AlloCiné
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Votre avis sur The Last Son ?
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Le seul moment que j'ai apprécié dans ce film, c'est le bruit du vent.
Bruit qui m'aurait suffi amplement vu ce raté intersidéral qui nous est proposé.
Dans ce western où tout n'a ni queue, ni tête, on nous présente un tueur d'Indien qui doit tuer tous ces fils pour lever une malédiction puis ensuite une prophétie. Oui, ne cherchez pas à comprendre. Cependant, un de ses fils, visiblement le dernier sur son chemin, va tenter de tuer son père. Vengeance familiale, destinée, karma. Tout t'y est et c'est super sympa.
Tellement sympa, qu'on se fout du propos tellement le film est moche, tant il est cadré avec les pieds et qu'il est joué par des acteurs qui ont appris à jouer la veille du tournage. Ce film est mal rythmé, mal monté, mal mixé (Pourquoi la bande-son est trop forte ? Pourquoi vous la baissée quand un personnage parle ? Pourquoi vous n'avez pas fait ça proprement ?)
Ce film est fait sans effort, il n'y a aucune motivation et il est fait par des gens qui ne savent pas faire un film correctement. Passez votre chemin. Le vrai cinéma vous attend.
Bruit qui m'aurait suffi amplement vu ce raté intersidéral qui nous est proposé.
Dans ce western où tout n'a ni queue, ni tête, on nous présente un tueur d'Indien qui doit tuer tous ces fils pour lever une malédiction puis ensuite une prophétie. Oui, ne cherchez pas à comprendre. Cependant, un de ses fils, visiblement le dernier sur son chemin, va tenter de tuer son père. Vengeance familiale, destinée, karma. Tout t'y est et c'est super sympa.
Tellement sympa, qu'on se fout du propos tellement le film est moche, tant il est cadré avec les pieds et qu'il est joué par des acteurs qui ont appris à jouer la veille du tournage. Ce film est mal rythmé, mal monté, mal mixé (Pourquoi la bande-son est trop forte ? Pourquoi vous la baissée quand un personnage parle ? Pourquoi vous n'avez pas fait ça proprement ?)
Ce film est fait sans effort, il n'y a aucune motivation et il est fait par des gens qui ne savent pas faire un film correctement. Passez votre chemin. Le vrai cinéma vous attend.
Guillaume
Une multiplication de clichés, amplifiée par une bande-sonore particulièrement lourde, vous plonge dans un chaos cinématographique dans les plaines arides mais néanmoins bien filmées de l'ouest américain. Seul élément à garder en bon esprit.
FaRem
Isaac LeMay, un hors-la-loi, a été prévenu par un amérindien que selon une prophétie il sera tué par l'un de ses enfants. N'étant pas du genre à être passif, il part à la recherche de son potentiel assassin qui pourrait être n'importe qui, car il a côtoyé de nombreuses femmes. On dit que les chiens ne font pas des chats et on va le remarquer ici. Il n'y a aucun suspens dans le film de Tim Sutton qui est comme un long voyage ennuyeux au cours duquel il ne se passe rien. Quelques scènes de violence gratuite ici et là, mais rien de très palpitant. "The Last Son" est un western à l'ancienne, oui, mais c'est surtout un film qui représente le néant absolu avec un scénario inexistant et des longueurs que l'on ne compte même plus. Il y a quelques jolis plans et ce n'est pas si mal filmé, mais ça renforce encore plus la passivité du récit qui manque de tension, de friction, de conflit. En somme, c'est vraiment un film ennuyeux, plus que mauvais d'ailleurs.
Western un peu lent ... qui n offre pas une perspective originale dans le genre. Les paysages, dialogues et rythmes ne sont pas de nature à dynamiser cette réalisation qui finit par être très ennuyeuse... d autant que le scénario reste assez basique car proche du synopsis... on peut oublier sur ce film.
Audrey L
La chasse aux fistons est ouverte... On lui prophétise que son fils le tuera, alors ce vieil homme sans cœur part à la recherche de ses rejetons pour les mettre hors état de nuire, sans une once de compassion pour sa marmaille innocente... The Last Son est un western violent et bien filmé, avec un jeune acteur intriguant (ledit dernier fils), dont l'histoire se suit facilement, mais plombé par la prévisibilité de sa fin, un découpage en chapitres assez inutile (on ne voit pas bien ce que cela apporte, pire, les titres spoilent les scènes contenues dans le chapitre...), et des scènes un peu cliché (les tirs après un silence, puis grosse musique...). On est également peu convaincu par le personnage principal qui est ultra-antipathique, en n'ayant jamais aucune émotion ni compassion, à la limite du robot, et n'ayant aucune évolution tout du long de son épopée meurtrière. Dommage, car non seulement on se moque de son sort (on en vient à espérer à chaque fois que le prochain fils le dégomme, tant il nous semble le mériter), mais on a l'impression de terminer le film comme on l'a commencé, sans trop de surprise (on a compris le twist final dès l'évocation de la prophétie... Il ne fallait pas être bien malin pour le deviner) ni de changement dans les personnages. Néanmoins, un western efficace pour ce qui est de tirer à tout va.
Western moderne qui ne se regarde pas sans déplaisir même s'il y a quelques problèmes de narration (montage un peu brutal ?). Le pitch pour un western est original (un père qui doit tuer tous tes enfants) mais on reste uniquement dans un film de gunfights alors qu'on aurait certainement pu faire quelque chose de plus profond, plus psychologique.
Film décousu et psychédélique. La fin, dans la neige, fait clairement un clin d'œil à "John McCabe" et "le Grand Silence".
Sans être parfait, il y a de très beau plans et un regard de cinéaste.
Sans être parfait, il y a de très beau plans et un regard de cinéaste.
J'ai passé un bon moment sur un scénario original une bande son ténébreuse et un cadrage intéressant
Bien sûr tous les codes du western sont la
Bref belle découverte
Bien sûr tous les codes du western sont la
Bref belle découverte
Cinememories
Le western est dorénavant une relique du genre nostalgique, mais parfois, il arrive qu’on y déniche quelques prouesses. Malheureusement, celui de Tim Sutton (Dark Night, Donnybrook, Funny Face) n’en fait pas parti. Sur un scénario de Greg Johnson, les deux hommes tentent de reproduire cette pyramide de la violence, si chère au genre, qu’il en deviendrait quasiment incontournable. En épousant pleinement le visuel soigné du décor montagneux, boueux et miséricordieux, on y retrouve un concentré de clichés qui ne rendent pas hommage au genre justement. L’ensemble du récit capitalise sur l’unique prophétie de mort, qui frappe un homme dont la seule motivation reste alors d’en finir avec sa progéniture.
Le cinéaste tenait dans sa main une arme, qu’il décharge dans son premier quart d’heure, car l’ensemble converge sur l’aboutissement ou non de la malédiction d’Isaac LeMay (Sam Worthington). Cet homme sans attache, revient alors vers des racines qu’il a laissé pourrir dans la souffrance. À présent porteur d’une faucheuse endiablée, il sème la désolation sur son passage, mais il reste humain après tout, il peut aussi saigner. De l’autre côté, Cal (Machine Gun Kelly) est l’un de ses enfants perdus, qui est également synonyme de malheur dans le milieu du crime, à son modeste petit échelle. Ces deux-là vont inévitablement se croiser, mais le sentier sera long et parsemé d’obstacles à en perdre de l’intensité et de l’efficacité. La tragédie qui les entoure est une belle fable qu’il ne convient pas d’édulcorer avec une pincée de poudre, mais bien avec une machine gun dans les mains du fils (trouvez la subtilité), mais là encore, on loupe la cible de très loin.
Si tout cela semble aussi prévisible que possible, c’est sans doute que le réalisateur souhaite diriger notre regard ailleurs. Mais où ? Le paysage donne droit à des séquences saisissantes, mais cette nature, cette terre hostile n’existe pas assez pour que l’on puisse la caractériser. Ce ne sont que des notions de lieu, qui se perdent dans le montage et un jeu de non-dit, que les comédiens tentent de transposer. Les actions vaudront plus que des mots, car le dernier soupir sera sans doute la plus caractéristique d’un personnage, de sa détermination et de ses véritables peurs. Ici, nous avons Anna (Heather Graham), la mère de Cal et une prostituée au grand cœur. Si son écriture est en décalage de l’époque, on se tournera vers le mystérieux Shérif Solomon (Thomas Jane), dont la présence trouble par la simple méconnaissance du bonhomme. Sert-il la justice ou des intérêts plus primaires ? Le film joue sur l’inattendu, qui n’arrive pas à contenir ce surplus de déjà-vu et donc une intrigue qui ne décolle jamais.
À l’image de son chapitrage inutile, car le contexte est réexpliqué dans les minutes qui suivent, « The Last Son » ne cesse de se justifier, faisant ainsi perdre cette aura particulière du suspense. Et pour l’action, on passera par quelques embuscades réussites, mais dont les scènes de fusillade sont complètement illisibles, notamment sur le dénouement. Tout cela pour affirmer que si le sujet se penche sur la perte de l’innocence par la violence, Sutton manque de nous l’illustrer avec une rigueur plus constante et plus incisive.
Le cinéaste tenait dans sa main une arme, qu’il décharge dans son premier quart d’heure, car l’ensemble converge sur l’aboutissement ou non de la malédiction d’Isaac LeMay (Sam Worthington). Cet homme sans attache, revient alors vers des racines qu’il a laissé pourrir dans la souffrance. À présent porteur d’une faucheuse endiablée, il sème la désolation sur son passage, mais il reste humain après tout, il peut aussi saigner. De l’autre côté, Cal (Machine Gun Kelly) est l’un de ses enfants perdus, qui est également synonyme de malheur dans le milieu du crime, à son modeste petit échelle. Ces deux-là vont inévitablement se croiser, mais le sentier sera long et parsemé d’obstacles à en perdre de l’intensité et de l’efficacité. La tragédie qui les entoure est une belle fable qu’il ne convient pas d’édulcorer avec une pincée de poudre, mais bien avec une machine gun dans les mains du fils (trouvez la subtilité), mais là encore, on loupe la cible de très loin.
Si tout cela semble aussi prévisible que possible, c’est sans doute que le réalisateur souhaite diriger notre regard ailleurs. Mais où ? Le paysage donne droit à des séquences saisissantes, mais cette nature, cette terre hostile n’existe pas assez pour que l’on puisse la caractériser. Ce ne sont que des notions de lieu, qui se perdent dans le montage et un jeu de non-dit, que les comédiens tentent de transposer. Les actions vaudront plus que des mots, car le dernier soupir sera sans doute la plus caractéristique d’un personnage, de sa détermination et de ses véritables peurs. Ici, nous avons Anna (Heather Graham), la mère de Cal et une prostituée au grand cœur. Si son écriture est en décalage de l’époque, on se tournera vers le mystérieux Shérif Solomon (Thomas Jane), dont la présence trouble par la simple méconnaissance du bonhomme. Sert-il la justice ou des intérêts plus primaires ? Le film joue sur l’inattendu, qui n’arrive pas à contenir ce surplus de déjà-vu et donc une intrigue qui ne décolle jamais.
À l’image de son chapitrage inutile, car le contexte est réexpliqué dans les minutes qui suivent, « The Last Son » ne cesse de se justifier, faisant ainsi perdre cette aura particulière du suspense. Et pour l’action, on passera par quelques embuscades réussites, mais dont les scènes de fusillade sont complètement illisibles, notamment sur le dénouement. Tout cela pour affirmer que si le sujet se penche sur la perte de l’innocence par la violence, Sutton manque de nous l’illustrer avec une rigueur plus constante et plus incisive.
Western nouvelle vague si on se réfère à d'autres du genre BRIMSTONE et NEVER GROW OLD, films violents, noirs crépusculaires, odyssées immersives au fond de l'âme humaine, en utilisant un minumum d'artifices et où les personnages portent moins de clichés que les westerns plus classiques, y compris les plus récents, pleins de bons sentiments et de gnangnantise insupportable. Il est sur que ce style de film est rugueux, apre, parfois révulsif pour le grand public. Personnellement, je trouve que nous sommes aux antipodes des westerns avec Kevin Costner, avec les héros positifs et le happy end de service et obligatoire. Ce créneau westernien réclame des acteurs qui soient tout sanf bankables mais néanmoins suceptibles d'être à la hauteur; ce qui est le cas ici.
TTNOUGAT
Ce western moderne était précédé nombreuses critiques assez flatteuses. Renouvellement du genre?Reprise du western usa ou italien ? Rien de tout cela et beaucoup de déceptions. Le scénario est inexistant comme la mise en scène, les acteurs ne peuvent mettre leurs talents en évidence tant les personnages sont monolithiques et ternes. Même le thème principal la violence est raté. Une seule très bonne surprises, la photographie exceptionnelle avec des éclairages naturels teintés d'artifices vraiment superbes. C'est incroyable de trouver autant de belles images dans un tel film. Un simple diaporama muet aurait mérité 5 étoiles.
Un film un peu décousu mais d'une belle noirceur. Les personnages sont charismatiques et les scènes d'action bien fichues. Mais par-dessus tout, les décors sont grandioses et joliment filmés.
Effectivement, beaucoup de clichés dans ce film, mais le genre western est aussi connu et apprécié pour ça, en général. Ici j'ai aimé les décors, la reconstitution de l'époque, la mise en scène. Ce qui m'a déplu c'est en fait l'histoire, décousue, peu captivante, et le film souffre de grosses longueurs, qui font que ça s'éternise inutilement sur la fin. Dommage.
NammJones
Un western longuet sans grand intérêt. Il faut vraiment suivre pour comprendre les intentions des personnages et leur lien. On a des paysages sans surprises, on connaît les lieux, rien de nouveau
Un western enneigé, crépusculaire pas facile à apprécier, sous forme de malédiction du malin, un père tue ses fils, mais il en reste qu'un, violent et fou, il sera le dernier. Ça durée est aussi court que le potentiel de ce fim, qui malgré son côté sombre, ne convaint pas. Un western facilement oubliable.
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