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Un visiteur
4,5
Publiée le 1 février 2013
Le point de vue plus intimiste et les allers-retours entre les deux époques n'enlèvent rien à la magie du Parrain, et cette deuxième partie complète parfaitement la première. Quant à ses qualités, il n'est pas nécessaire de les rappeler !
Une suite beaucoup plus sombre que le premier avec un parrain voyant son entourage disparaître peu à peu, les acteurs sont toujours aussi excellents, et la mise en scène brillante. Mais l'histoire traine en longueur et tourne assez souvent autour de la même idée, dommage.
Cette fois-ci notre cher Francis Ford Coppola a fait très fort, réaliser une suite aussi efficace que le premier en y apportant quelques changements. Flashbacks du passé de Don Vito Corleone incroyablement efficaces, campés par un De Niro époustouflant dont l'oscar est largement mérité. Al Pacino crève l'écran, une fois de plus bien que dans ce film-ci il soit encore plus efficace. L'absence de Marlon Brando n'est pas véritablement regrettable, car tout le film tiens debout et nous secoue sévèrement. Un ‘’chef d'œuvre’’ du cinéma, l'une des meilleures suites jamais faites, un cran en dessous de l'immense premier film mais n'en demeure pas moins un vrai diamant.
Après un premier volet légèrement roboratif, Coppola remet le couvert avec ce nouvel opus, plus lisible et mieux rythmé. De foisonnant et digressif, il se fait plus ramassé, concentrant son sujet sur deux axes clairs et pas totalement distincts : l’ascension du père Vito, la montée en puissance du fils Michael. Jonglant de l’une à l’autre, il évite les lassitudes, accroche le regard et ouvre ses caractères à l’étude approfondie. Peu ont survécu au générique du premier volet, mais la galerie d’acteurs squatte toujours le haut du pavé : De Niro remplace efficacement Brando, Pacino prend du galon, les autres n’ont d’autre choix que de se hisser au niveau. Techniquement c’est toujours aussi propre, vaste, savamment soutenu par la bande-son légendaire. Les quelques brindilles de facilité se cachent parfaitement dans l’immense botte de réussite scénaristique. Tiraillé par l’inconsistance de ses proches et les roueries de ses rivaux, Michael s’endurcit imperceptiblement, rate sa vie de famille, glisse dans la violence. En total contraste avec la rupture tranquille et paternaliste qui suit l’avènement de son géniteur. Mais l’amour inconditionnel de l’ainé pour son favori montre bien qu’au final, ils ne sont pas si éloignés. Pour en savoir plus, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Une suite extrêmement décevante. Ayant cru que le film serait entièrement consacré à l'ascension de Don Vito, Coppola préfère se consacrer à la vie personnelle de son fils. On a donc droit à ses problèmes conjugaux et familiaux. Ce qui est d'un ennui absolu. Le film s'éloigne totalement du genre de gangsters et de l'essence du précédent opus pour presque arriver à un mauvais thriller, qui plus est avec des flashbacks manquant de profondeur : comment Don Vito a t-il réussi à s'en sortir en arrivant seul et démuni à New York ? Tout cela est très long, on attend mais en vain. Et le fait que cette suite a été considérée comme supérieure à son film est tout simplement grotesque.
Tres bonne suite - fidèle et avec une mise en scène et des acteurs tout aussi virtuose. Un pari assez risque puisque le film se focalise sur le plan familial de la famille , et sur la difficulté pour un fils de trouver sa place dans l'ombre du père. Ca fonctionne très bien, particulièrement la partie du père avec un De Niro impressionnant tant il pousse la ressemblance avec Marlon Brando. A mon sens la faiblesse du film se trouve au début , dans la partie avec Michael Corleone - l'intrigue me semble parfois confuse.
Après avoir vu le chef d'oeuvre du premier opus, ce deuxième opus de la trilogie est selon moi aussi réussit que le premier, c'est même l'un des meilleurs de la trilogie avec le premier bien sur. La musique du film est toujours aussi culte et géniale, spoiler: malheureusement Marlo Brando n'est plus là, car son personnage Don Vito Corleone est mort dans le précédent opus. Al Pacino est toujours au top dans son rôle de Micheal Corleone, cette fois-ci le film se passe dans le Nevada, cette fois-ci, Fredo Corleone sera important dans cet opus. Ce film nous montre surtout la vie de Don Vito Corleone, c'est à dire quand il était très jeune, ce sera le célèbre Robert De Niro (Taxi Driver, Voyage au Bout de l'Enfer, Raging Bull, Il était une fois en Amérique, Les Incorruptibles, Les Affranchis, Heat, Jackie Brown) qui incarnera Vito Corleone jeune, ce sera l'un de ses premiers rôles. Comme d'habitude, il y a des tirs et beaucoup de morts dans ce film, et un scénario captivant. Un des meilleurs de Coppola. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.
On est dans la continuité de l'épisode précédent. On retrouve les mêmes acteurs, la même amiance, la même musique. On a droit à un Al Pacino plus sombre qu'avant. Il ne laisse transparaître aucun sentiment, si ce n'est la colère. On voit également comment son père a débuté : son départ de Sicile et son arrivée aux Etats-Unis. Très bon opus !
The Godfather, Part II (1974): Chef d'oeuvre, pratiquement au même niveau que son prédécesseur. L'un des 10 meilleurs films à ce jour, une suite titanesque.
Après un premier épisode entré dans la légende, considéré comme un des plus grands films de tous les temps et qui a offert à Marlon Brando son plus grand rôle, Francis Ford Coppola est revenu avec un deuxième film avec le slogan : « Vous n’avez pas vu Le Parrain si vous n’avez pas vu Le Parrain 2 ». Et en effet cette deuxième partie doit être une des meilleures suites de l’histoire du cinéma, offrant à Robert DeNiro un rôle immortel, dans la peau de Don Corleone, dans sa jeunesse new yorkaise. Le Parrain 2 est également la première rencontre entre Al Pacino et DeNiro, une rencontre dans un film, mais jamais en même temps à l’écran. Quoi qu’il en soit Le Parrain 2 parvient à surpasser l’orignal, rythmé par ses deux axes temporels et par ses personnages manipulateurs et calculateurs.
Une suite aussi forte que le premier volet, ce qui est assez rare dans le cinéma.
Il manque seulement le charisme naturel d'un Marlon Brando. Sinon Al Pacino est très bon en parrain froid et machiavélique. De Niro bluffant en Vito Corleone.