Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinq ans après « Jeune Femme », Léonor Serraille déploie une saga intime qui suit trente années d'une famille immigrée à Paris. Elle offre surtout à Annabelle Lengronne un magnifique personnage de mère, plongée dans le tourbillon de l'entre-deux-siècles.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Cheze
Le résultat s'avère aussi brillant dans la description du quotidien mouvementé de cette famille que dans le récit en arrière-fond de l'évolution de notre pays sur cette période.
Elle
par Françoise Delbecq
Une formidable chronique douce-amère.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
C'est touchant et fragile. Parfois réussi, parfois un peu bancal et brouillon. Mais souvent traversé par des moments de grâce (...).
L'Obs
par Sophie Grassin
Tout dans cette saga intime bouleverse même si le segment consacré à Rose est sans nul doute le plus accompli.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un petit frère est un film sur le temps qui passe, le temps du souvenir, des regrets et des espoirs. Léonor Serraille met en scène un dernier face-à-face entre Rose et Ernest, conversation à la fois banale et déchirante entre une mère et son fils.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Rare, documenté au delà des clichés, un très beau roman de l'identité et de l'intégration.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
C’est sur ce fil funambulique que Léonor Serraille distille trente ans d’une vie farouche et précaire dans un triptyque d’une sobriété et d’une finesse exemplaires. Rose, Jean, Ernest nommeront les tableaux, en s’attachant au destin de chaque personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Un film lumineux et sombre. Rose, Ernest, Jean, nos prochains. Si proches, dans le courant trop rapide de la vie violente.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Un petit frère" accomplit lui aussi, sans crier, sans militer, un déplacement suffisamment remarquable pour qu’il soit soulevé. Non seulement il vient donner un visage, une humanité concrète au mot d’immigré mais il esquisse aussi un portrait de la France du point de vue de celles et ceux qui d’ordinaire n’en ont pas le droit [...].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Garance Fragne
Sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes 2022, le long-métrage détaille à la fois la pudeur et la fusion qui peut exister entre chaque membre d’un foyer.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Transfuge
par Frédéric Mercier
Sans jamais donner l’air de vouloir « dire » un message univoque sur la question de l’émigration mais en choisissant de nous y faire réfléchir grâce à la complexité des liens entre ces trois personnages (campés par de formidables acteurs et notamment Annabelle Lengronne), l’émotion l’emporte au cours d’un splendide final mélodramatique.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Ce film en trois parties explore avec pudeur la question du déracinement et illustre l'impact des choix des parents sur leurs enfants. L'humoriste Stéphane Bak s'y dévoile avec talent dans un rôle dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Guillemette Odicino
Un grand film sur la beauté de la fierté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Le deuxième long-métrage de Léonor Serraille confirme sa capacité à cultiver la lenteur et la tendresse dans un monde cruel où tout va trop vite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’écoulement des années introduit un élan romanesque qui, malgré un manque de souffle et une tendance sociologisante, donne une ampleur inattendue au film. À la fois ambitieux et pudique, le récit maintient la tension constante entre unité et déracinement du trio protagoniste (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La cinéaste n'échappe pas à un réalisme convenu, mais fait preuve aussi de fulgurances qui, çà et là, rattrapent le film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Chronique familiale d’une mère arrivée de Côte d’Ivoire avec ses deux enfants, le deuxième film de Léonor Serraille est avant tout un très beau portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un récit au long cours imparfait, mais sensible dans son approche, et attachant dans sa démarche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le film de Léonor Serraille s’ouvre par un portrait enthousiasmant d’une jeune mère ivoirienne arrivant en France, avant de se tourner vers ses deux fils et d’y perdre son souffle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Ce sont d'ailleurs les scènes au sens trop évident (le contrôle d'identité, le châtelain, le trophée de chasse) qui alourdissent un peu le récit, alors que le film n'est jamais plus beau que quand Léonor Serraille filme le quotidien d'une famille extra-ordinaire mais pourtant si rare sur les écrans français.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Un petit frère a cette qualité : nous rappeler les beautés des ellipses et la force du temps condensé.
Première
par Thierry Chèze
Ajouter à cette virtuosité de l’écriture un casting dément - porté par Annabelle Lengronne impressionnante dans son premier grand rôle et Stéphane Bak qui confirme sa montée en puissance – et vous obtenez l’un des films français les plus passionnants de ce début 2023.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Léonor Serraille filme à hauteur d’homme, et de femme, avec une volonté manifeste de justesse, de réalisme. Elle saisit les tensions au sein des familles et des communautés, malgré la solidarité apparente, la pression sur les enfants pour qu’ils s’accomplissent…
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Après Jeune femme, Léonor Serraille se lance dans un cinéma plus classique mais touchant, qui invite à porter un nouveau regard sur les migrants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Passion puis affliction : la formule est efficace d’un point de vue dramaturgique, mais s'avère rapidement très rigide.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Rose (impressionnante Annabelle Lengronne) fait juste ce qu’elle peut, à la fois déterminée et insaisissable. Elle ne suscitera pas toujours notre émoi au fil de ces presque deux heures de récit initiatique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
Cinq ans après « Jeune Femme », Léonor Serraille déploie une saga intime qui suit trente années d'une famille immigrée à Paris. Elle offre surtout à Annabelle Lengronne un magnifique personnage de mère, plongée dans le tourbillon de l'entre-deux-siècles.
Ouest France
Le résultat s'avère aussi brillant dans la description du quotidien mouvementé de cette famille que dans le récit en arrière-fond de l'évolution de notre pays sur cette période.
Elle
Une formidable chronique douce-amère.
L'Humanité
C'est touchant et fragile. Parfois réussi, parfois un peu bancal et brouillon. Mais souvent traversé par des moments de grâce (...).
L'Obs
Tout dans cette saga intime bouleverse même si le segment consacré à Rose est sans nul doute le plus accompli.
Le Figaro
Un petit frère est un film sur le temps qui passe, le temps du souvenir, des regrets et des espoirs. Léonor Serraille met en scène un dernier face-à-face entre Rose et Ernest, conversation à la fois banale et déchirante entre une mère et son fils.
Le Journal du Dimanche
Rare, documenté au delà des clichés, un très beau roman de l'identité et de l'intégration.
Le Monde
C’est sur ce fil funambulique que Léonor Serraille distille trente ans d’une vie farouche et précaire dans un triptyque d’une sobriété et d’une finesse exemplaires. Rose, Jean, Ernest nommeront les tableaux, en s’attachant au destin de chaque personnage.
Le Parisien
Un film lumineux et sombre. Rose, Ernest, Jean, nos prochains. Si proches, dans le courant trop rapide de la vie violente.
Les Inrockuptibles
"Un petit frère" accomplit lui aussi, sans crier, sans militer, un déplacement suffisamment remarquable pour qu’il soit soulevé. Non seulement il vient donner un visage, une humanité concrète au mot d’immigré mais il esquisse aussi un portrait de la France du point de vue de celles et ceux qui d’ordinaire n’en ont pas le droit [...].
Marie Claire
Sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes 2022, le long-métrage détaille à la fois la pudeur et la fusion qui peut exister entre chaque membre d’un foyer.
Transfuge
Sans jamais donner l’air de vouloir « dire » un message univoque sur la question de l’émigration mais en choisissant de nous y faire réfléchir grâce à la complexité des liens entre ces trois personnages (campés par de formidables acteurs et notamment Annabelle Lengronne), l’émotion l’emporte au cours d’un splendide final mélodramatique.
Télé Loisirs
Ce film en trois parties explore avec pudeur la question du déracinement et illustre l'impact des choix des parents sur leurs enfants. L'humoriste Stéphane Bak s'y dévoile avec talent dans un rôle dramatique.
Télérama
Un grand film sur la beauté de la fierté.
Bande à part
Le deuxième long-métrage de Léonor Serraille confirme sa capacité à cultiver la lenteur et la tendresse dans un monde cruel où tout va trop vite.
Cahiers du Cinéma
L’écoulement des années introduit un élan romanesque qui, malgré un manque de souffle et une tendance sociologisante, donne une ampleur inattendue au film. À la fois ambitieux et pudique, le récit maintient la tension constante entre unité et déracinement du trio protagoniste (...).
Franceinfo Culture
La cinéaste n'échappe pas à un réalisme convenu, mais fait preuve aussi de fulgurances qui, çà et là, rattrapent le film.
La Croix
Chronique familiale d’une mère arrivée de Côte d’Ivoire avec ses deux enfants, le deuxième film de Léonor Serraille est avant tout un très beau portrait de femme.
Les Fiches du Cinéma
Un récit au long cours imparfait, mais sensible dans son approche, et attachant dans sa démarche.
Libération
Le film de Léonor Serraille s’ouvre par un portrait enthousiasmant d’une jeune mère ivoirienne arrivant en France, avant de se tourner vers ses deux fils et d’y perdre son souffle.
Paris Match
Ce sont d'ailleurs les scènes au sens trop évident (le contrôle d'identité, le châtelain, le trophée de chasse) qui alourdissent un peu le récit, alors que le film n'est jamais plus beau que quand Léonor Serraille filme le quotidien d'une famille extra-ordinaire mais pourtant si rare sur les écrans français.
Positif
Un petit frère a cette qualité : nous rappeler les beautés des ellipses et la force du temps condensé.
Première
Ajouter à cette virtuosité de l’écriture un casting dément - porté par Annabelle Lengronne impressionnante dans son premier grand rôle et Stéphane Bak qui confirme sa montée en puissance – et vous obtenez l’un des films français les plus passionnants de ce début 2023.
Sud Ouest
Léonor Serraille filme à hauteur d’homme, et de femme, avec une volonté manifeste de justesse, de réalisme. Elle saisit les tensions au sein des familles et des communautés, malgré la solidarité apparente, la pression sur les enfants pour qu’ils s’accomplissent…
aVoir-aLire.com
Après Jeune femme, Léonor Serraille se lance dans un cinéma plus classique mais touchant, qui invite à porter un nouveau regard sur les migrants.
Critikat.com
Passion puis affliction : la formule est efficace d’un point de vue dramaturgique, mais s'avère rapidement très rigide.
La Voix du Nord
Rose (impressionnante Annabelle Lengronne) fait juste ce qu’elle peut, à la fois déterminée et insaisissable. Elle ne suscitera pas toujours notre émoi au fil de ces presque deux heures de récit initiatique.