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Un visiteur
5,0
Publiée le 3 septembre 2012
Il a reussi ! Francis Ford Coppola a realise une suite meilleur que son precedent ! Encore une fois tout est parfaite dans le film , mise en scene , photographie , scenario... Mais la VRAIE force du film vient ( pour moi ) de Robert De Niro ! qui incarne Vito Corleone dans sa jeunesse et son assocation au pouvoir ! Al Pacino , juste fantastique ! rien de plus ! De Plus le film commence pour moi avec la meilleur scene du film , ou Vito Corleone s'echappe de L'Italie pour partir en Amerique ! Oui , j'ai prefere cet suite au 1er ! Mais la ou Le parrain n'avait pour ma part pas ce defaut , le parrain 2 la , je parle de la longeur du film , le film est 20 m plus long que le 1er est de trop ?
Dans la ligné du premier ce film est absolument grandiose. Casting parfais, musique géniale et la mise en scène subliment une histoire des plus marquante. Un chef d'œuvre.
Une suite qui fait date dans l'histoire du cinéma égalant l'original qui est un monument, un chef d'œuvre, voir le talent de Francis Ford Coppola avec admiration, un grand respect ! "Le parrain 2ème partie" à la particularité de nous montrer deux parcours de la famille Corleone, le père Vito dans les années 30 de son enfance difficile à son intégration en Amérique,, puis Michael dans les années devenant "Le parrain" en reprenant les affaires de la famille qui se fera un ennemi, mais qui? Un long métrage sur le milieu qui parle de valeurs et respects familiales. Le scénario de cette œuvre est très bien structuré, descriptif du milieu, humaine aussi, de violence, de vengeance et de conscience sur la fin, sans révéler. La mise en scène de Francis Ford Coppola filmé les époques avec différentes lumières, de même en voyagant dans les pays différents en fond d'écran. Le casino de prestige composé du grand (par talent) Al Pacino, Robert De Niro magistrale jouant Marlon Brando jeune, John Cazale, Robert Duvall, Diane Keaton, Talia Shire, Lee Strasberg plus les seconds couteaux qui ont la gueule de l'emploi, est remarquable. Chef d'œuvre.
Aussi bien que le premier, avec Robert De Niro dans le rôle de Vito Corleone jeune. On le voit, parallèlement à son successeur et fils Michael, fonder sa réputation, son empire et ses lieutenants tout en s'occupant de sa famille. Mais on découvre également les racines siciliennes de la famille, son nom d'origines et de terribles vengeances. Casting parfait et redoutable suite.
Une suite grandiose peut-être plus sombre, plus profonde et aussi puissante, riche en personnages superbement interprétés, et en décor magnifiques. C’est toutefois le dernier plan qui impressionne le plus avec l’image glaçante de Michael, seul, avec des péchés au-delà de la rédemption. Le Parrain 2 est empreint d'un classicisme qui échappe au temps. 6 oscars dont celui du meilleur film
Ce n'est pas une suite, ce n'est pas film, c'est un chef d'œuvre. Ce 2e opus avait fort à faire après la maestria du 1er volet, qui dessinait la mafia américaine. Le fils a pris la relève, partagé entre affaires, héritage et honneur. Cet épisode présente d'autant plus les travers de la mafia, rajoutant en dramaturgie. Dans cette 2e partie, le récit navigue entre les époques offrant finalement 2 films en un. Al Pacino en Michael Corleone est stupéfiant. Vito Corleone jeune, est campé par Robert De Niro, il est magnétique. Les scènes s'étirent (cf la fête dans la maison Corleone du Nevada) avec le luxe de présenter personnages et intérêts. Les reconstitutions sont pointues ou somptueuses, c'est de l'orfèvrerie.
La 2e partie du Parrain met en place une double narration très ambitieuse bien que parfois un peun difficile à suivre tellement c'est touffu. La prouesse de Coppola est bien de réussir à faire 2 histoires parallèles d'égale valeur, voire même une partie flashback supérieure sans tomber dans le remplissage ou le simple prequel. L'histoire de la nativité du Parrain est passionnant alors que la partie présente continue sur la digne lancée du premier film, plongeant de plus en plus Michael Corleone dans la solitude du pouvoir et de la violence. De plus en plus dangereux, le film et le personnage maintiennent un suspense constant. Un chef d'oeuvre par dessus un chef d'oeuvre.
Le 2ème volet de la saga nous met immédiatement dans le bain : on est en Sicile en 1901, et on suit l’histoire du petit Vito. La narration, le déroulé des événements (Vito perd petit à petit en très peu de temps toute sa famille), les dialogues, les personnages, tout participe à rentrer dans le récit de manière brutale, sans temps mort et on comprend qu’on aura l’occasion - enfin - d’en savoir un peu plus sur la façon dont s’est construit le fameux Don Vito Corleone. Il s’agit ici d’un gros point fort de ce 2ème film : les aller-retours entre passé et présent, le passé retraçant l’enfance, puis la construction de Don Vito, comment il a pu devenir un homme respecté à New-York alors qu’il venait de Sicile. Robert De Niro est très crédible et réussit (malgré le poids et l’empreinte de son aîné) à reprendre le flambeau de Marlon Brando. Dans le récit “au présent”, on suit le fils de Vito, Mike, qui a repris la tête des affaires familiales après la mort de son père. Ce dernier marque d’ailleurs tout le récit, il n’est plus là mais on fait toujours référence à lui, il s’agit d’un gros héritage à respecter et auquel il faut rester fidèle. Le personnage de Mike est intéressant car il est tiraillé entre son devoir de se faire respecter au sein de la Mafia, quitte à être parfois cruel ; et sa famille (sa femme et ses deux enfants) qu’il cherche à épargner de ce qui se trame autour de lui. Je trouve qu’Al Pacino manque un peu d’envergure pour reprendre ce rôle au sein de la Mafia mais malgré tout ça ne nuit pas au récit, et à sa décharge l’empreinte et le charisme de Marlon Brando ont rendu la succession difficile. Le film est assez long (3h20) et, contrairement au 1er, on voit un peu plus le temps passer, d’autant qu’il y a encore plus de personnages, d’histoires, et de coups fourrés (tellement qu’on s’y perd parfois). Cela reste malgré tout un bon film qui aurait gagné, je pense, à écourter un peu certains détails non nécessaires, pour se focaliser sur le récit principal (pour la période au présent - rien à dire par contre sur la période au passé qui est toujours hyper intéressante).
Comment arrivé à surpasser le 1er volet, chef d’œuvre absolu et succès titanesque ? En donnant encore plus d'ampleur à l'histoire et surtout, en gardant tous les points forts tout en bouleversant les codes. On découvre ainsi la vie de Vito avant d'être le Don Corleone tandis qu'en parallèle, on voit Michael devenir plus puissant et impitoyable que son père. Photo à pleurer, musique encore plus réussie, scénario hyper complet, acteurs en état de grâce, Coppola réussit la prouesse de faire aussi bien voire mieux que le précédent. Son casting, royal, l'aide aussi beaucoup, avec un A. Pacino énorme de bout en bout, un De Niro magistral et une ribambelle de 2nds rôles inoubliables. Sa mise en scène est toujours aussi puissante et maîtrisée, l'ampleur du projet demeure à peu près inégalée et on a droit à une succession de scènes de pur cinéma, formellement impressionnantes, toujours justes et dont le tout forme une tragédie émouvante, puissante, qui dépeint un monde souterrain terrifiant et pour lequel on sent toute l'aversion de Coppola. Magnifique tragédie, qui mêle sang, destins brisés, argent, pouvoir, séduction, famille, ambition, trahison et démesure. D'autres critiques sur
Une merveille ! Quel film encore exceptionnel de Coppola ! La suite du Parrain est totalement réussi, et est même un poil mieux que son prédécesseur ! Tout est quasi-parfait dans ce film donc le mieux que je peux dire c est de le voir !
Suite directe d’un premier film des plus marquants de son époque, Le Parrain 2 conte la suite des affaires de Michael Corleone qui, en voulant jouer au dur comme son père mais à une époque différente, va peu à peu s’éloigner de ses proches (allant jusqu’à violemment spoiler: gifler sa femme quand elle lui annonce qu’elle n’a pas fait de fausse couche mais un avortement ) et mettre la vie de tous en danger, notamment lors de la tentative d’assassinat spoiler: par le fenêtre de sa chambre . De nombreux flash-back dévoilent le passé de Vito Andolini, d’abord enfant lors de son immigration à Ellis Island (où il écope du nom de famille Corleone par rapport à sa ville natale), puis jeune adulte sous les traits de Robert De Niro (Taxi Driver, Il était une fois en Amérique, Les Incorruptibles, Les Affranchis), en quête de se venger de celui a osé lui laisser la vie sauve spoiler: après avoir tué son père tout en bâtissant la future fortune de la famille Corleone. Toujours aussi longue, cette suite est surtout bien plus accrocheuse et dynamique grâce à la prestance magistrale d’Al Pacino et au charisme naissant de Robert De Niro. Si on retrouve le thème de l’amour sous un timbre différent vers la fin du film, ce dernier est parsemé de nombreuses autres mélodies très marquantes, à commencer par une introduction morose et nostalgique au ton très rétro qui vire à quelque chose de plus joyeux (The Immigrant), et jusqu’à l’enivrant générique de fin de Nino Rota faisant suite à la solitude contemplative et douloureuse de Michael, aussi bien dans le présent au parc de Lake Tahoe que dans le passé récent lors d’un repas de famille. Un film grandiose.