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Roub E.
947 abonnés
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4,0
Publiée le 27 juin 2021
Un peu d’Alien et de premier contact une touche de The Thing avec son côté parano voilà comment je décrirais rapidement ce Sputnik film à la croisé de chemins de la science fiction et de l’horreur. J’ai apprécié l’ambiance guerre froide qui accentue le côté parano du film, le décorum est soigné et rend le film crédible. La bête est montrée et utilisée de manière intelligente et le soin qui a été apporté à l’écriture des personnages m’a impliqué avec eux. Bref une belle surprise du cinéma russe qui reprend les codes d’un cinéma des années 80 à bon escient.
Une tentative manquée de science-fiction horrifique russe. Le modèle revendiqué du parasite de l'espace serait Alien. On songe plutôt à la Mutante, en nettement moins bien, ce qui est tout dire...
Bonne surprise que ce "Life" russe. Bien filmé et joué, dans une URSS bureaucratique parfaitement reconstitué. C'est froid et lent, comme la Russie au temps des cocos. Le monstre est très proche de celui de Life, avec des touches nettes de gore. Seule l'histoire parallèle de l'orphelinat n'amène rien.
Bien que l’on reste dans la pure conjecture quant à l’intrusion de la créature exogène dans la capsule des cosmonaute, nous avons affaire à un film de science-fiction de facture certes classique, mais avec un didactisme et une précision dans l’argumentaire des faits, qui donne une crédibilité et un réalisme que l’on trouve rarement dans le cinéma fantastique. Qui plus est, l’atmosphère est sobre, et la projection dans une Russie soviétique est bien retranscrite. On retrouve un peu l'esprit de la série 'Alien' avec son atmosphère carcérale, angoissante. Les effets spéciaux sont de très bonne facture et utilisés avec une égale sobriété qui appuie le réalisme recherché de l'histoire. L'intérèt du film se maintient jusqu’à la fin Mais hélas quelle fin grotesque et sans lien direct avec le reste du film, avec cette histoire de l’enfant du cosmonaute, qui hormis le fait qu’elle n’apporte rien à l’histoire est hallucinante de ridicule. (spoiler : L’héroïne décide d’adopter l’enfant du cosmonaute, enfant à priori Handicapé moteur, mais pour qui on a gardé en cadeau une paire de tennis Toutes neuves dans une anonyme boite plutôt vieille et avec lesquelles Il se met à quitter son fauteuil roulant pour marcher sans problèmes quelques plans Plus tard. Qui plus est il annonce à sa nouvelle mère qu’il n’est pas un garçon mais une Fille (personne ne s’en est occupé d’assez près pour s’en rendre compte) et que son nom Est le même que celui de l’héroïne, compte tenu de l’impossibilité d’avoir un prénom original en Russie, cela n’est pas étonnant mais c’est elle qui s'appele ainsi ainsi ou a t’elle été appelée ainsi. Mais alors par qui lors de l’inscription a l’état civil). Bref on en dira plus sur cette fin totalement incongrue que sur tout le reste du film qui pourtant est de très bonne qualité à tous niveaux.
Un très bonne première heure, et une très ennuyante seconde qui ne va nul part. Dommage car le film avait beaucoup de qualités; bien réalisé, bien produit, avec un casting franchement efficace. Mais malheureusement trop lent et pas très intéressant passé la 60eme minute. L'histoire méritait de prendre une autre direction que ce scénario cliché et déjà-vu.. mérite une bonne 20taine de minutes en moins, peu voir pas d'empathie pour les personnages à la fin. Pas horrible mais clairement pas dingue non plus
Sputnik résonnera dans ma tête pour toujours, ce titre est fou. Pourtant j’ai dormi parce que c’était limite ennuyant cette histoire d’aliénées suceur de sang.. pas mal quand même pour un bon sommeil
Malgré un scenario peu original manquent de consistance et de profondeur, ce film m'a permit de passer un bon moment, la réalisation est réussi pour ce premier film d'Abramenko qui nous offre quelques bons moments de ciné... l'actrice principale, oskana akinshina, est simplement parfaite, la créature E.T. est convaincante ... mais il manque un peu d'audace à ce film pour complétement nous captiver
Konstantin revient sur terre après une mission spatiale mais il n'est pas seul. Sans révolutionner le genre, Sputnik se positionne comme un film de science-fiction plutôt réfléchi. En misant sur l'aspect psychologique de ses personnages, Egor Abramenko, jeune réalisateur, se démarque quelque peu de la SF qui nous abreuve de luttes frontales ou encore d’exterminations lorsque des aliens débarquent sur terre.
Alors là ! Je me suis fait bleufé ! :-) un film entrant dans la pasychologie par particuirelement horreur ... ni terrifiant ... pour moi un thriller avec une grande objection sur tout le film ... les doublages sont pas extraordinaires mais on s'y fait ... je peux vous recommander tranquillement au calme.
Agréable avec un scénario réussi pour ma part. On ne s'ennuie pas. Classiquement (malheureusement) les bons et les méchants intéressés, l'enjeu soviétique de l'époque n'apporte pas grand chose. Bonnes prestations pour ce thriller doux, quelques moyens et un mystère assez bien tenu au départ. 3/5 !!!
Film de SF russe qui ne manque pas d'intérêt, même si la redondance de certaines scènes et l'absence de tension et d'action jouent en sa défaveur. Dommage, car la créature est plutôt réussie ,les acteurs sont crédibles et les idées (sur la créature) étaient là.
Respectant l’époque, les décors et les personnages, on reste coincés dans les années 80. L'histoire se déroule quasi intégralement dans un centre de recherche russe caché afin d’étudier une espèce inconnue que l'un des cosmonautes a rapporté avec lui lors de sa rentrée sur Terre. Les effets spéciaux de l’étrange créature sont de très bonnes factures, dommage que quelques incohérences agacent comme le peu de précautions que prennent l’équipe lors de l’étude de cette créature, ce qui parait peu probable pour un centre de recherche ultra bien gardé. Les acteurs sont convaincants et l’atmosphère du film réussi, sur fond d'autorité politique soviétique, l’époque est sauvegardée. Le cosmonaute quant à lui est dénué de toutes expression, un triste acteur. Heureusement, la beauté de l'actrice qui interprète le médecin renverse la situation et rend le film plus intéressant.