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    À plein temps
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    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2022
    On ressort essoufflé de ce film constamment en mouvement mais où, paradoxalement, il ne se passe pas grand chose. Ceux qui voient ici le fantôme de Ken Loach oublient que le génial réalisateur britannique dispose toujours d'un scénario solide et de dialogues élaborés.
    Rien de tout cela ici, sinon une accumulation de catastrophes quotidiennes, la vision d'une femme courageuse mais calamiteuse (ahah!), une galère sans un moment pour souffler. C'est sans doute le lot de nombre de mères méritantes qui élèvent seules leurs enfants, qui habitent loin de leur boulot, qui occupent des emplois sans attrait mais il y a peu d'espace cinématographique dans ces vies. Le rythme haletant, les caméras portées - je devrais plutôt dire brinquebalées -, la musique de casserole, tout finit par rendre ce film insupportable, sauf peut-être, le jeu de l'actrice principale qui est bien la seule à tirer une épingle dans ce jeu épuisant.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2022
    « A plein temps », le second film du réalisateur franco-canadien Éric Gravel (2022) me pose problème. Certes on suit la vie trépidante de Julie (Laure Calamy), mère de 2 petits enfants, courant tout le temps entre le train, le bus et le métro (avec une musique oppressante) pour aller à son boulot de première femme de chambre dans un grand palace parisien … vie d’autant plus trépidante que les grèves se multiplient mais le covoiturage lui semble facile! Mais Julie a choisi de vivre à la campagne spoiler: au départ pour ne pas être trop loin de son ex-mari … qui en fait est absent et se fait tirer l’oreille pour verser les pensions alimentaires de ses enfants que Julie confie à une nounou déjà âgée du petit village où elle réside
    . De plus Julie sait se servir des personnes : la nounou des enfants, un habitant du village jeune retraité, une collègue de travail … et même user de chantage spoiler: auprès d’une stagiaire et même de la cheffe du personnel de service du palace pour pouvoir aller à un entretien d’embauche sur un poste de marketing, plus proche de son ancien travail, son entreprise ayant été fermée.
    Et patatras tout dégringole : elle est congédiée et son compte bancaire est à zéro … et à un moment où on craint le pire pour elle, un deus ex machina tel qu’on n’oserait plus le faire, finira par tout arranger !
    Laura Calamy a reçu le prix de la meilleure actrice à la Nostra mais il est vrai qu’elle est très à la mode en ce moment mais pour ma part je ne la trouve pas géniale dans ce rôle !
    Un film un peu trop caricatural qui me laisse coi vu les notes données par les critiques professionnels. Ce film me semble être un remake « moderne » de « Elle court, elle court la banlieue » de Gérard Pirès (1972).
    petitbandit
    petitbandit

    78 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2022
    Avec une Laure Calamy convaincante, l'histoire de cette mère célibataire qui fait tout pour s'en sortir et élever ses 2 enfants loin des tumultes de Paris au prix d'un éloignement qui complique les choses. En pleine période de grèves, tous les aléas de la vie pour être présent au travail. Si l'histoire peut sembler banale, elle nous touche forcément car elle est le quotidien de millions d'entre nous, de tous ces français travailleurs qui doivent impérativement se rendre au boulot. Le rythme est soutenu, l'ambiance pesante pour un dénouement certes prévisible mais qui nous soulage. Un film efficace à la mise en scène réglée et à la réalisation soignée. Bon film
    Cool_92
    Cool_92

    247 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2022
    Un vrai tour de force de faire un véritable thriller avec le quotidien d'une maman seul qui galère pour gérer travail et vie perso. La vie en banlieue autour des grandes métropoles peut s'avérer un enfer et le film le montre bien. Laure Calamy est impeccable et trouve ici son meilleur rôle.
    Clem Lepic
    Clem Lepic

    33 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2022
    On se laisse emporter par ce film. Quel rythme de vie à cette Julie ! Entre ses 2 enfants qu'elle élève pratiquement seule (le père ne répondant pas au telephone), le temps de transport interminable pour se rendre sur le lieu de travail, empiré par la grève, essayer de trouver un moment pour passer des entretiens et changer de job, puis le retour a la maison qui est de nouveau sans fin, gérer la fatigue des enfants qui deviennent un peu turbulents. On se dit que la protagoniste va bientôt craquer, mais elle reste assez polie dans ses interactions, même quand ses interlocuteurs deviennent moins corrects. Il s'agit de scènes banales mais on ne sennuie pas.
    chloé V.
    chloé V.

    106 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2022
    Évidemment Laure Calamy est excellente encore une fois. Décidément quelle actrice !
    Le film en lui même est une course folle qui, a l'instar de son personnage principal, galope, perd parfois son but, regrette ses choix. Pour ça c'est un beau travail. Mais pour nous, spectateurs, c'est à la fois épuisant et peu prenant. J'aurai aimé être émue, être avec elle plutôt qu'en face.
    Bref, la critique s'est un peu enflammée.
    Fkf
    Fkf

    16 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    A priori le scénario n'est guère excitant. Mais j'ai eu la curiosité et quelle claque ! Vraiment un grand film, tout en tension, sans la moindre seconde de temps mort, avec une actrice extraordinaire qui tient tout le film sur les épaules. Elle est pratiquement de chaque plan, sans effets, toujours d'une justesse absolue, habitée par le personnage. A voir absolument.
    Fabienne
    Fabienne

    8 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2022
    Je savais que j'allais adorer le film, maintenant je sais pourquoi. Laure Calamy porte le film à merveille. Excellente actrice, on ressent ses émotions transmises avec justesse et réalité. On est avec elle pendant tout l'ascenseur émotionnel jusqu'à la dernière seconde. Dans la salle, personne ne s'est levé avant le dernier mot du générique, épuisés et émus. Je trouve que c'est une configuration parfaite qu'elle soit seule et hyperprésente à l'écran. Je pense à ces gens qui vivent vraiment ce calvaire, gaspillant tant de leur temps dans les transports, soumis au système. Faire un chef d'oeuvre d'un sujet aussi ordinaire et actuel, il fallait des talents ! Eric Gravel montre aussi sa bonté à travers des scènes de joie avec les enfants. Création musicale nickel, création de l'image super travaillée. J'aime aussi les gros plans sur le grain de peau qui s'oppose à la violence du contexte. Bravo au réalisateur et à l'actrice, entre autres. Pour moi, c'est du 5 étoiles.
    jroux86
    jroux86

    6 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2022
    Il y a un film avec lequel A plein temps entretient un certain dialogue, c’est En guerre (Stéphane Brizé, 2018). Le montage heurté, la tension qui ne cesse de monter ou encore l’intention de disséquer les rapports humains dans un cadre professionnel sont autant de traits communs aux deux films. Il y est aussi question de grèves, mais des deux côtés opposés du piquet – subie dans un cas, voulue dans l’autre.
    spoiler: Et puis il y a cette scène, vers la fin du film, qui pourrait être un faux ricochet au final de En guerre. Le personnage interprété par Lindon s’y immolait sur son lieu de travail afin de faire basculer le mouvement social (et le film) dans la tragédie – ce qui a pour conséquence d’augmenter les primes de départ de ses collègues. Dans A plein temps, Julie (interprétée par Laure Calamy) se trouve sur le quai de la gare avec ses deux enfants. Elle vient de perdre son travail, ce qui semble la dévaster. La caméra s’attarde sur elle, visage baissé, pensive. Une voix off annonce l’arrivée en gare d’un train. Prière est faite de s’éloigner du quai. Julie ne bouge pas tandis qu’on entend le train hurler au loin. On pense alors à l’issue fatale du film de Brizé – l’altruisme en moins. Mais non. Julie ne commet pas l’irréparable, et c’est une tout autre issue qui l’attend.


    La porte de sortie spoiler: (une offre d’emploi)
    proposée par Gravel à son personnage est intéressante : elle révèle toute la complexité de Julie. spoiler: Car, pour celle-ci, le fait de retrouver un emploi n’est certainement pas le vrai moyen de trouver une issue favorable à sa situation. Ou en tout cas, ce n’est pas cette solution – dans sa simplicité apparente – qui a été retenue par le cinéaste. Si cela avait été le cas, Julie aurait trouvé un nouveau travail près de chez elle. Or, et c’est une nuance importante, c’est un travail de la même nature que le précédent qui lui est « offert » : sur Paris, loin de chez elle, avec des responsabilités, des journées à rallonge... Pour le spectateur ayant partagé une heure durant le quotidien asphyxiant de cette mère célibataire, ce n’est franchement pas le signe d’une amélioration de la situation (ne sont pas résolus les problèmes de garde, de transport, de grèves…). Mais pour le personnage interprété par Laure Calamy, c’est une tout autre histoire… Quand celle-ci apprend qu’elle a été engagée, elle pleure. Des larmes de joie ? Il y a tout lieu de le croire. Car Julie a fait preuve de bien peu d’entrain lorsqu’il a fallu postuler pour un emploi de caissière près de chez elle. La vie de famille ne lui sied pas beaucoup non plus. Même si elle fait tout ce qu’il faut (tout ce qu’elle peut) pour ses enfants, on la voit peu enchantée par la perspective de rester chez elle sans travailler. Et puis il y a ce « J’suis quand même mieux chef d’équipe dans mon palace » lancé à la nounou des enfants quand celle-ci lui suggère de se faire recruter dans le supermarché du coin.

    Ainsi Julie, malgré des contraintes insupportables, n’est pas prête à accepter n’importe quoi. Elle aspire à un poste à hauteur de ses diplômes, sous n’importe quelles conditions – et sur Paris qui plus est. Son quotidien effréné, c’est le mode de (sur)vie qu’elle s’est choisi. C’est peut-être aussi son addiction.
    Gravel choisit donc un final bien plus politique qu’il n’y paraît. Pour son personnage, la solution de sortie de crise est moins l’intention de montrer le travail comme simple moyen de subsistance que la volonté de le révéler dans toutes ses potentialités de nuisance et d’aliénation – en tout cas dans la forme décrite tout du long : un marché de l’emploi ultra-libéral et archi-concurrentiel.
    Place du Cinéma
    Place du Cinéma

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2022
    Quand un film se termine et qu'on regrette qu'il ne dure pas une demi-heure se plus, c'est qu'il est très réussi.
    C'est ce qui m'est arrivé à l'avant-première du film "À plein temps" avec Laure Calamy en rôle principal. Un film parfois angoissant, où l'on suit le quotidien d'une femme qui court partout. Mère divorcée, habitant en banlieue et travaillant comme femme de chambre dans un palace parisien, elle vit sur le fil du rasoir et prend de plus en plus de risques pour essayer de s'en sortir. C'est très bien mis en scène et très bien filmé, et Laure Calamy est une battante. À voir au cinéma absolument.
    Bruno75010
    Bruno75010

    3 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2022
    C'est une idée de scénario intéressante. Rien à dire sur les acteurs, qui jouent tous très juste. C'est la réalisation qui m'a semblé avoir des défauts. Pour moi, le sujet est une fuite en avant. L'héroïne est certes victime des circonstances et dans une situation de plus en plus intenable, mais on voit aussi qu'elle n'est pas uniquement victime et porte une part de responsabilité dans ce qui lui arrive et les conséquences sur autrui spoiler: (la nouvelle femme de ménage virée à cause d'elle)
    par ce qu'on pourrait appeler un déni de sa situation précaire qui entraîne un manque d'honnêteté croissant. En gros, elle perd les pédales sous la pression des circonstances et ce n'est pas si joli que ça. spoiler: De même, sa séparation semble liée à un problème passé avec la boisson.
    Pour moi, c'est là le côté intéressant du scénario. Maintenant, le cumul des catastrophes m'a paru un peu artificiel, ainsi surtout que la fin heureuse - assez invraisemblable et qui, on l'a vu avant, ne va rien résoudre au fond de son problème. spoiler: J'ai aussi regretté l'embryon d'une romance possible, développé, puis brutalement interrompu. Pour encore en rajouter sur la négativité dans laquelle elle plonge?


    Enfin, on comprend au fur et à mesure du film qu'elle n'est pas qui on pouvait penser au début spoiler: (pas une femme de ménage lambda et exploitée, mais quelqu'un qui avait un boulot de haut vol et qui compte bien en retrouver un)
    et cela montre en quoi l'ego perturbe son rapport avec le réalisme. C'est aussi un aspect intéressant du scénario, , qui au fond me fait un peu penser au dernier film d'Ashgar Farhadi. Dommage pour les défauts de mise en œuvre.
    amour13
    amour13

    31 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2022
    Ce film est stressant mais aussi prenant car on vit l'histoire de la comédienne comme que si que nous étions avec elle. Ce film nous montre à quel point vivre en Ile de France est catastrophique, que la Sncf est vraiment égoïste et que le gouvernement est trop laxiste. En tout cas, belle prestation de comédienne.
    Domnique T
    Domnique T

    55 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 mars 2022
    Épuisant ! Suivre la magnifique et irréprochable Laure Calamy dans ses turpitudes domestiques, dans ses courses folles pour prendre un train, dans ses stress professionnels … Au bout de 20 minutes, le spectateur est éreinté ! C’est à peu près le moment où l’on se demande s’il va se passer quelque chose. La réponse arrive 70 minutes plus tard ; il ne se passe RIEN !
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2022
    C’est une réalisation de Eric Gravel cinq ans après son premier film Crash Test Aglaé. Il en a aussi écrit le scénario. À plein temps a obtenu les prix du Meilleur Réalisateur et de la Meilleure Actrice pour Laure Calamy dans la section Orizzonti à la Mostra de Venise 2021.
    Ce film nous plonge dans le cauchemar de ceux prenant les transports pour aller au travail, c'est-à-dire les grèves. Comment une mère de famille célibataire travaillant sur Paris, mais vivant en grande banlieue, va-t-elle faire pour s'en sortir s’il n’y a pas de train. Entre faire garder ses enfants et les retards à son travail, cela va être compliqué. L’idée est intéressante, mais il est toutefois regrettable que le film passe quasiment sous silence la raison de cette grève. Si on est attentif, on peut l'entendre au début du film en fond, mais ce n'est pas suffisant. Dans un film à connotation sociale, il est important de bien mettre le contexte en place, pour comprendre les raisons.
    Un drame social à la française qui est le reflet d’une classe populaire qui n’arrive pas à s’en sortir et qui a le sentiment que tout va contre elle. Julie a des obligations et ne peut s’en défaire. Tout ce qu’il y a autour ne l'arrange pas pour améliorer sa situation. Elle n’a pas les moyens d’habiter la proche banlieue et tout en offrant un cadre de vie convenable à ses enfants. C’est donc la raison de cet éloignement. D’ailleurs, dès qu’elle passe devant un immeuble HLM, il y a une focalisation dessus comme pour montrer son angoisse d’un jour devoir habiter là si elle veut se rapprocher de Paris. Bien entendu, elle n'a pas les moyens de réparer sa voiture donc elle va subir de plein fouet, c’est grève. Entre l'envie de décrocher un nouveau travail et la difficulté de garder le sien, Julie montre une équipe fragile de la classe populaire. Les gens n’ont pas le luxe de changer d’emploi comme ils veulent.
    La musique est très importante dans ce film, car elle va symboliser l’angoisse permanente de notre personnage. Sa vie est une course contre la montre où elle doit toujours se dépêcher. Cette ambiance sonore est oppressante pour qu’on ressente ce qu’il y a dans la tête de notre personnage. Laure Calamy est excellente dans ce rôle. L’actrice maîtrise parfaitement son personnage. On va la voir subir et faire souvent les mauvais choix. Malheureusement, c'est aussi l'un des propres de la classe populaire. Des gens tellement pressés par le temps et l'argent, qu'ils n'ont pas le luxe de la réflexion et donc de prendre toujours les bonnes décisions.
    Malheureusement, le film va un peu trop loin sur certains points. Il y a des scènes qui sont faites pour accentuer le côté dramatique, mais qui sortent un peu du cadre réel. Ces petits instants, où le curseur est mal placé, vont déconnecter un peu. En plus de cela, le rythme n’est pas forcément toujours bien géré. On passe de situations de tension ultime, à des moments de calme plat, notamment quand elle est chez elle. Certes, il y a une pression avec les enfants qui ne laissent pas aucun répit, mais ça ne ressort pas aussi bien.
    tixou0
    tixou0

    640 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2022
    "Julie", entre campagne de vie et Paris de travail (Laure Calamy - très juste, et cent fois plus convaincante qu'en "Antoinette", primée), recasée (par défaut) en Première femme de chambre dans un palace de la capitale (petite chronique ancillaire, en prime), est une quadra résistante (mère courage multi tâches, divorcée-la-débrouille - dotée d'un ex peu coopératif), mais jusques à quand ? Une grève généralisée des transports en commun, la grogne sociale (avec supplément "émeutes") qui grandit, s'ajoutant à la garde compliquée de deux jeunes enfants avant et après l'école et à de gros problèmes financiers (pension alimentaire non payée, échéances de crédit immobilier en souffrance...), cela aura-t-il raison du courage et de la pugnacité de la jeune femme ? La Providence, en variable d'ajustement d'un destin si compliqué - et si ordinaire dans cette complexité ?... C'est tout ce que souhaite à cette "héroïne du quotidien" le spectateur qui est emporté par le rythme effréné du montage de ce si réaliste "A Plein temps"... dû (2e "long") au franco-québécois Éric Gravel ("Crash Test Aglaé"), film doublement primé à la Mostra 2021. Du "social", avec (ou par) portrait de femme, qui sait éviter surcharge et bourratif : "pas mal" !
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