Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Robuste sillonne tous les aspects de la robustesse, mais surtout la vulnérabilité tapie dans la carcasse de la solidité. Par la confrontation de deux êtres telles deux planètes se faisant face, Constance Meyer développe une belle idée de mise en lumière de l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Nina Merle
Le grain de la photographie accentue la beauté de l’image. Les plans rapprochés de la réalisatrice sur les corps de ses personnages confèrent une véritable sensualité au film. L’œil de Constance Meyer sublime ces êtres gracieux en proie à la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
Entre eux, un mélange de complicité, de distance, d’affrontement physique, joué avec une grâce qui éblouit de bout en bout. Déborah Lukumuena, 27 ans, révélée par « Divines », pour lequel la jeune femme avait obtenu le César du second rôle féminin en 2017, s’y affirme avec une évidence lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Ce premier long métrage, touchant et souvent drôle, révèle la puissance et la grâce de la jeune Déborah Lukumuena face au monstre Gégé.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Robuste » est l’une des belles découvertes de la Semaine de la Critique 2021.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Robuste est un récit aussi solide que son titre et que la force tranquille que dégage Déborah Lukumuena, dont la présence charismatique et le talent n’ont pas fini d’inspirer le meilleur cinéma.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Si Robuste s'obstine à ne pas imposer directement une ampleur délirante, c'est pour mieux déployer une émotion discrète - mais pas moins bouleversante - puisée dans les résonnances dues à la simple rencontre de deux individus. Un regard délicat et terriblement humain pour un film qui l'est tout autant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une double reconnaissance s’effectue, nourrie de petites touches qui traduisent une découverte mutuelle dans un film à l’écriture sensible et à l’interprétation remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comme Robuste est l’histoire de l’improbable amitié entre ces deux personnages que tout sépare, Déborah Lukumuena ne rivalise pas avec Gérard Depardieu. Robuste n’est pas un duel d’acteurs, mais un véritable duo, équilibré et symétrique, brillamment joué, sur fond d’admiration réciproque.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Constance Meyer capte la solitude d'un comédien qui se détache lentement du monde. Aïssa lui tend la main et les deux finissent par former un duo surprenant. Cette amitié singulière passe par une main posée sur l'épaule, et laisse espérer le retour furtif à une forme de joie…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
La solide Déborah Lukumuena lui tient la dragée haute dans cette chronique qui repose sur l’authenticité des situations et des sentiments avec une force tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Constance Meyer met en scène la rencontre d'une jeune agente de sécurité et d'un vieil acteur désabusé. Un rôle en or pour Gérard Depardieu qui s'amuse avec son image dans cette fiction étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Inès Boudabbous
Un film sobre et intimiste, dans lequel deux solitudes s’unissent pour former un duo unique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Robuste fait partie de ces œuvres qui ont pris le parti de considérer que Depardieu, l’homme et acteur, après plus de 200 films à son actif (ou son passif) est devenu aujourd’hui un personnage, son plus beau personnage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un premier film un peu austère mais la confrontation des deux acteurs et le choc des deux corps deviennent captivants.
Télé 7 Jours
par La Rédaction
Le tandem Gérard Depardieu et Déborah Lukumuena illumine ce premier film.
Télé Loisirs
par C.P.
Un premier film drôle, touchant et délicat sur l'illusion des apparences.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Jamais le film ne parvient réellement à décoller, manquant d’un grain de folie, d’un léger déraillement pour faire vibrer complètement la corde du sensible mais Robuste est toujours tendre. C’est assez rare pour être souligné.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Plus que l'histoire, on peut apprécier la modernité du montage, du ton et les fines notes d'humour.
L'Obs
par Sophie Grassin
Depardieu se laisse diriger ; Déborah Lukumuena, talent explosif, ne se fait pas bouffer et confirme tout son potentiel dans ce film d’amour doublé d’un documentaire sur l’art et la manière d’apprivoiser l’animal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Pestant contre tous et toutes et d’abord contre son « métier de con » mais habitant instantanément et intensément les vers qu’il récite pour le besoin de son prochain film, Depardieu est tel qu’en lui-même et n’a jamais été aussi émouvant que dans ce rôle où il proclame son entière liberté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On peut remarquer la performance de Depardieu, presque en autofiction, mais Déborah Lukumuena ne flanche pas sous le poids de la confrontation. C’est tout à son honneur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Positif
par Louise Dumas
En définitive, Robuste n’est pas dénué d’intérêt ni de sensibilité ; toutefois la réalisatrice semble s’être un peu trop reposée sur son idée de départ, certes originale, mais peut-être pas tout à fait assez robuste pour porter un film sur ses épaules.
Première
par François Léger
Si le chemin est balisé, Constancer Meyer (pour son premier long) prend du recul pour se mettre en position d’observatrice, avec un regard doux et tendre. Lukumuena, solide, renvoie aisément la balle à Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
S’il ne se passe pas grand-chose en apparence, il advient ce qu’il y a de plus beau au cinéma, l’incarnation, la grâce, quelque chose de mystérieux et de familier en même temps, qui parle à tous en empruntant un chemin unique...
Télérama
par Samuel Douhaire
L’intérêt de ce premier long métrage aux dialogues par trop explicatifs vient plutôt de sa partenaire, Déborah Lukumuena. La révélation de Divines joue, comme son illustre aîné, du décalage entre un physique robuste et une psyché fragile, sinon délicate. Mais en préservant une part de mystère bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage subtil qui évite les pièges de son scénario et confirme le talent de Déborah Lukumuena, formant ici un duo étonnant avec Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Hélas, en se contentant souvent de filmer alternativement Depardieu et Lukumuena, elle les isole l’un de l’autre. Quand, plus rarement, le montage devient circulation et flux, les deux corps apparaissent comme les parties émouvantes d’un même personnage, offrant pour un temps à Depardieu un devenir qui ne serait ni la tristesse ni l’autarcie.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Voilà la seule idée que le premier film de Constance Meyer a le mérite de pousser à son terme : en faisant la rencontre d'Aïssa, sa jeune garde du corps, c'est sa propre « sale gueule » que Depardieu apprend à regarder, piégé à l'intérieur d'un dispositif spéculaire assez empesé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Pourtant les enjeux liés à la question des corps, réglés en quelques plans sportifs et aquatiques, passent rapidement au second plan, à la faveur d'un récit qui fait mine de jouer l'autodérision : comment gérer Georges ? Sur le terrain de la comédie, Robuste opte surtout pour une forme de condescendance à l'égard de la cour de la star (réalisateur, assistant, fan).
Bande à part
Robuste sillonne tous les aspects de la robustesse, mais surtout la vulnérabilité tapie dans la carcasse de la solidité. Par la confrontation de deux êtres telles deux planètes se faisant face, Constance Meyer développe une belle idée de mise en lumière de l’humanité.
L'Humanité
Le grain de la photographie accentue la beauté de l’image. Les plans rapprochés de la réalisatrice sur les corps de ses personnages confèrent une véritable sensualité au film. L’œil de Constance Meyer sublime ces êtres gracieux en proie à la souffrance.
Le Parisien
Entre eux, un mélange de complicité, de distance, d’affrontement physique, joué avec une grâce qui éblouit de bout en bout. Déborah Lukumuena, 27 ans, révélée par « Divines », pour lequel la jeune femme avait obtenu le César du second rôle féminin en 2017, s’y affirme avec une évidence lumineuse.
Voici
Ce premier long métrage, touchant et souvent drôle, révèle la puissance et la grâce de la jeune Déborah Lukumuena face au monstre Gégé.
20 Minutes
« Robuste » est l’une des belles découvertes de la Semaine de la Critique 2021.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Robuste est un récit aussi solide que son titre et que la force tranquille que dégage Déborah Lukumuena, dont la présence charismatique et le talent n’ont pas fini d’inspirer le meilleur cinéma.
Ecran Large
Si Robuste s'obstine à ne pas imposer directement une ampleur délirante, c'est pour mieux déployer une émotion discrète - mais pas moins bouleversante - puisée dans les résonnances dues à la simple rencontre de deux individus. Un regard délicat et terriblement humain pour un film qui l'est tout autant.
Franceinfo Culture
Une double reconnaissance s’effectue, nourrie de petites touches qui traduisent une découverte mutuelle dans un film à l’écriture sensible et à l’interprétation remarquable.
Le Dauphiné Libéré
Comme Robuste est l’histoire de l’improbable amitié entre ces deux personnages que tout sépare, Déborah Lukumuena ne rivalise pas avec Gérard Depardieu. Robuste n’est pas un duel d’acteurs, mais un véritable duo, équilibré et symétrique, brillamment joué, sur fond d’admiration réciproque.
Le Figaro
Constance Meyer capte la solitude d'un comédien qui se détache lentement du monde. Aïssa lui tend la main et les deux finissent par former un duo surprenant. Cette amitié singulière passe par une main posée sur l'épaule, et laisse espérer le retour furtif à une forme de joie…
Le Journal du Dimanche
La solide Déborah Lukumuena lui tient la dragée haute dans cette chronique qui repose sur l’authenticité des situations et des sentiments avec une force tranquille.
Les Echos
Constance Meyer met en scène la rencontre d'une jeune agente de sécurité et d'un vieil acteur désabusé. Un rôle en or pour Gérard Depardieu qui s'amuse avec son image dans cette fiction étonnante.
Les Fiches du Cinéma
Un film sobre et intimiste, dans lequel deux solitudes s’unissent pour former un duo unique.
Les Inrockuptibles
Robuste fait partie de ces œuvres qui ont pris le parti de considérer que Depardieu, l’homme et acteur, après plus de 200 films à son actif (ou son passif) est devenu aujourd’hui un personnage, son plus beau personnage.
Ouest France
Un premier film un peu austère mais la confrontation des deux acteurs et le choc des deux corps deviennent captivants.
Télé 7 Jours
Le tandem Gérard Depardieu et Déborah Lukumuena illumine ce premier film.
Télé Loisirs
Un premier film drôle, touchant et délicat sur l'illusion des apparences.
CinemaTeaser
Jamais le film ne parvient réellement à décoller, manquant d’un grain de folie, d’un léger déraillement pour faire vibrer complètement la corde du sensible mais Robuste est toujours tendre. C’est assez rare pour être souligné.
Femme Actuelle
Plus que l'histoire, on peut apprécier la modernité du montage, du ton et les fines notes d'humour.
L'Obs
Depardieu se laisse diriger ; Déborah Lukumuena, talent explosif, ne se fait pas bouffer et confirme tout son potentiel dans ce film d’amour doublé d’un documentaire sur l’art et la manière d’apprivoiser l’animal.
La Croix
Pestant contre tous et toutes et d’abord contre son « métier de con » mais habitant instantanément et intensément les vers qu’il récite pour le besoin de son prochain film, Depardieu est tel qu’en lui-même et n’a jamais été aussi émouvant que dans ce rôle où il proclame son entière liberté.
La Voix du Nord
On peut remarquer la performance de Depardieu, presque en autofiction, mais Déborah Lukumuena ne flanche pas sous le poids de la confrontation. C’est tout à son honneur.
Positif
En définitive, Robuste n’est pas dénué d’intérêt ni de sensibilité ; toutefois la réalisatrice semble s’être un peu trop reposée sur son idée de départ, certes originale, mais peut-être pas tout à fait assez robuste pour porter un film sur ses épaules.
Première
Si le chemin est balisé, Constancer Meyer (pour son premier long) prend du recul pour se mettre en position d’observatrice, avec un regard doux et tendre. Lukumuena, solide, renvoie aisément la balle à Depardieu.
Sud Ouest
S’il ne se passe pas grand-chose en apparence, il advient ce qu’il y a de plus beau au cinéma, l’incarnation, la grâce, quelque chose de mystérieux et de familier en même temps, qui parle à tous en empruntant un chemin unique...
Télérama
L’intérêt de ce premier long métrage aux dialogues par trop explicatifs vient plutôt de sa partenaire, Déborah Lukumuena. La révélation de Divines joue, comme son illustre aîné, du décalage entre un physique robuste et une psyché fragile, sinon délicate. Mais en préservant une part de mystère bienvenue.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage subtil qui évite les pièges de son scénario et confirme le talent de Déborah Lukumuena, formant ici un duo étonnant avec Depardieu.
Cahiers du Cinéma
Hélas, en se contentant souvent de filmer alternativement Depardieu et Lukumuena, elle les isole l’un de l’autre. Quand, plus rarement, le montage devient circulation et flux, les deux corps apparaissent comme les parties émouvantes d’un même personnage, offrant pour un temps à Depardieu un devenir qui ne serait ni la tristesse ni l’autarcie.
Critikat.com
Voilà la seule idée que le premier film de Constance Meyer a le mérite de pousser à son terme : en faisant la rencontre d'Aïssa, sa jeune garde du corps, c'est sa propre « sale gueule » que Depardieu apprend à regarder, piégé à l'intérieur d'un dispositif spéculaire assez empesé.
Le Monde
Pourtant les enjeux liés à la question des corps, réglés en quelques plans sportifs et aquatiques, passent rapidement au second plan, à la faveur d'un récit qui fait mine de jouer l'autodérision : comment gérer Georges ? Sur le terrain de la comédie, Robuste opte surtout pour une forme de condescendance à l'égard de la cour de la star (réalisateur, assistant, fan).