Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un premier film audacieux et fort.
20 Minutes
par Caroline Vié
Niels Schneider est éblouissant dans « Sentinelle sud » où il fait partager la douleur de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un premier long métrage comme une évidence, qui fusionne habilement polar et chronique sociale.
GQ
par Adam Sanchez
Exploration d’un sous-genre que l’on pensait confisqué par le cinéma américain, le film d’après-guerre avec sa myriade de boiteux et de traumatisés incurables, Sentinelle Sud est un coup d’essai fiévreux, atypique par bien des aspects.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Etienne Sorin
La guerre va bien à Niels Schneider. L’acteur trouve son meilleur rôle depuis Sympathie pour le diable où il interprétait Paul Marchand, reporter en quête d’adrénaline dans Sarajevo assiégée. Lafayette, le voilà.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Plus qu’un récit sur l’armée, « Sentinelle Sud », premier long-métrage de Mathieu Gérault, est un portrait cru et délicat de jeunes soldats traumatisés et écorchés vifs, qui cherchent des réponses autant que de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son captivant premier film, Mathieu Gérault emprunte des voies singulières, très rarement explorées par les réalisateurs français. Sous l'influence d'un certain cinéma américain, le talentueux néophyte met en scène un antihéros hanté par les traumatismes d'une guerre qu'il porte toujours en lui. Une fiction âpre qui slalome habilement entre le thriller et la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans ses notes d’intention, le metteur en scène reconnaît l’influence d’un certain cinéma américain, en premier lieu celui de Sidney Lumet. Son premier essai, original et percutant, se montre digne de la référence et révèle une prometteuse personnalité d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Des personnages remarquablement incarnés par Niels Schneider et Sofian Khammes.
Positif
par Nicolas Geneix
Les yeux ouverts sur un mal-être individuel et collectif, métissant les affres post-trauma et le polar, ce premier long métrage se coltine, avec courage et énergie, ce que Sidney Lumet ou James Gray savent si bien représenter.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Jouant habilement sur les registres, le film noir, le thriller guerrier et le drame social, ce premier film de Mathieu Gérault nous percute violemment.
Télérama
par Frédéric Strauss
Centré sur deux portraits poignants, cet univers révèle progressivement une étonnante ampleur. Il s’y engouffre un climat de polar sombre mais imprégné de tendresse, d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
En reléguant ses personnages à la périphérie de la vie, dans des non-lieux qui se laissent difficilement habiter, le cinéaste figure un malaise qui n’appartient pas seulement aux soldats mais, plus largement, au roman national.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Ce curieux scénario, hybride et surprenant, aurait sans doute mérité une mise en scène moins fonctionnelle [...] Malgré cette limite, ce thriller rural, qui a la bonne idée de ne montrer aucune image de la guerre, préférant laisser l’imaginaire du spectateur travailler, se révèle une bonne surprise, portrait lucide de combattants tentant de retrouver une part de leur innocence perdue à la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Descente fébrile aux enfers autant qu'ascension d'un volcan social, Sentinelle Sud est traversé de belles idées et porté par une photographie splendide, en dépit d'une narration parfois confuse ou convenue.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Niels Schneider donne au personnage une rage palpable et porte ce film original avec force.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Si le scénario pêche par une résolution finale un peu trop rapide, le film séduit par sa noirceur, le sentiment d’urgence qui l’habite et le portrait sensible de ses deux antihéros charismatiques pris dans une fuite en avant mortifère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On peut reprocher beaucoup de choses au premier film de Mathieu Gérault, mais nous, on applaudit sa singularité et son intensité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ces deux mythologies, hantées par le passé, composent ici le paysage d’une masculinité en berne. La désillusion des fils face au silence des pères : voilà comment pourrait se résumer Sentinelle sud, qui étend son propos à une République française bien prompte à abandonner ses « enfants ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un scénario bien ficelé et la performance des comédiens, N. Schneider et S. Khammes en premier lieu, compensent une mise en scène très classique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
L’étrangeté, c’est précisément ce qui manque au film de Mathieu Gerault : Sentinelle Sud laisse trop peu de place au mystère, tournant sans cesse autour des faits et délaissant trop vite le ressenti. On parlera toutefois à l’arrivée davantage de frustration que de déception : sous les défauts du film, l’envie et le regard de Gerault restent tangibles et pourraient se montrer à l’avenir autrement plus étonnants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Outre son duo principal, la présence d’India Hair et de Denis Lavant ajoute un supplément d’âme à ce thriller intense.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Convaincants dans leurs rôles de chiens fous qui tentent de reprendre le contrôle, Niels Schneider et Sofian Khammes peinent toutefois à nous immerger vraiment dans une intrigue qui part dans tous les sens sans aller vraiment quelque part.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
La tension autour de ces soldats démobilisés monte crescendo, mais difficile de s'attacher à des personnages si négatifs, malgré l'implication des acteurs.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Confus et mélo, Sentinelle Sud laisse un sentiment de non-achèvement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Voici
Un premier film audacieux et fort.
20 Minutes
Niels Schneider est éblouissant dans « Sentinelle sud » où il fait partager la douleur de son personnage.
CinemaTeaser
Un premier long métrage comme une évidence, qui fusionne habilement polar et chronique sociale.
GQ
Exploration d’un sous-genre que l’on pensait confisqué par le cinéma américain, le film d’après-guerre avec sa myriade de boiteux et de traumatisés incurables, Sentinelle Sud est un coup d’essai fiévreux, atypique par bien des aspects.
Le Figaro
La guerre va bien à Niels Schneider. L’acteur trouve son meilleur rôle depuis Sympathie pour le diable où il interprétait Paul Marchand, reporter en quête d’adrénaline dans Sarajevo assiégée. Lafayette, le voilà.
Le Parisien
Plus qu’un récit sur l’armée, « Sentinelle Sud », premier long-métrage de Mathieu Gérault, est un portrait cru et délicat de jeunes soldats traumatisés et écorchés vifs, qui cherchent des réponses autant que de l’amour.
Les Echos
Dans son captivant premier film, Mathieu Gérault emprunte des voies singulières, très rarement explorées par les réalisateurs français. Sous l'influence d'un certain cinéma américain, le talentueux néophyte met en scène un antihéros hanté par les traumatismes d'une guerre qu'il porte toujours en lui. Une fiction âpre qui slalome habilement entre le thriller et la chronique sociale.
Marianne
Dans ses notes d’intention, le metteur en scène reconnaît l’influence d’un certain cinéma américain, en premier lieu celui de Sidney Lumet. Son premier essai, original et percutant, se montre digne de la référence et révèle une prometteuse personnalité d’auteur.
Ouest France
Des personnages remarquablement incarnés par Niels Schneider et Sofian Khammes.
Positif
Les yeux ouverts sur un mal-être individuel et collectif, métissant les affres post-trauma et le polar, ce premier long métrage se coltine, avec courage et énergie, ce que Sidney Lumet ou James Gray savent si bien représenter.
Télé 7 Jours
Jouant habilement sur les registres, le film noir, le thriller guerrier et le drame social, ce premier film de Mathieu Gérault nous percute violemment.
Télérama
Centré sur deux portraits poignants, cet univers révèle progressivement une étonnante ampleur. Il s’y engouffre un climat de polar sombre mais imprégné de tendresse, d’humanité.
Cahiers du Cinéma
En reléguant ses personnages à la périphérie de la vie, dans des non-lieux qui se laissent difficilement habiter, le cinéaste figure un malaise qui n’appartient pas seulement aux soldats mais, plus largement, au roman national.
Culturopoing.com
Ce curieux scénario, hybride et surprenant, aurait sans doute mérité une mise en scène moins fonctionnelle [...] Malgré cette limite, ce thriller rural, qui a la bonne idée de ne montrer aucune image de la guerre, préférant laisser l’imaginaire du spectateur travailler, se révèle une bonne surprise, portrait lucide de combattants tentant de retrouver une part de leur innocence perdue à la guerre.
Ecran Large
Descente fébrile aux enfers autant qu'ascension d'un volcan social, Sentinelle Sud est traversé de belles idées et porté par une photographie splendide, en dépit d'une narration parfois confuse ou convenue.
L'Obs
Niels Schneider donne au personnage une rage palpable et porte ce film original avec force.
La Croix
Si le scénario pêche par une résolution finale un peu trop rapide, le film séduit par sa noirceur, le sentiment d’urgence qui l’habite et le portrait sensible de ses deux antihéros charismatiques pris dans une fuite en avant mortifère.
La Voix du Nord
On peut reprocher beaucoup de choses au premier film de Mathieu Gérault, mais nous, on applaudit sa singularité et son intensité.
Le Monde
Ces deux mythologies, hantées par le passé, composent ici le paysage d’une masculinité en berne. La désillusion des fils face au silence des pères : voilà comment pourrait se résumer Sentinelle sud, qui étend son propos à une République française bien prompte à abandonner ses « enfants ».
Les Fiches du Cinéma
Un scénario bien ficelé et la performance des comédiens, N. Schneider et S. Khammes en premier lieu, compensent une mise en scène très classique.
Libération
L’étrangeté, c’est précisément ce qui manque au film de Mathieu Gerault : Sentinelle Sud laisse trop peu de place au mystère, tournant sans cesse autour des faits et délaissant trop vite le ressenti. On parlera toutefois à l’arrivée davantage de frustration que de déception : sous les défauts du film, l’envie et le regard de Gerault restent tangibles et pourraient se montrer à l’avenir autrement plus étonnants.
Première
Outre son duo principal, la présence d’India Hair et de Denis Lavant ajoute un supplément d’âme à ce thriller intense.
Le Journal du Dimanche
Convaincants dans leurs rôles de chiens fous qui tentent de reprendre le contrôle, Niels Schneider et Sofian Khammes peinent toutefois à nous immerger vraiment dans une intrigue qui part dans tous les sens sans aller vraiment quelque part.
Télé Loisirs
La tension autour de ces soldats démobilisés monte crescendo, mais difficile de s'attacher à des personnages si négatifs, malgré l'implication des acteurs.
aVoir-aLire.com
Confus et mélo, Sentinelle Sud laisse un sentiment de non-achèvement.