Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Drame intime et fantastique, le deuxième film de Léa Mysius parle d'amour et d'invisible, de choix et d'inéluctable. À hauteur d'enfant.
CNews
par Chloé Ronchin
Léa Mysius signe une belle fresque intimiste autour des vies manquées et des obsessions humaines.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Emmanuel le Gagne
Si une inquiétude sourde plane sur le film, ce n’est jamais pour instaurer un malaise, explorer la noirceur des personnages. Les cinq diables est au contraire une œuvre lumineuse et réparatrice qui tente d’amener les âmes meurtries vers une possible réconciliation envers eux-mêmes et leur entourage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les Cinq diables offre un rôle majeur à Adèle Exarchopoulos dans un récit montagnard, fantastique et inquiétant.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Film fantastique inquiétant et drame familial déchirant, Les Cinq diables est à la fois une œuvre exigeante et un pur plaisir de cinéma. Un second long-métrage d'une rare intensité qui impose Léa Mysius comme l'une des cinéastes les plus prometteuses et passionnantes du cinéma hexagonal.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film original et intrigant, porté par la formidable Adèle Exarchopoulos.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Entre polar psychanalytique et fable fantastique, Léa Mysius explore, à travers une poignée de personnages confrontés à leurs démons, le désir féminin et la maternité, la frontière entre l’univers de l’enfance et le monde des adultes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les Cinq diables joue avec les genres et navigue dans des labyrinthes mentaux à la David Lynch, en lisière du thriller opaque et de l’horreur, dans les eaux du fantastique et de l’inquiétante étrangeté.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Toujours en mouvement, la caméra capte l’ennui d’une petite bourgade repliée sur elle-même, vaguement raciste et homophobe. Splendide d’ennui, Adèle Exarchopoulos a le regard vide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans un décor de montagne impressionnant, la réalisatrice d'« Ava », Léa Mysius, tisse un film fantastique audacieux, doublé d'un drame familial et d'une histoire d'amour incandescente.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Les cinq diables est un impressionnant récit des origines conjugué à une saga de l’intime et une vibrante histoire d’amour (retrouvé).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Si les Cinq Diables [...] s’échine à recoudre les fils de son récit au lieu de plonger dans le trou béant des angoisses enfantines, reste qu’il donne à soupçonner sa vertigineuse profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Passion, trahison, incendie : à travers un foisonnant récit, Les Cinq diables nous entraîne dans une vertigineuse quête des origines.
Positif
par Philippe Rouyer
Passé et présent s’entrelacent alors en une passionnante mosaïque dont la mise en relation des pièces dispersées conduit à un hymne émouvant à l’amour et à la libération des corps et des esprits.
Télérama
par Jacques Morice
Dérèglement temporel, suspens, visions : une fable gorgée d’énergie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Sophie Grassin
Léa Mysius, révélée par « Ava », se frotte au fantastique pour proposer un puzzle excitant mais un poil alambiqué où désosser le passé donnera une chance au présent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Servi merveilleusement par la topographie des lieux avec ses montagnes immuables, ses lacs aux eaux opaques et ses communautés repliées sur elles-mêmes, le scénario avance sur un fil ténu et, malgré une composition morcelée et quelques situations improbables, parvient à ne jamais nous égarer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
On a l’impression d’assister à la rencontre de Stephen King et de Céline Sciamma devant cet étrange film, mélange de conte fantastique et de drame naturaliste. Audacieux et dense, il déroute autant qu’il envoute par ses partis pris narratifs et son style affirmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Gilles Esposito
La qualité de la réalisation et de l'interprétation donne de l'intérêt à cette histoire [...]. Mais bizarrement, la dimension fantastique de la chose nous a moins convaincus.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré son scénario parfois inutilement alambiqué et des surenchères formelles un rien grand guignol, Les cinq diables confirme le talent atypique de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Entre chronique sociale et plongée fantastique, Léa Mysius embarque joliment tout son monde, ses actrices et le spectateur avec elles. Et si Pon peine parfois à ne pas... recoller ses ambiances avec nos souvenirs encore forts de celles de la série Les Revenants, c’est moins de sa faute que de celle de ces montagnes environnantes.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Léa Mysius ne parvient pas toujours à concilier les deux aspirations contradictoires de son intrigue, mais si le mélange prend difficilement, à l’instar de ce couple chahuté, le film impressionne par sa liberté de construction.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Bien que bancal, ce drame envoûtant bénéficie du magnétisme de ses actrices.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Formidablement porté par Adèle Exarchopoulos, Les Cinq diables ne parvient pas à convaincre totalement son spectateur, du fait de la surenchère des thématiques et du mélange des genres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le début du film est d’autant plus engageant qu’il sort des sentiers battus avec une assurance formelle qui confirme les promesses d’Ava. (…) Comme si elle n’avait pas suffisamment cru en son propre geste, Léa Mysius finit pourtant par délaisser son jeune personnage pour dévier vers une histoire d’amour contrariée sur fond de critique sociale maladroite.
Critikat.com
par Valentin Denis
Léa Mysius se montre bien plus douée pour distiller des signaux troublants que pour filmer ce qui se cache derrière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Après l’enthousiasmant « Ava » en 2017, Léa Mysius poursuit dans la veine du dérèglement des sens et de l’animalité de personnages féminins, en flirtant encore davantage avec le fantastique. Mais de façon moins réussie cette fois : le récit, confus, nous perd en route, et certains personnages sont sous-exploités.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre le drame romantique et le cinéma fantastique, ce nouveau film ne fait que juxtaposer ses belles idées, mais ne parvient jamais à trouver son équilibre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Frédéric Mercier
Si l’ambition de Léa Myssius ne fait pas de doute, il semble que la réalisatrice soit partie dans de trop nombreuses directions sans en choisir une pour nous convaincre.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Que Léa Mysius coche toutes les cases de la grille woke (homosexualité, féminisme, antiracisme) en scénariste consciencieuse et appliquée est déjà limite, mais la facture kitsch aggrave le cas de ce conte fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thomas Baurez
Les frontières entre les territoires sont floues, les liens entre les personnages aussi. Et puis, à mesure que le mystère s’évapore, notre attention aussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Drame intime et fantastique, le deuxième film de Léa Mysius parle d'amour et d'invisible, de choix et d'inéluctable. À hauteur d'enfant.
CNews
Léa Mysius signe une belle fresque intimiste autour des vies manquées et des obsessions humaines.
Culturopoing.com
Si une inquiétude sourde plane sur le film, ce n’est jamais pour instaurer un malaise, explorer la noirceur des personnages. Les cinq diables est au contraire une œuvre lumineuse et réparatrice qui tente d’amener les âmes meurtries vers une possible réconciliation envers eux-mêmes et leur entourage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les Cinq diables offre un rôle majeur à Adèle Exarchopoulos dans un récit montagnard, fantastique et inquiétant.
Ecran Large
Film fantastique inquiétant et drame familial déchirant, Les Cinq diables est à la fois une œuvre exigeante et un pur plaisir de cinéma. Un second long-métrage d'une rare intensité qui impose Léa Mysius comme l'une des cinéastes les plus prometteuses et passionnantes du cinéma hexagonal.
Elle
Un film original et intrigant, porté par la formidable Adèle Exarchopoulos.
L'Humanité
Entre polar psychanalytique et fable fantastique, Léa Mysius explore, à travers une poignée de personnages confrontés à leurs démons, le désir féminin et la maternité, la frontière entre l’univers de l’enfance et le monde des adultes.
Le Dauphiné Libéré
Les Cinq diables joue avec les genres et navigue dans des labyrinthes mentaux à la David Lynch, en lisière du thriller opaque et de l’horreur, dans les eaux du fantastique et de l’inquiétante étrangeté.
Le Monde
Toujours en mouvement, la caméra capte l’ennui d’une petite bourgade repliée sur elle-même, vaguement raciste et homophobe. Splendide d’ennui, Adèle Exarchopoulos a le regard vide.
Les Echos
Dans un décor de montagne impressionnant, la réalisatrice d'« Ava », Léa Mysius, tisse un film fantastique audacieux, doublé d'un drame familial et d'une histoire d'amour incandescente.
Les Inrockuptibles
Les cinq diables est un impressionnant récit des origines conjugué à une saga de l’intime et une vibrante histoire d’amour (retrouvé).
Libération
Si les Cinq Diables [...] s’échine à recoudre les fils de son récit au lieu de plonger dans le trou béant des angoisses enfantines, reste qu’il donne à soupçonner sa vertigineuse profondeur.
Marie Claire
Passion, trahison, incendie : à travers un foisonnant récit, Les Cinq diables nous entraîne dans une vertigineuse quête des origines.
Positif
Passé et présent s’entrelacent alors en une passionnante mosaïque dont la mise en relation des pièces dispersées conduit à un hymne émouvant à l’amour et à la libération des corps et des esprits.
Télérama
Dérèglement temporel, suspens, visions : une fable gorgée d’énergie.
L'Obs
Léa Mysius, révélée par « Ava », se frotte au fantastique pour proposer un puzzle excitant mais un poil alambiqué où désosser le passé donnera une chance au présent.
La Croix
Servi merveilleusement par la topographie des lieux avec ses montagnes immuables, ses lacs aux eaux opaques et ses communautés repliées sur elles-mêmes, le scénario avance sur un fil ténu et, malgré une composition morcelée et quelques situations improbables, parvient à ne jamais nous égarer.
Le Journal du Dimanche
On a l’impression d’assister à la rencontre de Stephen King et de Céline Sciamma devant cet étrange film, mélange de conte fantastique et de drame naturaliste. Audacieux et dense, il déroute autant qu’il envoute par ses partis pris narratifs et son style affirmé.
Mad Movies
La qualité de la réalisation et de l'interprétation donne de l'intérêt à cette histoire [...]. Mais bizarrement, la dimension fantastique de la chose nous a moins convaincus.
Marianne
Malgré son scénario parfois inutilement alambiqué et des surenchères formelles un rien grand guignol, Les cinq diables confirme le talent atypique de la réalisatrice.
Rolling Stone
Entre chronique sociale et plongée fantastique, Léa Mysius embarque joliment tout son monde, ses actrices et le spectateur avec elles. Et si Pon peine parfois à ne pas... recoller ses ambiances avec nos souvenirs encore forts de celles de la série Les Revenants, c’est moins de sa faute que de celle de ces montagnes environnantes.
Sud Ouest
Léa Mysius ne parvient pas toujours à concilier les deux aspirations contradictoires de son intrigue, mais si le mélange prend difficilement, à l’instar de ce couple chahuté, le film impressionne par sa liberté de construction.
Télé Loisirs
Bien que bancal, ce drame envoûtant bénéficie du magnétisme de ses actrices.
aVoir-aLire.com
Formidablement porté par Adèle Exarchopoulos, Les Cinq diables ne parvient pas à convaincre totalement son spectateur, du fait de la surenchère des thématiques et du mélange des genres.
Cahiers du Cinéma
Le début du film est d’autant plus engageant qu’il sort des sentiers battus avec une assurance formelle qui confirme les promesses d’Ava. (…) Comme si elle n’avait pas suffisamment cru en son propre geste, Léa Mysius finit pourtant par délaisser son jeune personnage pour dévier vers une histoire d’amour contrariée sur fond de critique sociale maladroite.
Critikat.com
Léa Mysius se montre bien plus douée pour distiller des signaux troublants que pour filmer ce qui se cache derrière.
Le Parisien
Après l’enthousiasmant « Ava » en 2017, Léa Mysius poursuit dans la veine du dérèglement des sens et de l’animalité de personnages féminins, en flirtant encore davantage avec le fantastique. Mais de façon moins réussie cette fois : le récit, confus, nous perd en route, et certains personnages sont sous-exploités.
Les Fiches du Cinéma
Entre le drame romantique et le cinéma fantastique, ce nouveau film ne fait que juxtaposer ses belles idées, mais ne parvient jamais à trouver son équilibre.
Transfuge
Si l’ambition de Léa Myssius ne fait pas de doute, il semble que la réalisatrice soit partie dans de trop nombreuses directions sans en choisir une pour nous convaincre.
Le Figaro
Que Léa Mysius coche toutes les cases de la grille woke (homosexualité, féminisme, antiracisme) en scénariste consciencieuse et appliquée est déjà limite, mais la facture kitsch aggrave le cas de ce conte fantastique.
Première
Les frontières entre les territoires sont floues, les liens entre les personnages aussi. Et puis, à mesure que le mystère s’évapore, notre attention aussi.