Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Et si cette grande liberté évoquée par le titre peut apparaître ironique, il faut au contraire la prendre au premier degré. L’œuvre loue une révolution sensuelle, un libre arbitre sexuel. Ainsi Meise ne circonscrit pas son film à un passé révolu. Il l’inscrit magistralement dans le monde contemporain. Avec le généreux Hans, le cinéaste façonne un militant silencieux fascinant, l’incarnation d’une soif réprimée d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Homosexualité interdite et vie carcérale : un sujet que le réalisateur aborde sans détour et avec tact, la crudité de sa mise en scène prenant au fur et à mesure une bouleversante ampleur romanesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
De cette histoire vraie, le cinéaste autrichien fait un film mémoriel que l’on pourrait croire obsolète, puisque cette loi a été abrogée. Et pourtant, il évite l’écueil de la simple reconstitution pour oser le poétique et le figuratif.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Derrière le drame carcéral brutal qui met en scène une lutte de pouvoir mentale et physique, se dessinent des histoires d'amour poignantes, universelles par leur intensité et leur justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Frédéric Strauss
Sur fond de violente noirceur, Great Freedom fait surgir la lumière d’une humanité consolatrice, bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un flamboyant récit d’amour confronté à des décennies de pénalisation et de condamnation outrancière de l’homosexualité. Proprement bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Le film repose sur un tressage temporel assez finement mené, même si l'on peut regretter qu'il se dilue dans un dernier acte moins fécond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Great Freedom souffre d'un scénario un peu démonstratif. Reste que ce film offre une troublante matière à réflexion sur la liberté.
Le Parisien
par La Rédaction
Souvent glauque et très âpre, le film, audacieux sur sa forme, nous plonge au cœur d’un morceau d’histoire dramatique et honteux de l’Allemagne, incarné par deux remarquables comédiens. Et nous apprend que ce fameux paragraphe 175 ne fut abrogé qu’en… 1994.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Great Freedom dépeint avec finesse l’oppression subie par les homosexuels allemands au cours du XXe siècle. Avec sa temporalité triple, ce huis clos carcéral offre une structure astucieuse, mais pâtit de certaines longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Paul Courbin
Dans un constant balancier entre le film de prison et la romance, Sebastian Meise parvient à déjouer les clichés attachés à chacun des genres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par William Le Personnic
Dommage que cette histoire passionnante de détenu entravé dans son essence soit le sujet d’un récit alambiqué fait d’ellipses confuses et d’enchâssements – et ce malgré l’élégance des transitions (fondu au noir dans des geôles obscures) ou de la cohérence thématique : celle de ne plus percevoir le temps dans un espace écrasant.
Première
par Frédéric Foubert
Un beau film au classicisme tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Et si cette grande liberté évoquée par le titre peut apparaître ironique, il faut au contraire la prendre au premier degré. L’œuvre loue une révolution sensuelle, un libre arbitre sexuel. Ainsi Meise ne circonscrit pas son film à un passé révolu. Il l’inscrit magistralement dans le monde contemporain. Avec le généreux Hans, le cinéaste façonne un militant silencieux fascinant, l’incarnation d’une soif réprimée d’émancipation.
L'Obs
Homosexualité interdite et vie carcérale : un sujet que le réalisateur aborde sans détour et avec tact, la crudité de sa mise en scène prenant au fur et à mesure une bouleversante ampleur romanesque.
La Septième Obsession
De cette histoire vraie, le cinéaste autrichien fait un film mémoriel que l’on pourrait croire obsolète, puisque cette loi a été abrogée. Et pourtant, il évite l’écueil de la simple reconstitution pour oser le poétique et le figuratif.
Le Journal du Dimanche
Derrière le drame carcéral brutal qui met en scène une lutte de pouvoir mentale et physique, se dessinent des histoires d'amour poignantes, universelles par leur intensité et leur justesse.
Télérama
Sur fond de violente noirceur, Great Freedom fait surgir la lumière d’une humanité consolatrice, bouleversante.
aVoir-aLire.com
Un flamboyant récit d’amour confronté à des décennies de pénalisation et de condamnation outrancière de l’homosexualité. Proprement bouleversant.
Critikat.com
Le film repose sur un tressage temporel assez finement mené, même si l'on peut regretter qu'il se dilue dans un dernier acte moins fécond.
Le Monde
Great Freedom souffre d'un scénario un peu démonstratif. Reste que ce film offre une troublante matière à réflexion sur la liberté.
Le Parisien
Souvent glauque et très âpre, le film, audacieux sur sa forme, nous plonge au cœur d’un morceau d’histoire dramatique et honteux de l’Allemagne, incarné par deux remarquables comédiens. Et nous apprend que ce fameux paragraphe 175 ne fut abrogé qu’en… 1994.
Les Fiches du Cinéma
Great Freedom dépeint avec finesse l’oppression subie par les homosexuels allemands au cours du XXe siècle. Avec sa temporalité triple, ce huis clos carcéral offre une structure astucieuse, mais pâtit de certaines longueurs.
Les Inrockuptibles
Dans un constant balancier entre le film de prison et la romance, Sebastian Meise parvient à déjouer les clichés attachés à chacun des genres.
Positif
Dommage que cette histoire passionnante de détenu entravé dans son essence soit le sujet d’un récit alambiqué fait d’ellipses confuses et d’enchâssements – et ce malgré l’élégance des transitions (fondu au noir dans des geôles obscures) ou de la cohérence thématique : celle de ne plus percevoir le temps dans un espace écrasant.
Première
Un beau film au classicisme tranquille.