Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
En oscillant sans cesse entre protection et menace, séduction et contrainte, Paula rappelle la sagacité des contes de l’enfance où le loup féroce comme la sorcière cannibale dissimulent leur véritable nature sous des atours familiers.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Avec ce premier film, Angela Ottobah exécute une lente marche funèbre dans les tréfonds de l’emprise psychologique pathologique d’un père en souffrance envers sa fille sans repères, tout cela dans une image méticuleusement glaciale et tragique, portée par une partition teintée d’inquiétante étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur un thème terrible et actuel, un film délicat et très juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Un premier film profondément original et maîtrisé.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière cette histoire apparente d’amour entre un père et sa fille, se cache un drame sournois et effrayant. Angela Ottobah réalise une première œuvre originale et déroutante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
C’est beau, déplaisant (abjecte pédophilie) et pourtant émouvant. Une réalisatrice à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Paula" distille son malaise avec une force parfois trop soucieuse des effets qu’elle produit, qui fonce tellement tête la première qu’il se cogne à une forme de complaisance maladroite. Mais la singularité de son traitement et l’empreinte sensorielle laissée par le film sont les signaux prometteurs d’une cinéaste habitée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Estelle Aubin
Si, au début, la tension est plutôt sourde, elle devient vite trop ostensible et univoque, s’enfonçant dans l’effroi de l’inceste. Le dispositif qui était simple, devient in fine sommaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par A.L.
Un premier film aussi fascinant que glaçant, qui distille avec habileté le malaise pour évoquer la maltraitance basée sur l'emprise psychique.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Il y a, dans Paula, une frénésie du premier film : une envie de faire beau, de faire bien et de faire fort, quitte, parfois, à trop s’éloigner des corps et à verser dans le formalisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Soustraite avec habileté aux institutions et à la compagnie de son âge, là voici qui s’installe avec son père au bord d’un lac, en pleine nature. On n’en saura guère plus, Angela Ottobah hésitant à l’orée de ce premier long-métrage entre la voie du conte fantastique et celle du réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Margot Loisel
La sensibilité de l'histoire est étouffée par les maladresses d'une réalisatrice qui, certes, signe ici son tout premier film.
Libération
par Camille Nevers
Tout est effleuré et lourdaud à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
En oscillant sans cesse entre protection et menace, séduction et contrainte, Paula rappelle la sagacité des contes de l’enfance où le loup féroce comme la sorcière cannibale dissimulent leur véritable nature sous des atours familiers.
Culturopoing.com
Avec ce premier film, Angela Ottobah exécute une lente marche funèbre dans les tréfonds de l’emprise psychologique pathologique d’un père en souffrance envers sa fille sans repères, tout cela dans une image méticuleusement glaciale et tragique, portée par une partition teintée d’inquiétante étrangeté.
Les Fiches du Cinéma
Sur un thème terrible et actuel, un film délicat et très juste.
Positif
Un premier film profondément original et maîtrisé.
aVoir-aLire.com
Derrière cette histoire apparente d’amour entre un père et sa fille, se cache un drame sournois et effrayant. Angela Ottobah réalise une première œuvre originale et déroutante.
L'Obs
C’est beau, déplaisant (abjecte pédophilie) et pourtant émouvant. Une réalisatrice à suivre.
Les Inrockuptibles
"Paula" distille son malaise avec une force parfois trop soucieuse des effets qu’elle produit, qui fonce tellement tête la première qu’il se cogne à une forme de complaisance maladroite. Mais la singularité de son traitement et l’empreinte sensorielle laissée par le film sont les signaux prometteurs d’une cinéaste habitée.
Première
Si, au début, la tension est plutôt sourde, elle devient vite trop ostensible et univoque, s’enfonçant dans l’effroi de l’inceste. Le dispositif qui était simple, devient in fine sommaire.
Télé 7 Jours
Un premier film aussi fascinant que glaçant, qui distille avec habileté le malaise pour évoquer la maltraitance basée sur l'emprise psychique.
Télérama
Il y a, dans Paula, une frénésie du premier film : une envie de faire beau, de faire bien et de faire fort, quitte, parfois, à trop s’éloigner des corps et à verser dans le formalisme.
Le Monde
Soustraite avec habileté aux institutions et à la compagnie de son âge, là voici qui s’installe avec son père au bord d’un lac, en pleine nature. On n’en saura guère plus, Angela Ottobah hésitant à l’orée de ce premier long-métrage entre la voie du conte fantastique et celle du réalisme.
Télé Loisirs
La sensibilité de l'histoire est étouffée par les maladresses d'une réalisatrice qui, certes, signe ici son tout premier film.
Libération
Tout est effleuré et lourdaud à la fois.