Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
L'émotion naît alors d'une sensation de porosité entre les mondes, qui évoque la façon dont tout passé peut perdurer et peser sur le présent, malgré toutes les tentatives d'invisibilisation.
aVoir-aLire.com
par Nadia Meflah
C’est toute la beauté de ce film que de fonctionner en rhizome, où chaque personnage, chaque action ne sont que des réverbérations d’un seul et même destin : une terre gorgée par le sang et les chairs de tous ses cadavres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Textures cendrées, lumières automnales, personnages barricadés dans la douleur et le secret : avec une économie de moyens et beaucoup de subtilité, Dania Reymond donne corps au spleen d’une société tout entière.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Les Tempêtes repose sur une idée simple et belle : aux poussées du dérèglement climatique correspond le retour graduel d’un refoulé collectif, une mémoire historique impossible à surmonter.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Parabole fantastique et politique, le film maladroit mais déterminé de Dania Raymond fait réapparaître des fantômes dans une Algérie jamais nommée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le thème est traité avec doigté et sensibilité, mais au bout d'un moment, le scénario ne fait plus que répéter son allégorie, laquelle peut d'ailleurs être discutée.
Première
par Bastien Assié
Discours métaphorique sur une Algérie torturée par ses morts, Les Tempêtes vacille entre le drame et le fantastique mais peine à trouver une intrigue. Chargé par des images de superstition et de deuil, il souffre d’une poésie trop présente où les personnages, pourtant pertinents, se perdent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Il n’empêche, malgré sa maladresse, les dialogues empesés, les personnages trop théoriques, Les Tempêtes soulève une question forte : que devient le passé balayé sous le tapis ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
L'émotion naît alors d'une sensation de porosité entre les mondes, qui évoque la façon dont tout passé peut perdurer et peser sur le présent, malgré toutes les tentatives d'invisibilisation.
aVoir-aLire.com
C’est toute la beauté de ce film que de fonctionner en rhizome, où chaque personnage, chaque action ne sont que des réverbérations d’un seul et même destin : une terre gorgée par le sang et les chairs de tous ses cadavres.
L'Obs
Textures cendrées, lumières automnales, personnages barricadés dans la douleur et le secret : avec une économie de moyens et beaucoup de subtilité, Dania Reymond donne corps au spleen d’une société tout entière.
Le Monde
Les Tempêtes repose sur une idée simple et belle : aux poussées du dérèglement climatique correspond le retour graduel d’un refoulé collectif, une mémoire historique impossible à surmonter.
Libération
Parabole fantastique et politique, le film maladroit mais déterminé de Dania Raymond fait réapparaître des fantômes dans une Algérie jamais nommée.
Mad Movies
Le thème est traité avec doigté et sensibilité, mais au bout d'un moment, le scénario ne fait plus que répéter son allégorie, laquelle peut d'ailleurs être discutée.
Première
Discours métaphorique sur une Algérie torturée par ses morts, Les Tempêtes vacille entre le drame et le fantastique mais peine à trouver une intrigue. Chargé par des images de superstition et de deuil, il souffre d’une poésie trop présente où les personnages, pourtant pertinents, se perdent.
Télérama
Il n’empêche, malgré sa maladresse, les dialogues empesés, les personnages trop théoriques, Les Tempêtes soulève une question forte : que devient le passé balayé sous le tapis ?