AlloCiné
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Votre avis sur Violent Night ?
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Vraiment pas convaincu par ce film qui n'est autres qu'une comédie vulgaire horrifique moyenne! ! Autant du vulgaire qui sortent des adultes comme deadpool ça passe mais quand il y a des gosse c'est moyen moyen... Des méchants aussi incredible les uns que les autres ! Autant regarder un bon film d'horreur si vous voulez de l'horreur, et si vous voulez du Noël regardé donc un bon vieux maman j'ai raté l'avion. Évitez de faire regarder ça aux enfants il y a assez de débilité sur les réseaux sociaux...
Absolument génial. Une vraie surprise et ca décape fort là où il faut en réunissant tous les genres du film de Noël
Redzing
La meilleure chose dans « Violent Night », c’est très certainement son idée de départ. Imaginer que le Père Noël se retrouve coincé, la nuit de Noël, dans une prise d’otages au sein d’une demeure de luxe. Notre bonhomme utilisera ses pouvoirs magiques et ses techniques de combats ancestrales pour venir à bout de mercenaires armés jusqu’aux dents, et sauver une petite fille innocente et espiègle.
Vous l’aurez compris, le film référence à pleins tubes les classiques de Noël « Home Alone » et « Die Hard », ainsi que « Die Hard 2 ». Jusqu’à embaucher John Leguizamo en méchant ! Tandis que la BO bazaresque mélange des musiques qui font écho aux pistes de ces films.
Le souci étant que « Violent Night » tient davantage du plagiat que de la parodie. Beaucoup d’éléments seront très grossièrement repris, sans grand effort de détournement. Et non messieurs, il ne suffit pas qu’un personnage brandisse le Bluray de « Die Hard » ou explique qu’il a revu « Home Alone » pour que cela passe pour une parodie. Ca fait surtout référence à gros sabots.
Alors oui, il y a le côté trash et gore. On le sait, les Américains ont tendance à sacraliser Noël, et produire des téléfilms-guimauves à foison à cette période. « Violent Night » se veut comme un coup de pied dans la fourmilière. Mais d’une part, « Bad Santa » est déjà passé par là 20 ans plus tôt. D’autre part, faire vomir, uriner, ou déblatérer des injures par paquets de douze à ses personnages n’a rien de trash. C’est juste vulgaire et sans imagination.
Néanmoins, tout n’est pas à jeter, loin de là. Entre des acteurs qui cabotinent en méchant de service ou famille infecte, David Harbour est amusant en Père Noël au fond du trou, qui n’a pas dit son dernier mot. Tandis que certains ou affrontements ou mises à mort sont aussi sanglants que sympathiques.
Mais bon, il y avait sûrement beaucoup mieux à faire avec ce concept.
Vous l’aurez compris, le film référence à pleins tubes les classiques de Noël « Home Alone » et « Die Hard », ainsi que « Die Hard 2 ». Jusqu’à embaucher John Leguizamo en méchant ! Tandis que la BO bazaresque mélange des musiques qui font écho aux pistes de ces films.
Le souci étant que « Violent Night » tient davantage du plagiat que de la parodie. Beaucoup d’éléments seront très grossièrement repris, sans grand effort de détournement. Et non messieurs, il ne suffit pas qu’un personnage brandisse le Bluray de « Die Hard » ou explique qu’il a revu « Home Alone » pour que cela passe pour une parodie. Ca fait surtout référence à gros sabots.
Alors oui, il y a le côté trash et gore. On le sait, les Américains ont tendance à sacraliser Noël, et produire des téléfilms-guimauves à foison à cette période. « Violent Night » se veut comme un coup de pied dans la fourmilière. Mais d’une part, « Bad Santa » est déjà passé par là 20 ans plus tôt. D’autre part, faire vomir, uriner, ou déblatérer des injures par paquets de douze à ses personnages n’a rien de trash. C’est juste vulgaire et sans imagination.
Néanmoins, tout n’est pas à jeter, loin de là. Entre des acteurs qui cabotinent en méchant de service ou famille infecte, David Harbour est amusant en Père Noël au fond du trou, qui n’a pas dit son dernier mot. Tandis que certains ou affrontements ou mises à mort sont aussi sanglants que sympathiques.
Mais bon, il y avait sûrement beaucoup mieux à faire avec ce concept.
Roub E.
Prenez Die Hard 2, maman j ai raté l avion, Bad Santa, et miracle sur la 34e rue, secouez très très fort et vous obtenez Violent Night. C est un film d action fun et décomplexé qui s il souffre par moment de la comparaison avec ses inspirations trouve sa voie avec quelques vraies bonnes idées et un côté film de sale gosse qui lui sied à merveille. Dommage que certaines scènes de dialogues s avèrent trop surfaits et donnent l impression de quelques longueurs car le cocktail d action est efficace et jouissif.
Ti Nou
David Harbour joue le Père Noël bourru et dépressif dans un film d’action bête et régressif qui doit beaucoup à la saga "Die Hard". Une série B musclée qui assume son degré de violence. C’est simple, efficace et divertissant.
Un jeu de massacre loufoque et réjouissant malgré quelques longueurs et lourdeurs, avec un très bon David Harbour en Père Noël très remonté !
Une histoire de Noël qui change d'habitude. Assez fou de se dire qu'un film de Noël peut mélanger castagne et magie. Mais ici ça fonctionne plutôt bien.
Nicothrash
Un bon petit thriller fantastique et fantasque mettant aux prises de vilains cambrioleurs et notre bon vieux Santa Claus ! Sanglant, amusant et parfois ingénieux, on passe un bon moment devant Violent Night au gré de l'humour noir de Santa, très bien campé par David Harbour. On a même droit à notre séquence émotion sur le final. Dommage à terme que le tout soit un tantinet longuet. Sinon c'est une bonne pioche.
stallonefan62
Un film de noël très original avec un père noël complétement barré et violent !! De bonnes séquences de violences et de gores pour 1h40 d'honnête divertissement avec des clins d'oeil sympa à Maman j'ai raté l'avion !!
Une nouvelle production David Leitch (Dead Pool, Atomic Blonde, Bullet Train) et on est en terrain connu. De l'humour noir, de l'action, du gore. Je n'ai pas boudé mon plaisir. C'est comme si Piège de cristal avait rencontré Maman j'ai raté l'avion et Bad Santa en gros. Le norvégien Tommy Wirkola avait déjà signé Hansel & Gretel Witch Hunters que j'avais bien aimé et qui était une bonne série B d'action. Il y a bien quelques chutes de rythme mais l'ensemble reste divertissant et pas trop nunuche. L'esprit de Noël reste présent sans être trop pesant contrairement à tous ces téléfilms diffusés sur la Une, M6 et W9 toute la journée. J'en consomme beaucoup trop. Et là, ça fait du bien de voir autre chose.
spoiler:
C'est l'histoire d'un Joh oh ohn Mclane rouge avant même de faire saigner
- Cette critique contient des spoilers -
L'avantage de ne pas avoir vu de trailer et connaitre le sujet du film, de se baser uniquement sur la réception critique : j'ai été surpris, et ravi de découvrir que le Père Noël était vrai !
Cette première scène a probablement contribué à mon indulgence pour la suite car j'ai passé un vrai bon moment.
Violent Night n'est pourtant pas exempt de défauts. Les vulgarités sont légions : Santa vomi et pisse depuis son traineau. Les personnages sont des clichés vivants : le "couple interculturel", la femme minorité visible est forcément une super-héros ingénieure, est une bonne mère, sait se battre et sait tirer à la mitrailette tandis que le quarantenaire blanc fait tout mal ou presque et que la grand-mère riche est un tyran à la tête d'une famille dysfonctionnelle car riche. Seuls les pauvres sont "vrais", c'est bien connu. La gamine et son papa m'ont paru jouer très très mal, heureusement que David Harbour assure. Enfin les bastons finales sont vraiment longuettes et inutiles.
Il n'empêche que j'ai été étonnement pris par certains passage pourtant peu originaux, le Santa en mode "Viking avec Marteau", la neige intérieure... La redite "Home alone" aurait par contre dû comporter moitié moins de gags.
Au final Violent Night est un honnête divertissement qui bénéficie d'une réelle générosité et utilise habilement son pitch de départ casse gueule.
- Cette critique contient des spoilers -
L'avantage de ne pas avoir vu de trailer et connaitre le sujet du film, de se baser uniquement sur la réception critique : j'ai été surpris, et ravi de découvrir que le Père Noël était vrai !
Cette première scène a probablement contribué à mon indulgence pour la suite car j'ai passé un vrai bon moment.
Violent Night n'est pourtant pas exempt de défauts. Les vulgarités sont légions : Santa vomi et pisse depuis son traineau. Les personnages sont des clichés vivants : le "couple interculturel", la femme minorité visible est forcément une super-héros ingénieure, est une bonne mère, sait se battre et sait tirer à la mitrailette tandis que le quarantenaire blanc fait tout mal ou presque et que la grand-mère riche est un tyran à la tête d'une famille dysfonctionnelle car riche. Seuls les pauvres sont "vrais", c'est bien connu. La gamine et son papa m'ont paru jouer très très mal, heureusement que David Harbour assure. Enfin les bastons finales sont vraiment longuettes et inutiles.
Il n'empêche que j'ai été étonnement pris par certains passage pourtant peu originaux, le Santa en mode "Viking avec Marteau", la neige intérieure... La redite "Home alone" aurait par contre dû comporter moitié moins de gags.
Au final Violent Night est un honnête divertissement qui bénéficie d'une réelle générosité et utilise habilement son pitch de départ casse gueule.
2,5/5 Moyen. Franchement, ça ne casse pas des briques... Il y a l'originalité de mettre le père Noël en premier rôle dans un film d'action. Sa personnalité est sympa mais le film est d'emblée absolument pas crédible. Tout ce qui s'en suit est une accumulation d'action sans grande surprise. Même la fin n'a rien de surprenante. C'est sympa mais franchement rien de fou.
Une bonne et insolente surprise.
Et incroyable ! Malgré la violence de cette nuit de Noël avec sa hotte de gore parviennent à se glisser par instants la tendresse, l’amour, rennes et traineau dans le ciel, ingrédients indispensables pour que la magie de Noël opère dans les coeurs des plus grands.
Le metteur en scène, Tommy Wirkola, ne perd pas le (pôle) nord ; il n’offre pas un film d’horreur, il tient à préserver dans ce home intrusion les bons (et sanglants) sentiments liés à Noël.
Et ça fonctionne… sur moi.
Le fait de ne pas connaître une ligne du scénario, la surprise a été d’autant plus grande. Comme à l’image de la serveuse de bar, j’ai été sidéré de voir le vrai Père Noël ! Et avec ce qu’il lui verse après un virage tendu, le ton est donné.
J’ai été gâté. Un père Noël qui fouette le sang !
Jubilatoire.
PS : selon le réalisateur : « Je voulais vraiment que ce soit un film de Noël pour la famille en plus d’un pur divertissement et un film d’action. »…
Qu’appelle-t-il « la famille » ? De qui est-elle composée ?
Et incroyable ! Malgré la violence de cette nuit de Noël avec sa hotte de gore parviennent à se glisser par instants la tendresse, l’amour, rennes et traineau dans le ciel, ingrédients indispensables pour que la magie de Noël opère dans les coeurs des plus grands.
Le metteur en scène, Tommy Wirkola, ne perd pas le (pôle) nord ; il n’offre pas un film d’horreur, il tient à préserver dans ce home intrusion les bons (et sanglants) sentiments liés à Noël.
Et ça fonctionne… sur moi.
Le fait de ne pas connaître une ligne du scénario, la surprise a été d’autant plus grande. Comme à l’image de la serveuse de bar, j’ai été sidéré de voir le vrai Père Noël ! Et avec ce qu’il lui verse après un virage tendu, le ton est donné.
J’ai été gâté. Un père Noël qui fouette le sang !
Jubilatoire.
PS : selon le réalisateur : « Je voulais vraiment que ce soit un film de Noël pour la famille en plus d’un pur divertissement et un film d’action. »…
Qu’appelle-t-il « la famille » ? De qui est-elle composée ?
Ca avait bien commencé, surtout un david Harboud en badass, un vrai père Noël en action sur une réalisation inspirée de Tarantino, mais on est vite vidé par la bêtise de la seconde partie, enrichi comme des films home alone ou die hard, On ne crois plus au père Noël !
N'attendez pas un quelconque scénario, ni même des personnages approfondis. Ici, ce qui compte, c'est la castagne et l'hémoglobine. Et de côté-là, on est servi avec Violent Night! En s'inspirant de blockbusters des années 90, le réalisateur nous propose un amoncellement de cadavres avec quelques morts trash et saugrenues. En parallèle, c'est le vide quasi-complet parce que tout sonne creux, et même si le second degré est assumé, ça reste malaisant... Si vous aimez les morceaux de chair qui volent, pourquoi pas, mais sinon, vous pouvez passer votre chemin.
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