Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Tommy Wirkola signe un conte de Noël à l’humour très noir aussi réjouissant que peu conçu pour les petits enfants.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
[Un] ovni délirant et ludique, qui réjouit par sa singularité et son jusqu’au-boutisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Violent Night est un défouloir décomplexé, un divertissement généreux qui pioche dans la longue liste des films de Noël pour en faire un pot pourri aussi sanglant que plein de bons sentiments. Un film qui cache ses lacunes et ses erreurs derrière un énorme cadeau bien emballé. Un cadeau dont on a envie d’apprécier davantage le geste que la valeur, la magie de Noël sans doute.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Mélanger le film traditionnel de Noël avec « Piège de cristal », et une pointe de gore, c’est la recette risquée, mais réussie, que tente Tommy Wirkola, réalisateur de « Seven Sisters », gros succès de 2017.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par François Cau
Si Violent Night ne sauvera pas le cinéma de genre à lui seul, il lui rappelle la force qu'il peut tirer de la saleté et du mauvais esprit.
Télé 2 semaines
par S.O.
Violent, gentiment sanglant et surtout très amusant.
Filmsactu
par La Rédaction
En résumé bien qu'en dessous de Nobody, qui partage les mêmes producteurs, Violent Night saura satisfaire les amateurs de série B musclée et un peu fofolle.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Partant d’un postulat qu’on va dire casse-gueule au possible, Tommy Virkola, excellent artisan capable de se sortir de n’importe quel projet, transforme en série B de luxe ce qui aurait pu sombrer dans le n’importe quoi
Le Figaro
par Simon Cherner
John Leguizamo régale encore davantage en chef de bande hanté par le fantôme d’un Noël tragique. Parce qu’il faut néanmoins préserver l’esprit des fêtes, la magie de Noël prend un sens littéral dans ce film pimenté d’une pointe de fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce film de Noël, mâtiné de provocation bon enfant et d’hémoglobine pour de rire, divertit gentiment tout en reconduisant les clichés habituels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Au-delà d’une ou deux scènes de baston assez sympa et d’un David Harbour qui prend joyeusement son pied, Violent Night rate son mélange impossible entre niaiserie familiale et série B timidement gore.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Frédéric Strauss
Mais le cadeau est bien mal emballé : jamais aussi mordante que l’humour du scénario voudrait l’être, la réalisation fait retomber le soufflé de la parodie et les scènes d’action ont vraiment la gueule de bois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par N. S.
Entre ultraviolence de jeu vidéo et mièvrerie contractuelle, on ne sait si le film s’adresse à des enfants psychopathes ou à des adultes décérébrés. Peu surprenant de la part du réalisateur de « Dead Snow », où des zombies nazis faisaient du ski, plus venant de la firme Universal. Le divertissement hollywoodien ne va vraiment pas bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
La mayonnaise ici ne prend pas. Le surnaturel avoué constituant un contresens total et une facilité proprement rédhibitoire. Ce dont avaient peut-être conscience les acteurs, tant ceux-ci semblent tenir leurs rôles sans conviction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Tommy Wirkola signe un conte de Noël à l’humour très noir aussi réjouissant que peu conçu pour les petits enfants.
Le Journal du Dimanche
[Un] ovni délirant et ludique, qui réjouit par sa singularité et son jusqu’au-boutisme.
Le Journal du Geek
Violent Night est un défouloir décomplexé, un divertissement généreux qui pioche dans la longue liste des films de Noël pour en faire un pot pourri aussi sanglant que plein de bons sentiments. Un film qui cache ses lacunes et ses erreurs derrière un énorme cadeau bien emballé. Un cadeau dont on a envie d’apprécier davantage le geste que la valeur, la magie de Noël sans doute.
Le Parisien
Mélanger le film traditionnel de Noël avec « Piège de cristal », et une pointe de gore, c’est la recette risquée, mais réussie, que tente Tommy Wirkola, réalisateur de « Seven Sisters », gros succès de 2017.
Mad Movies
Si Violent Night ne sauvera pas le cinéma de genre à lui seul, il lui rappelle la force qu'il peut tirer de la saleté et du mauvais esprit.
Télé 2 semaines
Violent, gentiment sanglant et surtout très amusant.
Filmsactu
En résumé bien qu'en dessous de Nobody, qui partage les mêmes producteurs, Violent Night saura satisfaire les amateurs de série B musclée et un peu fofolle.
L'Ecran Fantastique
Partant d’un postulat qu’on va dire casse-gueule au possible, Tommy Virkola, excellent artisan capable de se sortir de n’importe quel projet, transforme en série B de luxe ce qui aurait pu sombrer dans le n’importe quoi
Le Figaro
John Leguizamo régale encore davantage en chef de bande hanté par le fantôme d’un Noël tragique. Parce qu’il faut néanmoins préserver l’esprit des fêtes, la magie de Noël prend un sens littéral dans ce film pimenté d’une pointe de fantastique.
Les Fiches du Cinéma
Ce film de Noël, mâtiné de provocation bon enfant et d’hémoglobine pour de rire, divertit gentiment tout en reconduisant les clichés habituels.
Ecran Large
Au-delà d’une ou deux scènes de baston assez sympa et d’un David Harbour qui prend joyeusement son pied, Violent Night rate son mélange impossible entre niaiserie familiale et série B timidement gore.
Télérama
Mais le cadeau est bien mal emballé : jamais aussi mordante que l’humour du scénario voudrait l’être, la réalisation fait retomber le soufflé de la parodie et les scènes d’action ont vraiment la gueule de bois.
L'Obs
Entre ultraviolence de jeu vidéo et mièvrerie contractuelle, on ne sait si le film s’adresse à des enfants psychopathes ou à des adultes décérébrés. Peu surprenant de la part du réalisateur de « Dead Snow », où des zombies nazis faisaient du ski, plus venant de la firme Universal. Le divertissement hollywoodien ne va vraiment pas bien.
Le Monde
La mayonnaise ici ne prend pas. Le surnaturel avoué constituant un contresens total et une facilité proprement rédhibitoire. Ce dont avaient peut-être conscience les acteurs, tant ceux-ci semblent tenir leurs rôles sans conviction.