Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un coup de soleil qu'on ne sent pas venir.
Ecran Large
par Pauline Knaff
Sur une île qui aurait tout d'un pur paradis, c'est finalement l'angoisse, le doute et une atmosphère pesante - le tout parfaitement quantifié par une Maggie Gyllenhaal en pleine maîtrise de son sujet - qui prennent le dessus. The Lost Daughter est un drame psychologique qui bouscule sans faute les codes de la maternité, nous offrant une Olivia Colman toujours impeccable et une Dakota Johnson épatante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Porté par la "queen" Olivia Colman, ce film coup de poing traite d'un sujet tabou : l'abandon de ses enfants par une mère qui préfère vivre sa vie.
L'Humanité
par Emilio Meslet
Un premier film d’une remarquable maîtrise, tant formelle que narrative.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Constance Jamet
Vibrant et oppressant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La rédaction
Pas un film divertissant, mais qui bouscule intelligemment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Gyllenhaal fait le tour du mystère, cherchant moins à en comprendre le désordre qu’à lui donner légitimité, une voix. Elle dresse le portrait incommode d’une femme assaillie par son ombre, ces éclats démultipliés d’elle-même qu’elle épie dans chaque femme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
On pourrait dire qu’il s’agit d’un film sur la difficulté d’être mère, d’être femme, d’être femme et mère. Un tel résumé ne serait pas faux. Il ne rendrait pas justice à une œuvre qui n’a rien du film-dossier, mais nous donne à voir la complexité d’un être par des moyens proprement cinématographiques et en faisant surgir une certaine étrangeté.
Première
par Gaël Golhen
Si Lost Daughter est le récit d’un empowerment féminin, c’est surtout l’affirmation d’une voix singulière, celle de la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Pour son premier film derrière la caméra, l’héroïne de la série “The Deuce” réussit l’adaptation d’un roman méconnu d’Elena Ferrante. Et offre à la comédienne de “The Crown”, toujours royale, un magnifique rôle de femme en pleine crise existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
La direction d’actrices est pour beaucoup dans les émotions ressenties devant ce premier long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Toute la délicate beauté de The Lost Daughter tient alors dans cette altérité non feinte et la lumière d’un visage qui se dresse malgré tout : faire tache dans le tableau, voilà qui relève d’une question de vie ou de mort.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Pour sa première réalisation, l’actrice Maggie Gyllenhaal, prix du meilleur scénario à la Mostra de Venise, choisit de raconter une asphyxie, un refoulement, la charge mentale liée à la maternité. Elle ne s’en tire pas mal du tout, nonobstant quelques longueurs et autres séquences insistantes, péchés véniels de débutante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Pour son premier film comme réalisatrice, Maggie Gyllenhaal a opté pour un style volontairement sans effet, presque banal, qui s’efface pour laisser toute la place au jeu des actrices, et faire briller le clair-obscur de son héroïne, incarnation des imperfections humaines.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans une atmosphère sensorielle et souvent inquiétante, Maggie Gyllenhaal fait preuve de délicatesse en dressant le portrait humain de Leda, assaillie par les regrets et jouée par la phénoménale Olivia Colman.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le thriller psychologique est plus bringuebalant, mais le film de vacances ratées est, lui, bien réussi.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Maggie Gyllenhaal adapte un roman d’Elena Ferrante et signe un thriller intrigant. À fleur d’émotions, Olivia Colman nous embarque dans cette évocation sensible de la difficulté d’être parent.
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Une partie du film s’évertue à inventer un personnage mystérieux et cruel, pendant que l’autre partie s’acharne à tout expliquer pour l’excuser, comme si le récit hésitait à le libérer ou à l’absoudre. Empêtré dans ses contradictions esthétiques et morales, le film semble proposer l’inverse de ce qu’il défendait : une figure féminine archétypale, plombée par un arsenal de motifs et de symboles éculés.
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli
En choisissant d’adapter elle-même le roman d’Elena Ferrante, Maggie Gyllenhaal [...] tombe dans un piège commun de la transposition sur grand écran, celui de ne pas trahir le roman et, par conséquent, d’en conserver toute la dimension littéraire au détriment des qualités cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
The Lost Daughter est souvent guetté par un discours féministe sous-jacent – certes respectueux et crucial, sur le thème de la maternité pas toujours heureuse – qui finit par ôter du mystère à cette œuvre atmosphérique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
CinemaTeaser
Un coup de soleil qu'on ne sent pas venir.
Ecran Large
Sur une île qui aurait tout d'un pur paradis, c'est finalement l'angoisse, le doute et une atmosphère pesante - le tout parfaitement quantifié par une Maggie Gyllenhaal en pleine maîtrise de son sujet - qui prennent le dessus. The Lost Daughter est un drame psychologique qui bouscule sans faute les codes de la maternité, nous offrant une Olivia Colman toujours impeccable et une Dakota Johnson épatante.
Elle
Porté par la "queen" Olivia Colman, ce film coup de poing traite d'un sujet tabou : l'abandon de ses enfants par une mère qui préfère vivre sa vie.
L'Humanité
Un premier film d’une remarquable maîtrise, tant formelle que narrative.
Le Figaro
Vibrant et oppressant.
Le Parisien
Pas un film divertissant, mais qui bouscule intelligemment.
Libération
Gyllenhaal fait le tour du mystère, cherchant moins à en comprendre le désordre qu’à lui donner légitimité, une voix. Elle dresse le portrait incommode d’une femme assaillie par son ombre, ces éclats démultipliés d’elle-même qu’elle épie dans chaque femme.
Positif
On pourrait dire qu’il s’agit d’un film sur la difficulté d’être mère, d’être femme, d’être femme et mère. Un tel résumé ne serait pas faux. Il ne rendrait pas justice à une œuvre qui n’a rien du film-dossier, mais nous donne à voir la complexité d’un être par des moyens proprement cinématographiques et en faisant surgir une certaine étrangeté.
Première
Si Lost Daughter est le récit d’un empowerment féminin, c’est surtout l’affirmation d’une voix singulière, celle de la cinéaste.
Télérama
Pour son premier film derrière la caméra, l’héroïne de la série “The Deuce” réussit l’adaptation d’un roman méconnu d’Elena Ferrante. Et offre à la comédienne de “The Crown”, toujours royale, un magnifique rôle de femme en pleine crise existentielle.
20 Minutes
La direction d’actrices est pour beaucoup dans les émotions ressenties devant ce premier long-métrage.
Critikat.com
Toute la délicate beauté de The Lost Daughter tient alors dans cette altérité non feinte et la lumière d’un visage qui se dresse malgré tout : faire tache dans le tableau, voilà qui relève d’une question de vie ou de mort.
L'Obs
Pour sa première réalisation, l’actrice Maggie Gyllenhaal, prix du meilleur scénario à la Mostra de Venise, choisit de raconter une asphyxie, un refoulement, la charge mentale liée à la maternité. Elle ne s’en tire pas mal du tout, nonobstant quelques longueurs et autres séquences insistantes, péchés véniels de débutante.
La Croix
Pour son premier film comme réalisatrice, Maggie Gyllenhaal a opté pour un style volontairement sans effet, presque banal, qui s’efface pour laisser toute la place au jeu des actrices, et faire briller le clair-obscur de son héroïne, incarnation des imperfections humaines.
Le Journal du Dimanche
Dans une atmosphère sensorielle et souvent inquiétante, Maggie Gyllenhaal fait preuve de délicatesse en dressant le portrait humain de Leda, assaillie par les regrets et jouée par la phénoménale Olivia Colman.
Les Inrockuptibles
Le thriller psychologique est plus bringuebalant, mais le film de vacances ratées est, lui, bien réussi.
Télé 7 Jours
Maggie Gyllenhaal adapte un roman d’Elena Ferrante et signe un thriller intrigant. À fleur d’émotions, Olivia Colman nous embarque dans cette évocation sensible de la difficulté d’être parent.
Cahiers du Cinéma
Une partie du film s’évertue à inventer un personnage mystérieux et cruel, pendant que l’autre partie s’acharne à tout expliquer pour l’excuser, comme si le récit hésitait à le libérer ou à l’absoudre. Empêtré dans ses contradictions esthétiques et morales, le film semble proposer l’inverse de ce qu’il défendait : une figure féminine archétypale, plombée par un arsenal de motifs et de symboles éculés.
Culturopoing.com
En choisissant d’adapter elle-même le roman d’Elena Ferrante, Maggie Gyllenhaal [...] tombe dans un piège commun de la transposition sur grand écran, celui de ne pas trahir le roman et, par conséquent, d’en conserver toute la dimension littéraire au détriment des qualités cinématographiques.
Le Monde
The Lost Daughter est souvent guetté par un discours féministe sous-jacent – certes respectueux et crucial, sur le thème de la maternité pas toujours heureuse – qui finit par ôter du mystère à cette œuvre atmosphérique.