Derniers Avis : Le Parrain, 2e partie - Page 12

On ne peut une suite aussi forte que celle de ce film , authentique , Coppola prouve qu'il peut améliorer le chef-d'oeuvre ultime en un bien plus , figure déja comme un de ces films légendaire et mythique , aussi meilleur et dramatique que le premier . Vous n'avez pas vu le Parrain , si vous n'avez pas vu le Parrain 2eme partie .

Rares sont les suites aussi réussi que le premier, celle-ci dépasse même son aîné. 3 heures 20 c'est long habituellement mais là on ne voit pas le temps passer et on en redemande. Ce volet fait définitivement entrer la saga au rang de mythe du cinéma et Al Pacino dans ma catégorie des meilleurs acteurs. Le meilleur film de tous les temps à mon sens.

Encore une fois faire une critique sur un tel monument c'est très dur, donc je vais essayer de ne pas me répéter (par rapport à ma critique du premier volet), donc nous avons ici une suite parfaite, je ne sais pas quoi dire de plus, il est tout aussi... voir même plus stupéfiant que le premier, 3h20 de pur cinéma filmé avec amour et talent, joué avec précision et talent encore une fois et visionné avec plaisir et passion.
Dans ce second volet le casting ne change pas beaucoup mais quelques têtes apparaisses et d'autres disparaisses, je pense évidement au départ plus qu’évidement du grand Marlon Brando et à l'arriver du jeune et déjà fabuleux Robert De Niro juste incroyable dans le rôle du jeune Vito Corleone.
Al Pacino lui se renforce de film en film, si il été déjà exceptionnel dans le premier volet il est encore plus dans celui ci car là c'est vraiment lui qui porte le film, il y est bluffant tout comme ses collègues qui l'accompagnes tout le long de cette aventure construite en 2 parties si je puis dire, une partie montrant la puissance et l’apothéose du nouveau parrain (Michael Corleone) et une autre montrant les débuts difficiles de l'ancien Don (Vito Corleone), 2 parties aussi passionnantes l'une que l'autre porté par des acteurs maintenant légendaires.
Des décors encore plus fantastique, l’Italie, New York et Miami sont représentés d'une manière ahurissante, des lieux criants de vérité, des costumes, maquillages, véhicules et j'en passe toujours aussi crédible, une bande son qui ne déroge pas à la règle du précédent puisqu'elle est toujours aussi spectaculaire, et le plus important un scénario toujours aussi palpitant, travaillé avec soin et magnifiquement mis en scène.
Un deuxième chef d'oeuvre signé par l’immense Francis Ford Coppola !!!

Evitez la lecture si vous ne l'avez pas vu.

Après un premier film d'anthologie, Francis Ford Coppola sort deux ans plus tard le deuxième opus de ce qui sera la trilogie du Parrain.

Ce deuxième film est basé sur la vie de Michael Corleone à la tête de la Famille, mais aussi sur la jeunesse de celle de Vito Corleone. Et c'est surement un des points qui m'a le plus intéressé!
Tout d'abord au niveau de la narration. Flash back sur la vie de Vito Corleone très présent, de son départ de Sicile, à sa prise de pouvoir à New York en passant par ses crimes et son arrivée aux Etats-Unis.
Ce qui est également intéressant c'est de voir que le personnage de Vito si sage dans sa parole dans le premier est passé par le crime. Il a du lui-même, pour devenir ce qu'il est, faire le travail comme on dit. Un peu comme Michael dans le premier film. Il est intéressant de voir également tous les amis fidèles, la façon dont ils se sont rencontrées, dont ils ont forgé leur succès...
Au niveau du scénario concernant les parties avec Michael, petit point négatif avec les 45 premières minutes. Elles sont réussies c'est certains, on est toujours autant surpris par ce qui s'y passe, MAIS, les scènes sont beaucoup trop inspirés du premier film. On passe par les mêmes étapes, certes on ne s'y attend pas, mais sur ce coup là je trouve que c'est un petit point négatif. On commence par une fête et Michael qui reçoit ses invités pour régler des problèmes comme dans le 1, par la suite Michael essuie une tentative d'assassinat comme Vito, la communion d'Anthony rappelant la cérémonie religieuse, le baptême, dans le premier. Cependant si les scènes sont très proches, celle de la fête y fait exception et c'est un très bon point. Elle permet à Michael de montrer qu'il n'est pas comme son père. A cette fête, les médias ne sont pas jetés à la porte comme au mariage de Connie dans le 1, Michael reçoit certes ses invités mais il ne privilégie pas sa Famille et ses amis contrairement à Vito. Donc même si la scène semble très proche de nombreuses différences viennent nous guider sur la manière dont Michael s'occupe des affaires, et ça en revanche je trouve que c'est un très bon point.
Pour finir sur le jeu d'acteurs, Al Pacino est possédé par son personnage, Robert De Niro donne beaucoup de charisme au personnage de Vito jeune, Robert Duvall est toujours aussi bon et les autres également.

En tout cas si l'on dit souvent que dans les trilogies le premier film est toujours le meilleur, Le Parrain Part II fait office d'exception en surpassant le premier volet ou au moins en l'égalant!

Que c'est long, que c'est long, je suis peut être le seul, mais je trouve vraiment le film très faible. On s'ennuie ferme. Soit ça a mal vieilli, soit je suis complètement à la rue. Enfin, quelque bon passages nous réveillent parfois et nous rappellent que ce n'est qu'une histoire avec tellement de personnage et d'intrigues qu'on fini par oublier qu'on regarde un film culte !

Chef D'Oeuvre.Aprés un Premier Episode Monumentale,Francis Ford Coppola réussi a atteindre les sommets avec ce Deuxième Episode qui surpasse a tous les niveaux son illustre prédécesseur et qui est considéré par beaucoup comme l'une des meilleurs suites de films de l'histoire du cinéma. Pour Commencer la Réalisation est encore plus Maîtriser avec une également une BO envoûtante pour accompagner cette Fresque Dense et Ambitieuse de Trois Heures.Ensuite le Scénario est plus Dense et ambitieux tout étant toujours aussi Passionnante avec des Enjeux qui prennent une grosse ampleur avec l'idée brillante de faire de ce film a la fois un Préquel et Une Suite au Premier film dont on suit parallèlement d'un coté le parcours du jeune Vito Corléone qui devient petit a petit un chef mafieux respectueux et de l'autre on suit la suite de l'ascension au pouvoir de son fils Michael Corléone devenu le nouveau parrain de la famille qui est plus Imposant et craint.Ajouter tout ceci une poignée de Séquences devenus Mythiques ainsi que des Répliques Cultissimes.Enfin les Personnages gagnent énormément en épaisseur grâce a une Distribution remarquable a commencer par Al Pacino qui est impressionnant dans la peau de Micheal Corléone tout comme le comédien Robert De Niro qui succède brillamment au regretter Marlon Brando dans le rôle de Vito Corléone pendant sa jeunesse sans oublier Diane Keaton,James Caan,Robert Duvall et John Cazale qui livrent une très belle prestation.Au Final,Le Parrain 2 est une Suite Ambitieuse mais aussi Flamboyant,Violent et Bouleversant qui marque un tournant dans l'histoire du Septième Art en devenant comme son aînée l'un des plus grands films de tous les temps dont le troisième et ultime opus parvient a achever cette magnifique Saga mafieuse devenue une véritable référence en la matière.

Très bon parrain même si à mon goût un peu trop long , certains moments sont très allongés mais on a quand 'même pas le temps de s'endormir , on a pas le droit de s'endormir devant un tel chef d'oeuvre

Un trésor du cinéma. C'est la solitude que nous montre monsieur Coppola, la vraie, la profonde. Malgré nous on aime ce monstre, joué avec tout le brillo d'Al Paccino. Ce qui peut semblé être de trop, être une scène qui s'éternise est en fait essentiel et forge ce film incroyable.

Je dois avouer qu'il y a bien longtemps que mon regard sur un film n'a pas été si ambigu. Tout au long des 3 heures 20 de pellicule (la dernière heure exceptée, peut-être), je n'ai en effet jamais vu The Godfather Part. 2 autrement que comme une déception. Mais voilà, une fois le générique passé et prenant le temps de la réflexion, il m’apparaît en fait comme une oeuvre très achevée, bien que tout de même inférieure à la première partie, qualitativement parlant. Peinture cette fois-ci bien plus noire de la mafia, on y retrouve un Pacino calculateur, froid et (auto-)destructeur. Cette fois pas de vision édulcorée d'une organisation criminelle familiale, solidaire et porteuse de valeurs humaines (les Parrains Brando et Pacino sont d'ailleurs de parfaits opposés) mais l'image d'un Monde pourri et corrompu. La comparaison entre l'ascension de Vito - avec l'introduction d'un De Niro qui aurait quand même dû jouir d'un rôle plus étoffé - et le parcours de son fils est à ce titre magnifiquement menée, au moyen de pirouettes narratives osées. Creuser le propos de la première partie tout en le réinventant largement, voilà en fait le tour de force de cette suite malgré tout trop longue. Question narration et montage, on aura quand même à nouveau eu droit à du travail d'orfèvre, d'autant que la reconstitution de New-York est très soignée. Je crains en fait qu'en excluant ses longueurs, je n'aie pas grand chose à reprocher au film, et que ma déception initiale (et pas tout à fait éteinte à l'heure où j'écris ces lignes) soit davantage le fait de mon incapacité à saisir parfaitement et directement le propos d'une oeuvre qui, du haut de ses 6 oscars ou encore de sa troisième place à l'Internet Movie Database, n'a pas grand chose à prouver, ce en quoi une critique négative, parmi tant de panégyriques, ne changera rien. Mais voilà, je m'attendais quoi qu'il en soit sans doute à mieux !

Il est bien convenu que ce film est un chef d'oeuvre. La composition complexe et hors norme de Al Pacino est une des clefs essentielles de la qualité de ce film au scénario dense et passionnant. On est happé par les deux trames des deux destins des patriarches Corleone, l'un qui voit l’essor de sa famille et de son empire puis en parallèle l'autre plus dans le déclin dans un univers plus complexe, mélange de complot et de paranoia. La trilogie des parrain reste l'oeuvre majeur de Francis Ford Coppola. A voir et à revoir.

Sans hésiter dans le top 3 des meilleures suites de tous les temps *-* ! La magnifique ascension du nouveau Parrain Michael Corleone + l'ascension (un peu courte je doit dire , mais très bien interprétée par Robert de Niro) de Vito Corleone :) ! F.F Coppola a fait très fort ici *-* ! un presque Chef-D'oeuvre pour ma part :) , même si il le frôle de très peu :) !

Ce Parrain, deuxième partie, constitue probablement la meilleure suite de film jamais sortie. On y suit le parallèle entre la jeunesse de Vito est la montée au pouvoir suprême de son fils, Michael. Techniquement, c'est un film parfait, ancrée à jamais dans l'histoire du cinéma.

Retour sur les terres de Vito Corleone, nous apprenons comment ce grand parrain de la mafia expatrier au États Unis et devenu ce qu'il a été. Avec un Robert Deniro qui interprète Vito jeune, je suis au ange. Le deuxième opus garde encore un peu ce côté famille italienne et intimiste, même si déjà la présence de Marlon Brando nous manque. Pas mal de membre de la famille sont mort et on le sent pour ce pauvre Al pacino qui doit tenir la vedette quasiment tout seul. Musique fantastique omniprésente fabuleux...

La 2e partie du Parrain met en place une double narration très ambitieuse bien que parfois un peun difficile à suivre tellement c'est touffu. La prouesse de Coppola est bien de réussir à faire 2 histoires parallèles d'égale valeur, voire même une partie flashback supérieure sans tomber dans le remplissage ou le simple prequel. L'histoire de la nativité du Parrain est passionnant alors que la partie présente continue sur la digne lancée du premier film, plongeant de plus en plus Michael Corleone dans la solitude du pouvoir et de la violence. De plus en plus dangereux, le film et le personnage maintiennent un suspense constant. Un chef d'oeuvre par dessus un chef d'oeuvre.

Aussi bon que le premier, ce qui est très rare dans une trilogie, le Parrain 2 bénéficie d’une réalisation sans faille. Les décors et les costumes sont monstrueusement beaux, les acteurs sont terriblement bons, et l’histoire s’enchaine sans cesse.
Elle retrace l’enfance de Don Corleone, jusqu’à son ascension fulgurante dans la Cosa Nostra Américaine.
Le retournement de situation final fait froid dans le dos, et laisse le spectateur scotché sur son siège.
Un chef d’œuvre.