Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Swann Arlaud joue avec brio les convictions sociales de Robert Linhart.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’Etabli revient à un courant plus classique [du cinéma social] dans la tradition des années 70. Il n’en est pas moins des plus puissants dans son message fidèle au roman autobiographique de Robert Linhart.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cette passionnante adaptation du livre de Robert Linhart décrit le mouvement d’intellectuels immergés dans les usines à la fin des années 1960 et les terribles conditions de travail des ouvriers qu’ils viennent défendre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste reconstitue avec intensité ce moment essentiel et particulier du mouvement syndical et ouvrier.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Pétri d’humanité mais sans angélisme, quelque part entre Stéphane Brizé et Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Un film à l’os, suite de portraits chaleureux, engagé mais très lucide sur ce qui sépare, les illusions, les erreurs, le désir de changer le monde ou même de vie qui s’ensable dans un quotidien de fourmi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le beau film de Mathias Gokalp ressuscite toute une époque et interroge avec pertinence les préoccupations, les rêves et les désillusions d'une certaine jeunesse d'alors.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Le cinéaste livre un récit historique et moderne à la fois, sur la question de l’engagement politique et personnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « L’établi », Mathias Gokalp adapte l’ouvrage autobiographique de Robert Linhart et signe un film inspiré sur les années et les utopies gauchistes. Cette fiction témoigne d’une époque révolue, mais pas seulement…
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thomas Baurez
Une réussite.
Transfuge
par Serge Kaganski
Documentant un épisode important de l’histoire des combats politiques et sociaux, L’Établi résonne aussi aujourd’hui.
Télé 2 semaines
par S.O.
Effciace.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Moins fort que le livre-témoignage de Robert Linhart, dont il s’inspire, ce film n’en est pas moins passionnant, décrivant, de manière quasi-documentaire, ce que l’on a oublié : l’enfer, bruyant, répétitif et aliénant d’une chaîne de montage, la violence du management, le racisme.
Télé Loisirs
par S.O.
Portée par un Swann Arlaud impeccable, cette adaptation du livre éponyme de Robert Linhart de 1978 résonne avec l'actualité par sa peinture d'un monde du travail où l'aliénation des uns contribue à l'enrichissement des autres. Efficace.
Voici
par La Rédaction
Intelligemment nuancé.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’arroseur est lourdement arrosé par la vie à l’usine, et ce n’est pas le révolutionnaire qui enseigne la révolution à l’ouvrier, mais la vie ouvrière qui apprend au bourgeois l’aliénation dont il croyait pouvoir réveiller les masses et qui l’engourdit à son tour.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film critique par contraste le délitement moderne de la solidarité tout en réaffirmant avec malice qu'on peut bien briser un révolutionnaire, on ne brisera jamais vraiment la révolution.
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Il aurait peut-être fallu s’en tenir au monde de l’usine. Car dans l’articulation entre la vie privée bourgeoise de Robert et sa vie d’ouvrier, le film se montre moins réussi et lourdement didactique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Si Mathias Gokalp filme avec justesse des histoires d’hommes et de femmes, des trajectoires intimes qui ne font pas toutes cause commune, il filme au passé une classe ouvrière du siècle dernier qu’un parfum d’intemporalité ne parvient pas à masquer.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cette adaptation du récit de Robert Linhart sur la condition ouvrière manque de nerf. Le service minimum.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Assez judicieusement, L’Etabli ne fait pas de l’infiltration de son personnage l’un de ses enjeux majeurs, l’attention se reportant vite sur la constitution d’un groupe parmi les ouvriers, et surtout sur les réunions, débats et délibérations qui les animent, avant que la grève n’éclate.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Gokalp a enfin l’intuition judicieuse de ne pas éclairer seulement la réalité d’une ère lointaine et révolue, mais également celle de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
[...] de se consacrer ainsi dans le cadre du travail à décrire des processus, des stratagèmes, de montrer que la justice se gagne contre une forme de fatalisme ou d’inertie, "l’Etabli" invite finalement à considérer d’un œil critique ce travail dont on veut nous faire croire désormais qu’il n’est en rien aliénant, mais intégralement libérateur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Mathias Gokalp (Rien de personnel qui auscultait déjà les rouages du monde capitaliste) filme avec minutie cet apprentissage où les gestes dont la répétition impressionne autant qu’elle terrifie, remplacent la parole.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une adaptation honnête, sobre, plus rigoureuse qu’émouvante. Loin de tout romantisme révolutionnaire, l’impeccable Swann Arlaud incarne un « établi » cérébral, distancié
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’Établi parvient à dépasser le cadre peut-être rétréci du tableau social grâce à l’interprétation de Swann Arlaud qui fait de son personnage un héros tourmenté et universel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Swann Arlaud porte haut son personnage de prof de philo habité par son idéal, même si le récit scolaire et didactique vient alourdir cette page d’histoire méconnue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dernières Nouvelles d'Alsace
Swann Arlaud joue avec brio les convictions sociales de Robert Linhart.
Franceinfo Culture
L’Etabli revient à un courant plus classique [du cinéma social] dans la tradition des années 70. Il n’en est pas moins des plus puissants dans son message fidèle au roman autobiographique de Robert Linhart.
La Croix
Cette passionnante adaptation du livre de Robert Linhart décrit le mouvement d’intellectuels immergés dans les usines à la fin des années 1960 et les terribles conditions de travail des ouvriers qu’ils viennent défendre.
Le Dauphiné Libéré
Le cinéaste reconstitue avec intensité ce moment essentiel et particulier du mouvement syndical et ouvrier.
Le Journal du Dimanche
Pétri d’humanité mais sans angélisme, quelque part entre Stéphane Brizé et Ken Loach.
Le Parisien
Un film à l’os, suite de portraits chaleureux, engagé mais très lucide sur ce qui sépare, les illusions, les erreurs, le désir de changer le monde ou même de vie qui s’ensable dans un quotidien de fourmi.
Les Echos
Le beau film de Mathias Gokalp ressuscite toute une époque et interroge avec pertinence les préoccupations, les rêves et les désillusions d'une certaine jeunesse d'alors.
Les Fiches du Cinéma
Le cinéaste livre un récit historique et moderne à la fois, sur la question de l’engagement politique et personnel.
Marianne
Dans « L’établi », Mathias Gokalp adapte l’ouvrage autobiographique de Robert Linhart et signe un film inspiré sur les années et les utopies gauchistes. Cette fiction témoigne d’une époque révolue, mais pas seulement…
Ouest France
Une réussite.
Transfuge
Documentant un épisode important de l’histoire des combats politiques et sociaux, L’Établi résonne aussi aujourd’hui.
Télé 2 semaines
Effciace.
Télé 7 Jours
Moins fort que le livre-témoignage de Robert Linhart, dont il s’inspire, ce film n’en est pas moins passionnant, décrivant, de manière quasi-documentaire, ce que l’on a oublié : l’enfer, bruyant, répétitif et aliénant d’une chaîne de montage, la violence du management, le racisme.
Télé Loisirs
Portée par un Swann Arlaud impeccable, cette adaptation du livre éponyme de Robert Linhart de 1978 résonne avec l'actualité par sa peinture d'un monde du travail où l'aliénation des uns contribue à l'enrichissement des autres. Efficace.
Voici
Intelligemment nuancé.
Cahiers du Cinéma
L’arroseur est lourdement arrosé par la vie à l’usine, et ce n’est pas le révolutionnaire qui enseigne la révolution à l’ouvrier, mais la vie ouvrière qui apprend au bourgeois l’aliénation dont il croyait pouvoir réveiller les masses et qui l’engourdit à son tour.
CinemaTeaser
Le film critique par contraste le délitement moderne de la solidarité tout en réaffirmant avec malice qu'on peut bien briser un révolutionnaire, on ne brisera jamais vraiment la révolution.
Culturopoing.com
Il aurait peut-être fallu s’en tenir au monde de l’usine. Car dans l’articulation entre la vie privée bourgeoise de Robert et sa vie d’ouvrier, le film se montre moins réussi et lourdement didactique.
L'Humanité
Si Mathias Gokalp filme avec justesse des histoires d’hommes et de femmes, des trajectoires intimes qui ne font pas toutes cause commune, il filme au passé une classe ouvrière du siècle dernier qu’un parfum d’intemporalité ne parvient pas à masquer.
Le Figaro
Cette adaptation du récit de Robert Linhart sur la condition ouvrière manque de nerf. Le service minimum.
Le Monde
Assez judicieusement, L’Etabli ne fait pas de l’infiltration de son personnage l’un de ses enjeux majeurs, l’attention se reportant vite sur la constitution d’un groupe parmi les ouvriers, et surtout sur les réunions, débats et délibérations qui les animent, avant que la grève n’éclate.
Les Inrockuptibles
Gokalp a enfin l’intuition judicieuse de ne pas éclairer seulement la réalité d’une ère lointaine et révolue, mais également celle de notre époque.
Libération
[...] de se consacrer ainsi dans le cadre du travail à décrire des processus, des stratagèmes, de montrer que la justice se gagne contre une forme de fatalisme ou d’inertie, "l’Etabli" invite finalement à considérer d’un œil critique ce travail dont on veut nous faire croire désormais qu’il n’est en rien aliénant, mais intégralement libérateur.
Première
Mathias Gokalp (Rien de personnel qui auscultait déjà les rouages du monde capitaliste) filme avec minutie cet apprentissage où les gestes dont la répétition impressionne autant qu’elle terrifie, remplacent la parole.
Sud Ouest
Une adaptation honnête, sobre, plus rigoureuse qu’émouvante. Loin de tout romantisme révolutionnaire, l’impeccable Swann Arlaud incarne un « établi » cérébral, distancié
aVoir-aLire.com
L’Établi parvient à dépasser le cadre peut-être rétréci du tableau social grâce à l’interprétation de Swann Arlaud qui fait de son personnage un héros tourmenté et universel.
Paris Match
Swann Arlaud porte haut son personnage de prof de philo habité par son idéal, même si le récit scolaire et didactique vient alourdir cette page d’histoire méconnue.