Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Point
par Florence Colombani
Voici donc l’accomplissement de ce programme, ce magnifique Les Amants sacrifiés, justement récompensé par un Lion d’argent à la Mostra de Venise.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Voici
par La Rédaction
Un jeu de manipulations, dangereux, sur fond de tensions internationales. On adore !
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est aussi un film d’espionnage au cœur de la Seconde Guerre mondiale avec une atmosphère et des rebondissements qui rappellent les meilleurs films d’Hitchcock.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
La force du personnage de Satoko tient à sa façon de ne jamais totalement accepter le sacrifice des sentiments au nom de la politique (…). Son unique crainte face au danger est d’être séparée de Yusaku et, plus que dans la dramaturgie du soupçon, le récit trouve sa tonalité affective propre dans les instants où les époux découvrent dans le partage du risque une nouvelle proximité (...)
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une valse des émotions en forme de grande tragédie intemporelle.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Grâce à sa dimension ludique, la mise en scène de Kiyoshi Kurosawa renforce l'ambivalence d'un scénario retors cosigné par Ryūsuke Hamaguchi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
La beauté admirable de l’image (en 8K) sert bien le récit, dont l’intensité monte peu à peu jusqu’à la fin. Puissant !
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une intrigue menée de main de maître par Kurosawa, réputé pour son goût pour le fantastique, qu’il délaisse avec cette fiction labyrinthique, faite de trahisons et de faux-semblants, à laquelle il insuffle sa touche personnelle, au lyrisme sec et sombre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Kurosawa filme un mariage à l’ère du soupçon. Il y a quelque chose de Modiano dans la façon de brouiller les lignes, de mettre en scène les faux-semblants, de rendre opaque les actes des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les Amants sacrifiés conjugue poétiquement le motif de la trahison politique avec celui du lien conjugal, de l'histoire en marche avec celui des sentiments les plus secrets.
Le Parisien
par La Rédaction
Un peu long par moments, réalisé de façon un poil trop classique, « Les Amants sacrifiés » dégage néanmoins un charme suranné en développant une histoire romantique dans le cadre d’un morceau d’histoire du Japon peu évoqué jusqu’ici au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Film historique d’une grande élégance, Les Amants sacrifiés conjugue le talent de dialoguiste de Ryûsuke Hamaguchi à la mise en scène de Kiyoshi Kurosawa. Brillant dans son écriture, il présente deux beaux personnages au destin contrarié par la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
On sent, dès les premiers plans, que le dernier Kiyoshi Kurosawa va être un film troublant. Un film où la mise en scène, légèrement distante, presque classique, imprime au récit une sécheresse bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
Ce scénario somptueux, on le doit ainsi à Ryusuke Hamaguchi, le réalisateur du non moins somptueux Drive My Car, dont Kiyoshi Kurosawa fut le professeur. Et ce dernier, grand habitué du cinéma fantastique (Cure, Kaïro…) réussit sa toute première incursion dans le suspense hitchcockien.
Paris Match
par Yannick Vely
Car si le film bénéficie d'un scénario aussi complexe que la période qu'il examine - la Seconde guerre mondiale au Japon -, il est avant tout une leçon de mise de scène, justement récompensée comme telle au Festival de Venise 2020.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
"Les Amants sacrifiés" est aussi brillamment écrit par Ryusuke Hamaguchi, le jeune réalisateur de "Drive My Car", que remarquablement dirigé.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Peu à peu, les enjeux apparaissent et se floutent aussitôt. Intrigant jeu de piste où les indices se brouillent tout en s’accumulant.
Transfuge
par Séverine Danflous
Les ambiguïtés de l’humain et la crise imminente sont au cœur de ce film intriguant.
Télérama
par Louis Guichard
La singularité du film, à la fois cruel et lyrique, consiste à appréhender le conflit mondial depuis ce seul théâtre conjugal, où l’amour et l’idéalisme entrent en concurrence frontale, et où un être familier se change en énigme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Didier Péron
Ce n’est certes pas le film le plus emballant de Kurosawa, on le sent parfois comme étranger aux intentions ou à la psychologie de ses personnages, guidés par un scénario qu’il illustre plus qu’il ne l’investit. La force du récit, ses coups de théâtre dans un climat de perdition, est portée par le duo d’acteurs principaux [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
La mécanique, implacable, n’étouffe pour autant jamais l’émotion. Il y a du Hitchcock dans ce Kurosawa- là.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Premier film d’époque de Kiyoshi Kurosawa, Les amants sacrifiés n’en est pas moins intense et s’ingénie à dérouler une mécanique implacable qui saisira le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène austère et théâtrale ne laisse jamais filtrer la moindre émotion. Le récit au rythme lent s'avère hermétique même s'il retranscrit à merveille l'atmosphère paranoïaque et confuse qui régnait alors.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
Voici donc l’accomplissement de ce programme, ce magnifique Les Amants sacrifiés, justement récompensé par un Lion d’argent à la Mostra de Venise.
Voici
Un jeu de manipulations, dangereux, sur fond de tensions internationales. On adore !
20 Minutes
C’est aussi un film d’espionnage au cœur de la Seconde Guerre mondiale avec une atmosphère et des rebondissements qui rappellent les meilleurs films d’Hitchcock.
Cahiers du Cinéma
La force du personnage de Satoko tient à sa façon de ne jamais totalement accepter le sacrifice des sentiments au nom de la politique (…). Son unique crainte face au danger est d’être séparée de Yusaku et, plus que dans la dramaturgie du soupçon, le récit trouve sa tonalité affective propre dans les instants où les époux découvrent dans le partage du risque une nouvelle proximité (...)
CinemaTeaser
Une valse des émotions en forme de grande tragédie intemporelle.
Critikat.com
Grâce à sa dimension ludique, la mise en scène de Kiyoshi Kurosawa renforce l'ambivalence d'un scénario retors cosigné par Ryūsuke Hamaguchi.
Femme Actuelle
La beauté admirable de l’image (en 8K) sert bien le récit, dont l’intensité monte peu à peu jusqu’à la fin. Puissant !
L'Obs
Une intrigue menée de main de maître par Kurosawa, réputé pour son goût pour le fantastique, qu’il délaisse avec cette fiction labyrinthique, faite de trahisons et de faux-semblants, à laquelle il insuffle sa touche personnelle, au lyrisme sec et sombre.
Le Figaro
Kurosawa filme un mariage à l’ère du soupçon. Il y a quelque chose de Modiano dans la façon de brouiller les lignes, de mettre en scène les faux-semblants, de rendre opaque les actes des protagonistes.
Le Monde
Les Amants sacrifiés conjugue poétiquement le motif de la trahison politique avec celui du lien conjugal, de l'histoire en marche avec celui des sentiments les plus secrets.
Le Parisien
Un peu long par moments, réalisé de façon un poil trop classique, « Les Amants sacrifiés » dégage néanmoins un charme suranné en développant une histoire romantique dans le cadre d’un morceau d’histoire du Japon peu évoqué jusqu’ici au cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Film historique d’une grande élégance, Les Amants sacrifiés conjugue le talent de dialoguiste de Ryûsuke Hamaguchi à la mise en scène de Kiyoshi Kurosawa. Brillant dans son écriture, il présente deux beaux personnages au destin contrarié par la guerre.
Les Inrockuptibles
On sent, dès les premiers plans, que le dernier Kiyoshi Kurosawa va être un film troublant. Un film où la mise en scène, légèrement distante, presque classique, imprime au récit une sécheresse bienvenue.
Ouest France
Ce scénario somptueux, on le doit ainsi à Ryusuke Hamaguchi, le réalisateur du non moins somptueux Drive My Car, dont Kiyoshi Kurosawa fut le professeur. Et ce dernier, grand habitué du cinéma fantastique (Cure, Kaïro…) réussit sa toute première incursion dans le suspense hitchcockien.
Paris Match
Car si le film bénéficie d'un scénario aussi complexe que la période qu'il examine - la Seconde guerre mondiale au Japon -, il est avant tout une leçon de mise de scène, justement récompensée comme telle au Festival de Venise 2020.
Positif
"Les Amants sacrifiés" est aussi brillamment écrit par Ryusuke Hamaguchi, le jeune réalisateur de "Drive My Car", que remarquablement dirigé.
Sud Ouest
Peu à peu, les enjeux apparaissent et se floutent aussitôt. Intrigant jeu de piste où les indices se brouillent tout en s’accumulant.
Transfuge
Les ambiguïtés de l’humain et la crise imminente sont au cœur de ce film intriguant.
Télérama
La singularité du film, à la fois cruel et lyrique, consiste à appréhender le conflit mondial depuis ce seul théâtre conjugal, où l’amour et l’idéalisme entrent en concurrence frontale, et où un être familier se change en énigme.
Libération
Ce n’est certes pas le film le plus emballant de Kurosawa, on le sent parfois comme étranger aux intentions ou à la psychologie de ses personnages, guidés par un scénario qu’il illustre plus qu’il ne l’investit. La force du récit, ses coups de théâtre dans un climat de perdition, est portée par le duo d’acteurs principaux [...].
Première
La mécanique, implacable, n’étouffe pour autant jamais l’émotion. Il y a du Hitchcock dans ce Kurosawa- là.
aVoir-aLire.com
Premier film d’époque de Kiyoshi Kurosawa, Les amants sacrifiés n’en est pas moins intense et s’ingénie à dérouler une mécanique implacable qui saisira le spectateur.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène austère et théâtrale ne laisse jamais filtrer la moindre émotion. Le récit au rythme lent s'avère hermétique même s'il retranscrit à merveille l'atmosphère paranoïaque et confuse qui régnait alors.