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film en 4 parties, correspondant à 4 chambres, centré sur le personnage du Groom... le concept est sympathique et donne au film une certaine fluidité. il n'en est pas moins que les 4 parties restent décousues ce qui laisse le doute au niveau de la temporalité jusqu'au début du 4è chapitre. J'ai trouvé personnellement que le 3è chapitre était le plus réussi, avec un Robert Rodriguez qui nous concocte une sorte de Vaudeville assez musclé qui m'a totalement séduit.
Le scénario de ce film est super. On rigole beaucoup devant la prestation de Tim Roth. La partie du film réalisé par Robert Rodriguez et par Quentin Tarantino est la meilleur.
Je l'ai essentiellement regarder pour la présence de Madonna... je m'attendais à un navet mais au final j'ai passer un bon moment !
Film difficile à trouver et c'est bien dommage. Ce film réalisé par quatre réalisateur(trice) différents est vraiment bon. Avec un Tim Roth excellent et des acteurs secondaires au top. Aprés le meilleur reste biensur l'épisode de Rodriguez et Tarantino. A voir.
Les deux premier actes du film m'ont pas trop fait accroché. Mais les deux suivante sont énorme ! Quand Rodriguez et Tarantino s'y mettent, ça déménage. Dommage que ce soit aussi inégal, mais en faisant un film de ce genre, c'est difficile.
4 minis films en un. 4 situations pour le groom de service. L'humour est assez bon, mais il faut être dedans. Beaucoup de dialogues et de scènes improbables. Ce n'est pas terriblement bien joué. C'est surtout un film de potes où l'on retrouve les acteurs que Robert Rodriguez et Quentin Tarantino aiment bien. On passera un bon moment pour les fêtes de Noël.
Redzing
En 1995, quatre amis réalisateurs décident de sortir un film à sketch, dont le fil rouge sera un groom qui passe une nuit infernale dans un hôtel. Chaque court-métrage présentera ainsi notre groom répondant aux besoins étranges de clients non moins étranges. Le film ne sera pas un succès, loin de là. Très inégal, égratigné par la presse, il sortira en catimini aux USA pour Noël 1995, et ne sera diffusé en France qu'en 1998, directement en vidéo. Qu'en est-il exactement ? Clairement, les deux premiers segments, signés Allison Anders et Alexandre Rockwell, sont mauvais. Un histoire de sorcière sans intérêt et sans chute, affichant de la nudité gratuite, qui semble être le scénario d'un porno des années 80. Et une trame très laborieuse de jeu entre un mari et sa femme. Il est peu étonnant que la carrière des deux réalisateurs n'ait pas décollé. Changement radical pour les deux suivants. La portion de Robert Rodriguez, présentant des enfants infernaux à garder, est franchement amusante et rythmée. Enfin, Quentin Tarantino se taille la part du lion avec le dernier sketch. Le réalisateur, alors auréolé du triomphe "Pulp Fiction", joue presque son propre rôle en incarnant un metteur en scène à succès, qui domine toute l'immense chambre et convainc ses acolytes de mener un pari stupide. Un exercice bien mené (plans-séquences à l'appui), mais un curieux échappatoire pour Tarantino qui était attendu au tournant après "Pulp Fiction". Côté acteurs, Tim Roth incarne le groom excentrique qui roule son boule en permanence, et qui est plus ou moins bien utilisé par les segments. Face à lui, de nombreuses guest stars, parfois surprenantes. A l'arrivée, un exercice profondément inégal, dont la note n'a pas vraiment de sens.
La composition de Tim Roth est excessive, un peu à la manière des grandes vedettes du cinéma muet, et il y a quelques idées délirantes, mais le film est plutôt inégal : la première partie est ennuyeuse, puis on monte en gamme avec la situation dans laquelle se trouve le groom dans la seconde. La troisième partie est la plus folle mais elle s'arrête un peu brutalement. Enfin la dernière est un peu décevante : on en attendait beaucoup puisque réalisée par Tarantino, mais si la situation dans laquelle se trouve le groom est prometteuse, les dialogues n'atteignent malheureusement pas les sommets espérés.
Un film à sketchs inégal, à l'humour loufoque poussif, en dépit de quelques fulgurances (surtout le dernier court de Tarantino) et d'un casting prestigieux.
UNE NUIT EN ENFER. Comme dit le groom de l'ascenseur, dans la vie il y a des hauts et des bas. Le quatuor d'amis de l'époque propose chacun leur segment plus ou mois inégal sur les misères du groom Mister Orange. La nuit venue, panique à l'hôtel, l'humour monte crescendo et Tim Roth se sacrifie. Comment passé à coté d'un des premiers Tarantino.
Un film composé de quatre sketchs très inégaux, malgré un casting assez impressionnant que ce soit devant ou derrière la caméra. A titre personnel, seul le troisième a réussi à m'arracher des sourires, notamment par l'interprétation des enfants et le comique de situation vraiment réussi. Pour le reste, j'ai vraiment eu l'impression d'assister aux vagabondages de célébrités dans des situations décousues, ni drôles ni auto-critiques. C'est faussement impertinent et volontairement vulgaire. Le personnage principal de Tim Roth en groom efféminé n'est pas une grande réussite non plus et ne lie pas forcément les différentes histoires entre elles. Je comprends aisément l'échec de ce film à sa sortie parce que personne ne devait s'attendre à ça.
Un film à sketch hyper nerveux, il y a tout le temps un truc qui ce passe, jamais 2 seconde de répit, Tim Roth à la démarche très bizarre, Antonio Banderas en père de 2 gosse qui foute un bordel pas possible, un Tarantino et un Willis complètement bourré ! bref que du bonheur !
Humour noir à souhait, un Tim Roth complètement déjanté, mais des scénarios un peu maigres dans l'ensemble. A voir une fois par curiosité si vous êtes fan de l'un - ou de plusieurs - des réalisateurs.
Divisé en quatre sketches réalisés par quatre réalisateur différents, "Groom Service" relate les (més)aventures d'un groom dans quatre chambres d' un Hôtel luxueux. Le principe est original mais la qualité des segments sont trop inégales. Les deux premiers sont anecdotiques alors que ceux réalisés par Robert Rodriguez et Quentin Tarantino relèvent le niveau. Tout cela reste toutefois peu intéressant et ne mène nulle part. L'interprétation volontairement surjouée et maniérée de Tim Roth quoique destabilisant au début pimente ce long métrage trop fade à mon goût.
Audrey L
Quatre petites histoires dans un hôtel, auxquelles participe involontairement un pauvre groom... Dès le générique (et sa musique infernale), on sait qu'on va avoir du "Tarantino-Rodriguez" en grande forme... Et on a bien raison, le film Groom Service fait partie des films les plus fous du binôme déjanté : une histoire de sorcières (en petites tenues...), une histoire d'un homme qui séquestre et menace sa femme (le conte le moins jouissif, sur les quatre), le groom qui doit faire baby-sitter pour les enfants d'un truand et qui accumule les catastrophes dans leur chambre, et enfin l'apothéose du "tarantinesque" avec une bande de voyous qui parient de grandes sommes d'argent ou la perte d'un doigt sur un jeu d'allumage de briquet (avec Tarantino lui-même). Personnellement peu sensible à ce genre d'humour noir, j'imagine bien que les amateurs riront à s'en faire éclater les joues, car tout ici est poussé au centuple : les situations dingues (le groom qui a des relations avec une sorcière juste pour qu'elle puisse récupérer sa semence pour une potion), les répliques cyniques (Antonio Banderas qui conclue la découverte catastrophique de sa chambre par : "Ils ont fait des bêtises ?"), ou encore la dernière histoire dans laquelle les gros mots fusent comme s'il s'agissait d'une valeur ajoutée. Et de se retaper cette musique entêtante et agaçante (exprès) pour le générique de fin. Que ce soit Tarantino, Rodriguez, Roth, Banderas et les autres, tout le monde se fait plaisir et s'amuse dans Groom Service, et même si on ne partage pas forcément l'allégresse, on se plaît à les voir faire les fous.
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