Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Laure Calamy insuffle une énergie folle à ce très beau film réaliste et social, prenant comme un thriller.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « À plein temps », du cinéaste Éric Gravel, un des meilleurs films du moment, Laure Calamy incarne, avec une énergie saisissante, une femme précarisée qui lutte pour ne pas sombrer. Un nouveau rôle majeur pour une comédienne qui aime d’abord surprendre – et dont la cote grimpe en flèche.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Voici
par La Rédaction
Laure Calamy incarne à merveille ce rôle de femme forte, fragile et touchante.
20 Minutes
par Caroline Vié
Laure Calamy est exceptionnelle dans « A plein temps » d'Eric Gravel. Son rôle de femme qui élève seule ses enfants à la campagne tout en composant avec son travail dans un palace parisien force une fois de plus l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un grand film social.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Après Antoinette dans les Cévennes , Laure Calamy continue avec brio de tenir des films sur ses épaules. Son personnage de Julie, constamment au bord du précipice et tenant bon par une foi quasiment religieuse dans de meilleurs lendemains, reste longtemps en mémoire.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Tendue mais digne, Laure Calamy offre avec ce rôle une visibilité bienvenue à toutes les femmes qui se battent au quotidien.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Très beau, très juste dans son propos, son interprétation et sa mise en scène, A plein temps rejoint une série de films socio-politiques récents passionnants, comme Les Promesses ou Goliath. Immersif.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Mais en endossant avec fébrilité le stress, les lâchetés, les mensonges de Julie, Laure Calamy prouve une fois de plus tout son tempérament.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un film coup de poing, bien plus éloquent et convaincant que bien des discours.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Éric Gravel signe un portrait de femme combattante et solide.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Pourtant, le film ne donne jamais de leçon, de grandes tirades. Il préfère l’action, l’empilement de soucis pour Julie, le tout avec un rythme intense et quasiment non-stop, soutenu par une musique électronique marquante (signée Irène Drésel), ce qui donne au film des airs de thriller.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film cahotant et immersif conçu avec une précision horlogère.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Un film à la grande ambition formelle qui fait surgir la solitude d'une battante.
Le Parisien
par Catherine Balle
Paradoxalement, dans ce long métrage à cent à l’heure, il ne se passe pas grand-chose. Le scénario, ténu, nous laisse donc un peu sur notre faim. Malgré cela, « À plein temps » livre une chronique édifiante du combat quotidien de millions de femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Eric Gravel met en scène une héroïne solitaire qui s'épuise entre son travail et l'éducation de ses deux enfants en bas âge. Un film fort et réaliste incarné par Laure Calamy, une nouvelle fois impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Joseph Cartron
Par-delà l’exercice de tension et de suspense, Éric Gravel signe un drame social passionnant, malgré une fin fragilisant sa justesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Film social ? Certes. Mais pas seulement. Un joli film très bien composé avec une Laure Calamy une fois de plus extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Audacieux et trépidant.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une Laure Calamy admirable de vérité.
Positif
par Éric Derobert
Comment se rendre à son travail était déjà le sujet du premier long métrage d’Éric Gravel, Crash Test Aglaé, où trois ouvrières partaient sur les routes, dans une caisse pourrie, pour conserver leur emploi au sein de leur usine délocalisée en Inde. À l’aventure subie, mais stimulante, de l’exotisme succède, avec À plein temps, la description d’une société mondialisée pressée, concurrentielle et bruyante.
Première
par Thierry Chèze
Multi-primé à la Mostra 2021, ce sommet de film social offre aussi à une Laure Calamy, géniale de bout en bout, un rôle loin de ses emplois post Dix pour cent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
De la simple mais épouvantable expérience de Julie, Eric Gravel fait un de ces modèles cauchemardesques auxquels le monde moderne nous condamne d’une manière ou d’une autre.
Transfuge
par Serge Kaganski
Gravel montre ainsi la complexité et l’interdépendance des multiples rouages qui font (dys)fonctionner la société, loin de tout simplisme militant.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Éric Gravel maintient le suspense jusqu’au bout de cette course contre la montre, et offre le portrait d’une « guerrière » moderne, inspiré par nos rythmes de vie effrénés.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Sans fard, ce portrait sous tension d'une mère célibataire combative prend aux tripes et dévoile une Laure Calamy exceptionnelle.
Télérama
par Guillemette Odicino
Soutenu par la musique électro d’Irène Drésel, le réalisateur Éric Gravel réussit un travail d’orfèvre : il s’attache à chaque geste, répétitif, des femmes de chambre, pour restituer l’exigence harassante d’un métier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Porté par un texte vigoureux d’une extrême justesse, le jeu plein de vie de Laure Calamy représente incontestablement le maillon fort du film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film sociétal qui épuise le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Elle
Laure Calamy insuffle une énergie folle à ce très beau film réaliste et social, prenant comme un thriller.
Marianne
Dans « À plein temps », du cinéaste Éric Gravel, un des meilleurs films du moment, Laure Calamy incarne, avec une énergie saisissante, une femme précarisée qui lutte pour ne pas sombrer. Un nouveau rôle majeur pour une comédienne qui aime d’abord surprendre – et dont la cote grimpe en flèche.
Voici
Laure Calamy incarne à merveille ce rôle de femme forte, fragile et touchante.
20 Minutes
Laure Calamy est exceptionnelle dans « A plein temps » d'Eric Gravel. Son rôle de femme qui élève seule ses enfants à la campagne tout en composant avec son travail dans un palace parisien force une fois de plus l'admiration.
CinemaTeaser
Un grand film social.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Après Antoinette dans les Cévennes , Laure Calamy continue avec brio de tenir des films sur ses épaules. Son personnage de Julie, constamment au bord du précipice et tenant bon par une foi quasiment religieuse dans de meilleurs lendemains, reste longtemps en mémoire.
Femme Actuelle
Tendue mais digne, Laure Calamy offre avec ce rôle une visibilité bienvenue à toutes les femmes qui se battent au quotidien.
Franceinfo Culture
Très beau, très juste dans son propos, son interprétation et sa mise en scène, A plein temps rejoint une série de films socio-politiques récents passionnants, comme Les Promesses ou Goliath. Immersif.
L'Obs
Mais en endossant avec fébrilité le stress, les lâchetés, les mensonges de Julie, Laure Calamy prouve une fois de plus tout son tempérament.
La Croix
Un film coup de poing, bien plus éloquent et convaincant que bien des discours.
La Voix du Nord
Éric Gravel signe un portrait de femme combattante et solide.
Le Dauphiné Libéré
Pourtant, le film ne donne jamais de leçon, de grandes tirades. Il préfère l’action, l’empilement de soucis pour Julie, le tout avec un rythme intense et quasiment non-stop, soutenu par une musique électronique marquante (signée Irène Drésel), ce qui donne au film des airs de thriller.
Le Journal du Dimanche
Un film cahotant et immersif conçu avec une précision horlogère.
Le Monde
Un film à la grande ambition formelle qui fait surgir la solitude d'une battante.
Le Parisien
Paradoxalement, dans ce long métrage à cent à l’heure, il ne se passe pas grand-chose. Le scénario, ténu, nous laisse donc un peu sur notre faim. Malgré cela, « À plein temps » livre une chronique édifiante du combat quotidien de millions de femmes.
Les Echos
Eric Gravel met en scène une héroïne solitaire qui s'épuise entre son travail et l'éducation de ses deux enfants en bas âge. Un film fort et réaliste incarné par Laure Calamy, une nouvelle fois impressionnante.
Les Fiches du Cinéma
Par-delà l’exercice de tension et de suspense, Éric Gravel signe un drame social passionnant, malgré une fin fragilisant sa justesse.
Les Inrockuptibles
Film social ? Certes. Mais pas seulement. Un joli film très bien composé avec une Laure Calamy une fois de plus extraordinaire.
Marie Claire
Audacieux et trépidant.
Ouest France
Une Laure Calamy admirable de vérité.
Positif
Comment se rendre à son travail était déjà le sujet du premier long métrage d’Éric Gravel, Crash Test Aglaé, où trois ouvrières partaient sur les routes, dans une caisse pourrie, pour conserver leur emploi au sein de leur usine délocalisée en Inde. À l’aventure subie, mais stimulante, de l’exotisme succède, avec À plein temps, la description d’une société mondialisée pressée, concurrentielle et bruyante.
Première
Multi-primé à la Mostra 2021, ce sommet de film social offre aussi à une Laure Calamy, géniale de bout en bout, un rôle loin de ses emplois post Dix pour cent.
Sud Ouest
De la simple mais épouvantable expérience de Julie, Eric Gravel fait un de ces modèles cauchemardesques auxquels le monde moderne nous condamne d’une manière ou d’une autre.
Transfuge
Gravel montre ainsi la complexité et l’interdépendance des multiples rouages qui font (dys)fonctionner la société, loin de tout simplisme militant.
Télé 7 Jours
Éric Gravel maintient le suspense jusqu’au bout de cette course contre la montre, et offre le portrait d’une « guerrière » moderne, inspiré par nos rythmes de vie effrénés.
Télé Loisirs
Sans fard, ce portrait sous tension d'une mère célibataire combative prend aux tripes et dévoile une Laure Calamy exceptionnelle.
Télérama
Soutenu par la musique électro d’Irène Drésel, le réalisateur Éric Gravel réussit un travail d’orfèvre : il s’attache à chaque geste, répétitif, des femmes de chambre, pour restituer l’exigence harassante d’un métier.
aVoir-aLire.com
Porté par un texte vigoureux d’une extrême justesse, le jeu plein de vie de Laure Calamy représente incontestablement le maillon fort du film.
Le Figaro
Un film sociétal qui épuise le spectateur.