneau » s’écrie la coréalisatrice à l'avant-première strasbourgeoise. Dans cette logique, leurs travaux ont (toujours eu) pour objectif de mesurer à quel point le réel est dissimulé par les puissants. Pour les sociologues, la démocratie doit être le produit de tous et pas uniquement d’un petit noyau dirigeant en autarcie.
Une beau documentaire avec une structure qui marche et bien tourné/monté qui nous emmène dans l'intimité intellectuelle des Pincon-Charlot et nous partage délicatement leur analyse très juste de la société actuelle et au passage du mouvement des gilets jaunes et de la grève des transports.
A aller voir vite.
A aller voir vite.
Excellent..
Courrez courrez voir ce film ...
Monique et Michel vivent leurs idéos ..ils nous secouent et croient en nous ..
Allons y..
Courrez courrez voir ce film ...
Monique et Michel vivent leurs idéos ..ils nous secouent et croient en nous ..
Allons y..
Ufuk K
"À demain mon amour" est un documentaire qui se regarde. En effet malgré un thème ultra rabâché (la crise des gilets jaunes) et un documentaire qui tourne en rond parfois, j'ai apprécié le portrait de ce célèbre couple de sociologue Monique et Michel Pinçon-Charlot décrit par le réalisateur Basile Carré-Agostini d'une manière drôle et attachante avec en prime une analyse du capitalisme en France intéressante.
"A demain mon amour", documentaire sur le formidable couple de sociologues Monique et Michel Pinçon-Charlot, réalisé par Basile Carré-Agostini, Sorti en 2022.
Monique et Michel Pinçon-Charlot sont des sociologues importants, dans les années 70 ils décident d'étudier la classe dominante. Une démarche inhabituelle à l'époque. Un voyage en bourgeoisie qui va leur permettre d"observer, comprendre et confirmer les mécanismes oligarchiques de cooptation, de reproduction sociale et de capitalisation du pouvoir et de l'argent. Ce sont eux qui démocratisent la notion d'oligarchie en France.
A la retraite depuis 2007, les Pinçon-Charlot ne désarment pas, ils continuent de travailler tous les jours depuis leur pavillon et sortent de leur devoir de réserve en tant que chercheurs au CNRS. La parole se libère enfin. Monique et Michel Pinçon-Charlot sont complémentaires, Michel, drôle et discret, Monique va sur les plateaux télé et prend le micro.
Un très beau film, sur l'intimité du couple, sur leur travail et leur regard sur la descente aux enfers que connait notre pays depuis 2007 et ses dernières années. Un documentaire touchant et bien réalisé.
Un film tendre sur le peuple travailleur de France et un film qui tombe à point, car Michel Pinçon nous as quitté en septembre 2022. Ce film lui rend un bel hommage.
Monique et Michel Pinçon-Charlot sont des sociologues importants, dans les années 70 ils décident d'étudier la classe dominante. Une démarche inhabituelle à l'époque. Un voyage en bourgeoisie qui va leur permettre d"observer, comprendre et confirmer les mécanismes oligarchiques de cooptation, de reproduction sociale et de capitalisation du pouvoir et de l'argent. Ce sont eux qui démocratisent la notion d'oligarchie en France.
A la retraite depuis 2007, les Pinçon-Charlot ne désarment pas, ils continuent de travailler tous les jours depuis leur pavillon et sortent de leur devoir de réserve en tant que chercheurs au CNRS. La parole se libère enfin. Monique et Michel Pinçon-Charlot sont complémentaires, Michel, drôle et discret, Monique va sur les plateaux télé et prend le micro.
Un très beau film, sur l'intimité du couple, sur leur travail et leur regard sur la descente aux enfers que connait notre pays depuis 2007 et ses dernières années. Un documentaire touchant et bien réalisé.
Un film tendre sur le peuple travailleur de France et un film qui tombe à point, car Michel Pinçon nous as quitté en septembre 2022. Ce film lui rend un bel hommage.
Monique et Michel Pinçon-Charlot sont deux sociologues qui ont longuement travaillé sur la bourgeoisie, son mode de vie et son fonctionnement. Engagés à gauche, ce documentaire nous permet une immersion dans leur quotidien et leur logiciel de pensée au moment où la France s’embrase avec les gilets jaunes. Ils enfilent alors leur gilet jaune et partent à la rencontre de ces français qui n’arrivent plus à joindre les deux bout. Ce couple qui se connaît par cœur met sa connaissance au service d’une cause juste : le partage des richesses.
Itinéraire militant et amoureux des deux célèbres sociologues . Film attachant mais aussi "à message vivifiant" ; un regard bienveillant mais pas complaisant avec le "politiquement correct". Salvateur.
Pat
Pat
Si vous n'aimez pas les documentaires, allez voir "A demain, mon amour".
Si vous aimez le cinéma, allez voir ce documentaire qui nous livre l'amour nourrit de la même passion de deux êtres comme tout le monde .La magie du cinéma nous donne d'innombrables clés pour réfléchir toute génération confondue au monde d'après.
Vous découvrirez deux chercheurs ,sociologues atypiques, tellement engagés pour défendre les opprimés, qu'ils ont choisi pour les faire exister d'observer en miroir l'autre classe, celle de la grande bourgeoisie.Sans caricature et sans complaisance, guidé par Monique et Michel, Michel et Monique le réalisateur nous conduit subtilement dans ce monde bien soudé, organisé en contre point des manifestations des gilets jaunes et des syndicats ou dans les allées de la fête de de lHumanité quand les opprimés donnent de la voix et cherchent leur chemin.
Pas de recette pour conquérir un monde plus juste, fraternel et solidaire, un mot "la Révolution".
Refuser qu'une poignée de nantis s'enrichisse de la misère des autres, conquérir le pouvoir pour ceux qui produisent les richesses, abolir les inégalités pour sauvegarder la planète.
Leur engagement nous invite à beaucoup d'humanité et redonne un noble sens à la politique.
Si vous aimez le cinéma, allez voir ce documentaire qui nous livre l'amour nourrit de la même passion de deux êtres comme tout le monde .La magie du cinéma nous donne d'innombrables clés pour réfléchir toute génération confondue au monde d'après.
Vous découvrirez deux chercheurs ,sociologues atypiques, tellement engagés pour défendre les opprimés, qu'ils ont choisi pour les faire exister d'observer en miroir l'autre classe, celle de la grande bourgeoisie.Sans caricature et sans complaisance, guidé par Monique et Michel, Michel et Monique le réalisateur nous conduit subtilement dans ce monde bien soudé, organisé en contre point des manifestations des gilets jaunes et des syndicats ou dans les allées de la fête de de lHumanité quand les opprimés donnent de la voix et cherchent leur chemin.
Pas de recette pour conquérir un monde plus juste, fraternel et solidaire, un mot "la Révolution".
Refuser qu'une poignée de nantis s'enrichisse de la misère des autres, conquérir le pouvoir pour ceux qui produisent les richesses, abolir les inégalités pour sauvegarder la planète.
Leur engagement nous invite à beaucoup d'humanité et redonne un noble sens à la politique.
Vu en avant-première, très bon film. Très touchant, on sort de la salle avec plein de réflexions en tête
Un très bon documentaire sur le couple de sociologues qui a dédié sa vie à étudier la haute bourgeoisie. Le constat a de quoi faire froid dans le dos pourtant la posture bienveillante du couple envers son prochain et l'amour qui les unis invite à la réflexion. On comprend à quel point la sociologie et l'amour sont imbriqués dans la vie du couple. Leur manière d'être est désarmante de simplicité et ponctuée d'humour. La parole est donné à des protagonistes extérieurs croisés sur leur route, tous à leur façon nous éclairent de leur lucidité. L'ensemble dresse un portrait réaliste de la France.
Enfin un documentaire qui ne surfe pas sur le pathos ou le sensationnel et ne délivre pas un message moralisateur.
Le résultat : un film accessible pour les novices en sociologie, un film touchant, drôle et étonnement inspirant!
Enfin un documentaire qui ne surfe pas sur le pathos ou le sensationnel et ne délivre pas un message moralisateur.
Le résultat : un film accessible pour les novices en sociologie, un film touchant, drôle et étonnement inspirant!
Il y a des prismes qui déforment la réalité, ce documentaire ce positionne avec une modestie absolue pour cueillir des moments de grâce.
Pas de jugement, mais des mises en perspective qui nous offrent avec une grande générosité et tendresse la possibilité de nous faire réfléchir sur notre NOUS.
Pas de jugement, mais des mises en perspective qui nous offrent avec une grande générosité et tendresse la possibilité de nous faire réfléchir sur notre NOUS.
C'est la première critique que je publie sur ce site, mais là, ça s'est imposé! "il faut rester droit!"
Ce magnifique, terrible et tendre documentaire, pétri d'amour, m'a donné à revivre ces bientôt 5 années passées et m'a permis de mesurer combien j'ai pu oublier les 49.3, les lois cadres, les retraites, la clope au bec, la rue à traverser, les sidérations devant les gaz, les L.Ferry enjoignant les forces de l'ordre à ne pas le respecter, … jusqu'aux racines blanches qui vont enfin pouvoir se teinter de couleurs de printemps un certain 10 mai… Importants, les 10 Mai!
La caméra est toujours proche, intime, et cependant suffisamment discrète pour laisser Le Monde arriver naturellement dans son cadre. Le son est lui aussi intime et riche, il enveloppe les lieux, les personnages, autant qu'il ouvre vers un hors-cadre, en grande finesse.
Je ne vais pas faire l'inventaire des séquences cependant la leçon " d'Économie pour les Nuls" et le travelling de la controverse en taxi valent à elles deux d'éteindre la télévision pour aller voir ce magnifique film en salles!!!
Bon film…
Ah, j'oubliais, le film se termine en apothéose, avec un jazz des barricades!
Ce magnifique, terrible et tendre documentaire, pétri d'amour, m'a donné à revivre ces bientôt 5 années passées et m'a permis de mesurer combien j'ai pu oublier les 49.3, les lois cadres, les retraites, la clope au bec, la rue à traverser, les sidérations devant les gaz, les L.Ferry enjoignant les forces de l'ordre à ne pas le respecter, … jusqu'aux racines blanches qui vont enfin pouvoir se teinter de couleurs de printemps un certain 10 mai… Importants, les 10 Mai!
La caméra est toujours proche, intime, et cependant suffisamment discrète pour laisser Le Monde arriver naturellement dans son cadre. Le son est lui aussi intime et riche, il enveloppe les lieux, les personnages, autant qu'il ouvre vers un hors-cadre, en grande finesse.
Je ne vais pas faire l'inventaire des séquences cependant la leçon " d'Économie pour les Nuls" et le travelling de la controverse en taxi valent à elles deux d'éteindre la télévision pour aller voir ce magnifique film en salles!!!
Bon film…
Ah, j'oubliais, le film se termine en apothéose, avec un jazz des barricades!
Film d'une humanité très appréciable. Ce couple de chercheurs repose les bases d'énormément de choses ; sur la contestation, la lutte, mais aussi sur l'amour, le couple, les liens humains. Nous avons besoin des gens qui pensent, ils nous éclairent et nous apprennent à penser nous aussi.
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