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Dans les faubourgs sombre de Casablanca, un père de famille de famille va demander à son fils de l’aider à kidnapper un homme, une mission que lui a confié Dib un criminel qui le payera une fois la mission accomplie. La réalisation est bluffante, le scénario mettra d’accord n’importe quel marocain, tellement toute les péripéties de cette fameuse nuit sont 100 m made in Maroc! Pour finir les acteurs sont impressionnant.
j'ai bcp apprécié...les critiques étaient fondées...bcp de tension...c'est un très intéressant petit thriller de série...mis en scène par un vrai cinéphile...
Excellent film qui représentant le Maroc local avec des acteurs typiquement marocains et des lieux typiques
je n'ai pas aimé du tout ce film.... Donc pour moi il faut l'eviter!!! Film sans aucun interet ni emotion J'en suis sortie avec le regret d'avoir perdu mon temps!
elriad
Casablanca et ses quartiers populaires. Sur l'espace d'une nuit entière qui donne le sentiment de suivre l'action en temps réel, un père voyou et son fils vont essayer de se débarrasser d'un colis embarrassant, un homme mort dont ils sont responsables de façon indirecte. Si l'on ressent les défauts d'un premier film, les acteurs amateurs insufflent une énergie anxiogène sincère et troublante, parvenant à capter le spectateur tout au long du métrage récompensé à Cannes Dans la section " Un Certain Regard".
L'image reste hélas très souvent trop sombre, mais la noirceur est assumée, et la déviation du père vers une dimension spirituelle se fait avec finesse. Un premier film intéressant et un réalisateur à suivre.
L'image reste hélas très souvent trop sombre, mais la noirceur est assumée, et la déviation du père vers une dimension spirituelle se fait avec finesse. Un premier film intéressant et un réalisateur à suivre.
Ce premier long métrage de ce réalisateur marocain est bien réalisé d'une manière réaliste et implacable. Tout au long du film, on assiste au périple nocturne d'un père et son fils dans les environs de CASABLANCA qui cherchent à se débarasser d'un cadavre. Le film nous fait découvrir le monde dur et impitoyable du monde de la pègre dans laquelle se trouve impliquer ce père et son fils. Et les véritables meutes, ce ne sont pas les chiens de combat que l'on Ce premier long métrage de ce réalisateur marocain est bien réalisé d'une manière réaliste et implacable. Tout au long du film, on assiste au périple nocturne d'un père et son fils dans les environs voient au début du film mais bien les hommes de cette pègre et leur univers impitoyable. Tourné avec des acteurs non professionnels pour la plupart, ce film est bien construit et d'une bonne réalisation technique pour un premier long métrage.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
Thriller à la réalisation impeccable et au casting très réussi où une vengeance tourne au calvaire. Dommage que le climax arrive trop tôt et que le soufflet retombe avant la fin.
On se laisse prendre par ce thriller à l'intrigue originale : un père et son fils doivent apporter un homme à un autre mais ce premier meurt dans le coffre étouffé, sans violence aucune. Que faire alors du corps ? Les différentes personnes susceptibles de faire disparaître le corps ne sont plus très partantes et cela ne fait qu'accroître le nombre de personnes informées de la mort du 1er homme. Finalement la boucle finit par se boucler car, de bandits en bandits, le père et le fils finissent par retourner vers les amis de l'homme mort, qui veulent à leur tour le venger. Bon rythme. Pas trop de violence.
Un very mais alors VERY bad trip. C est noir et les comédiens ont l'air plus troubles les uns que les autres. l action ne s egare pas et tout est clair. Jeu d' acteurs impeccable. Le choix de faire court est discutable. vingt minutes de plus auraient éclairci quelques zones. mais bon je chipote et ai passé un bon moment haletant
Kamal Lazraq nous entraine dans les bas-fonds de Casablanca pour une nuit de galère qui allie monstruosité et religiosité. Il réalise un polar noir absurde, fascinant et étouffant à la croisée du cinéma des frères Coen et de Martin Scorsese, porté par deux acteurs amateurs remarquables, eux-mêmes entourés d’une brochettes de sales gueules incroyables.
Au-delà de l’exercice de style, c’est avant tout le portrait glaçant d’une frange de la société marocaine, qui se perd entre violence et trafics en tout genre pour simplement trouver les moyens de vivre, et convoquer de temps en temps la religion pour expier ses dérives sordides...
Au-delà de l’exercice de style, c’est avant tout le portrait glaçant d’une frange de la société marocaine, qui se perd entre violence et trafics en tout genre pour simplement trouver les moyens de vivre, et convoquer de temps en temps la religion pour expier ses dérives sordides...
Film assez bien réalisé, à la limite de l'angoisse à certains moments, l'histoire est plutôt prenante, on se prend d'attachement pour le côté candide et gauche des protagonistes.
Néanmoins une impression assez quelconque reste en mémoire à l'issue de la séance. La sensation d'avoir vu quelque chose d'intéressant mais sans +
Néanmoins une impression assez quelconque reste en mémoire à l'issue de la séance. La sensation d'avoir vu quelque chose d'intéressant mais sans +
Pas terrible, même si les acteurs jouent très bien. Envie de se laver après avoir vu ce film comme deux personnages principaux dans la dernière scène
Les Meutes m'a paru être un film qui fourmille d'idées et qui, à travers une invraisemblable épopée resserrée dans une unité de temps particulièrement brève (une nuit) brosse un tableau du Maroc actuel qui n'est pas sans intérêt. La misère de la population, réduite au banditisme pour pouvoir survivre, la corruption des fonctionnaires (les policiers, en l'occurrence), l'envahissement d'une religion primitive (pas une phrase sans que Dieu soit invoqué, et le père, pris entre remords et envie de s'en sortir, ne cesse de s'en remettre à la divinité), la pauvreté et la saleté des rues, les combats de chiens.... Tout cela donne la vision d'un pays sans espoir, ce que traduit remarquablement le beau regard de l'acteur qui joue le fils : regard perdu, qui n'entrevoit rien qu'une vie de misère et de désolation. Et cependant, on rit face aux déboires que connaissent ces deux pieds nickelés, depuis la halte dans l'improbable station-service, qui a des allures de sites dans un film d'horreur jusqu'à la scène finale qui remet en selle les chiens entrevus au début. Produire un film social, tout en amusant le spectateur et en le maintenant en haleine face à une intrigue bien ficelée, n'est-ce pas cela, faire du cinéma ?
Thriller social marocain, Les Meute nous plonge dans les bas fonds de Casablanca. On y suit Hassan et son fils Issam pris dans un engrenages de mauvais choix et de coups du sorts. Alors qu'il devrait être haletant, le film ne parvient jamais à tenir son rythme. La relation père/fils manque de crédibilité, et ne nous raconte rien, comme une bonne partie du film qui tourne un peu à vide.
En y allant presque à l'aveugle, avec seulement quelque avis, je m'attendais à un film dynamique et violent, finalement je n'ai eu que la violence. Le rythme est amorphe, on tourne en rond, à l'image du père et de son fils.
On à l'impression d'avoir devant nous les ingrédient d'une recette potentiellement potable mais résultat, la sauce ne prend pas.
On à l'impression d'avoir devant nous les ingrédient d'une recette potentiellement potable mais résultat, la sauce ne prend pas.
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