Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
CNews
par La rédaction
En résulte le portrait d’une femme talentueuse, engagée, mais dépendante à la drogue et l’alcool, morte en 1959, à 44 ans, d’une cirrhose.
Closer
par La Rédaction
La vérité sur la vie chaotique de la chanteuse admirablement rendue dans ce portrait tout en nuances, avec des témoignages inédits des proches de l'icône.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un documentaire passionnant et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Florence Tredez
Une des plus grandes voix de tous les temps dans un documentaire événement.
L'Obs
par François Forestier
Résultat : un travail de titan pour trier l’ensemble avec l’aide de Myra, la sœur de Linda. Les deux histoires, celle de Billie et celle de Linda, s’entremêlent. Les dernières images de Billie Holliday sont absolument inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Nicolas Tellop
Dans ce dialogue entre les époques, le film met en scène une tragédie de la féminité au XXème siècle - de celles qui voulaient faire entendre leur voix, et qui se sont tues trop tôt.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Pour évoquer « Lady Day », James Erskine juxtapose archives et témoignages avec délicatesse et hardiesse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Entrecoupés d’extraits de concerts de Billie Holiday, ces témoignages révèlent le tragique que ne montre pas chaque apparition miraculeuse de Lady Day, âme entière, qui a glissé seule vers la mort, en 1959, à 44 ans.
Le Figaro
par Olivier Nuc
Mais ce qui rend le film saisissant, c’est le parallèle dressé entre son existence et celle de sa biographe, Linda Lipnack Kuehl. Celle-ci est retracée par sa sœur Myra Luftman, enseignante à la retraite, qui a confié des films personnels permettant de voir la femme évoluer en famille.
Le Parisien
par La Rédaction
Sidérant sur le fond, « Billie » est tout aussi surprenant sur la forme, tant ce documentaire sort du moule habituel avec ses extraits sonores et ses images d'archives colorisées. Un film exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un documentaire poignant.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Derrière l'une des grandes voix du XXe siècle, émerge la figure oubliée d'une journaliste disparue prématurément. Une double enquête poignante et une page de l'histoire des Noirs en Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un chassé-croisé édifiant entre Billie Holliday et la journaliste Linda Lipnack Kuehl, qui recueillit 200 heures de témoignages en vue d’une biographie de l’icône. En ressort un documentaire riche et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Et ces kilomètres d’entretiens accumulés, illustrés le plus souvent par des photos et des archives plutôt rares, constituent même la véritable matière du film, celle à partir de laquelle tout s’organise [...] dans un chassé-croisé assez singulier qui rend le film nettement plus captivant et surtout plus incarné que n’importe quel biopic traditionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jacques Denis
Mieux, cette «petite » histoire dans l’histoire permet, en de subtiles ponctuations, d’échapper au simple récit chronologique, qui aplatit trop souvent les monographies. C’est toute l’originalité de ce documentaire, scénarisé comme une investigation qui éclaire le côté obscur de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par La rédaction
Un docu vibrant.
Ouest France
par Thierry Chèze
Riche en archives incroyables, le récit, construit comme un puzzle, se révèle passionnant.
Positif
par Hubert Niogret
Plus que le biopic de Sidney J. Furie (Lady Sings the Blues, 1972), il faut voir Billie, documentaire terrible mais réaliste sur une des plus grandes chanteuses de jazz qui, après Bessie Smith, égalait Ella Fitzgerald et fût une des premières stars américaines noires, à une époque où elles étaient aussi célébrées que discriminées.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
(...) James Erskine dresse un portrait qui ne laisse rien de côté de la vie de Billie Holiday, des multiples tourments et abus dont elle fut victime, jusqu’à ses errements personnels qu’elle n’aura jamais su ou voulu véritablement dompter.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Romane Carrière
Avec "Billie", James Erskine brosse, à partir d’archives visuelles et sonores inédites, un portrait enivrant et flamboyant de la diva du jazz.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Édifiant et troublant.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
La vie tragique et la carrière brillante de Billie Holiday sont retracées dans un film musical touchant, qui met en valeur mieux qu'aucun autre biopic la souffrance cachée de célébrités décidément bien mal entourées.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ce documentaire du Britannique James Erskine remet en lumière la grande Billie Holiday, à travers une enquête sonore et visuelle passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
A réserver aux plus connaisseurs.
Franceinfo Culture
par Annie Yanbekian
Quant au procédé de mêler les trajectoires de Billie Holiday et de Linda Lipnack Kuehl, il trouvera ses partisans et ses détracteurs. Il n'en est pas moins original et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Genica Baczynski
James Erskine (...) reste pour ainsi dire neutre, comme s’il voulait échapper à la contrainte d’une analyse ou d’un sentiment. Il ne facilite pas son récit. Il le perd en le multipliant. Il ne formalise pas de thèse mais distribue les éléments d’une dialectique où Billie questionnerait la femme dans sa soumission à un désir meurtri puisque jamais entendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Nathalie Lacube
Ce documentaire très impressionnant tient l’équilibre entre le tragique de sa vie et la splendeur de son art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Troublant mais captivant.
Le Monde
par Philippe Ridet
Malgré la richesse de ces archives auxquelles s’ajoutent des images subtilement colorisées, ce documentaire n’omet pas, et c’est heureux, de laisser une large place à la voix inoubliable de Lady Day.
Première
par Thierry Chèze
Sur le papier, le geste peut paraître aussi capillotracté que confus. Mais la manière subtile dont Erskine joue avec les archives comme d'un puzzle, dont on sait qu'il restera toujours des pièces cachées, emporte le morceau.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Passionnant par moments, le film souffre de la rareté d’archives filmées. Pour pallier cette carence, « Billie » met trop souvent en scène un simple magnéto-cassette ou une série de photographies pour illustrer les voix, forcément off. Reste l’essentiel, la voix de Billie Holiday. Les plus belles captations de la chanteuse en concert ont été magnifiquement restaurées et colorisées et collent le frisson.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par François Gorin
Dès que Lady Day est présente à l’écran, sa voix, son corps souffrant ou rayonnant en disent plus long que toutes les anecdotes autour d’elle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce documentaire est précieux.
Critikat.com
par Bastien Gens
Billie Holiday apparaît comme une figure insaisissable, sans voix, quasi fantomatique, noyée sous des couches de discours qui se superposent dans un ensemble confus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CNews
En résulte le portrait d’une femme talentueuse, engagée, mais dépendante à la drogue et l’alcool, morte en 1959, à 44 ans, d’une cirrhose.
Closer
La vérité sur la vie chaotique de la chanteuse admirablement rendue dans ce portrait tout en nuances, avec des témoignages inédits des proches de l'icône.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un documentaire passionnant et bouleversant.
Elle
Une des plus grandes voix de tous les temps dans un documentaire événement.
L'Obs
Résultat : un travail de titan pour trier l’ensemble avec l’aide de Myra, la sœur de Linda. Les deux histoires, celle de Billie et celle de Linda, s’entremêlent. Les dernières images de Billie Holliday sont absolument inoubliables.
La Septième Obsession
Dans ce dialogue entre les époques, le film met en scène une tragédie de la féminité au XXème siècle - de celles qui voulaient faire entendre leur voix, et qui se sont tues trop tôt.
La Voix du Nord
Pour évoquer « Lady Day », James Erskine juxtapose archives et témoignages avec délicatesse et hardiesse.
Le Dauphiné Libéré
Entrecoupés d’extraits de concerts de Billie Holiday, ces témoignages révèlent le tragique que ne montre pas chaque apparition miraculeuse de Lady Day, âme entière, qui a glissé seule vers la mort, en 1959, à 44 ans.
Le Figaro
Mais ce qui rend le film saisissant, c’est le parallèle dressé entre son existence et celle de sa biographe, Linda Lipnack Kuehl. Celle-ci est retracée par sa sœur Myra Luftman, enseignante à la retraite, qui a confié des films personnels permettant de voir la femme évoluer en famille.
Le Parisien
Sidérant sur le fond, « Billie » est tout aussi surprenant sur la forme, tant ce documentaire sort du moule habituel avec ses extraits sonores et ses images d'archives colorisées. Un film exceptionnel.
Le Point
Un documentaire poignant.
Les Echos
Derrière l'une des grandes voix du XXe siècle, émerge la figure oubliée d'une journaliste disparue prématurément. Une double enquête poignante et une page de l'histoire des Noirs en Amérique.
Les Fiches du Cinéma
Un chassé-croisé édifiant entre Billie Holliday et la journaliste Linda Lipnack Kuehl, qui recueillit 200 heures de témoignages en vue d’une biographie de l’icône. En ressort un documentaire riche et tragique.
Les Inrockuptibles
Et ces kilomètres d’entretiens accumulés, illustrés le plus souvent par des photos et des archives plutôt rares, constituent même la véritable matière du film, celle à partir de laquelle tout s’organise [...] dans un chassé-croisé assez singulier qui rend le film nettement plus captivant et surtout plus incarné que n’importe quel biopic traditionnel.
Libération
Mieux, cette «petite » histoire dans l’histoire permet, en de subtiles ponctuations, d’échapper au simple récit chronologique, qui aplatit trop souvent les monographies. C’est toute l’originalité de ce documentaire, scénarisé comme une investigation qui éclaire le côté obscur de l’Amérique.
Marie Claire
Un docu vibrant.
Ouest France
Riche en archives incroyables, le récit, construit comme un puzzle, se révèle passionnant.
Positif
Plus que le biopic de Sidney J. Furie (Lady Sings the Blues, 1972), il faut voir Billie, documentaire terrible mais réaliste sur une des plus grandes chanteuses de jazz qui, après Bessie Smith, égalait Ella Fitzgerald et fût une des premières stars américaines noires, à une époque où elles étaient aussi célébrées que discriminées.
Rolling Stone
(...) James Erskine dresse un portrait qui ne laisse rien de côté de la vie de Billie Holiday, des multiples tourments et abus dont elle fut victime, jusqu’à ses errements personnels qu’elle n’aura jamais su ou voulu véritablement dompter.
Transfuge
Avec "Billie", James Erskine brosse, à partir d’archives visuelles et sonores inédites, un portrait enivrant et flamboyant de la diva du jazz.
Télé Loisirs
Édifiant et troublant.
aVoir-aLire.com
La vie tragique et la carrière brillante de Billie Holiday sont retracées dans un film musical touchant, qui met en valeur mieux qu'aucun autre biopic la souffrance cachée de célébrités décidément bien mal entourées.
Bande à part
Ce documentaire du Britannique James Erskine remet en lumière la grande Billie Holiday, à travers une enquête sonore et visuelle passionnante.
CinemaTeaser
A réserver aux plus connaisseurs.
Franceinfo Culture
Quant au procédé de mêler les trajectoires de Billie Holiday et de Linda Lipnack Kuehl, il trouvera ses partisans et ses détracteurs. Il n'en est pas moins original et courageux.
L'Humanité
James Erskine (...) reste pour ainsi dire neutre, comme s’il voulait échapper à la contrainte d’une analyse ou d’un sentiment. Il ne facilite pas son récit. Il le perd en le multipliant. Il ne formalise pas de thèse mais distribue les éléments d’une dialectique où Billie questionnerait la femme dans sa soumission à un désir meurtri puisque jamais entendu.
La Croix
Ce documentaire très impressionnant tient l’équilibre entre le tragique de sa vie et la splendeur de son art.
Le Journal du Dimanche
Troublant mais captivant.
Le Monde
Malgré la richesse de ces archives auxquelles s’ajoutent des images subtilement colorisées, ce documentaire n’omet pas, et c’est heureux, de laisser une large place à la voix inoubliable de Lady Day.
Première
Sur le papier, le geste peut paraître aussi capillotracté que confus. Mais la manière subtile dont Erskine joue avec les archives comme d'un puzzle, dont on sait qu'il restera toujours des pièces cachées, emporte le morceau.
Sud Ouest
Passionnant par moments, le film souffre de la rareté d’archives filmées. Pour pallier cette carence, « Billie » met trop souvent en scène un simple magnéto-cassette ou une série de photographies pour illustrer les voix, forcément off. Reste l’essentiel, la voix de Billie Holiday. Les plus belles captations de la chanteuse en concert ont été magnifiquement restaurées et colorisées et collent le frisson.
Télérama
Dès que Lady Day est présente à l’écran, sa voix, son corps souffrant ou rayonnant en disent plus long que toutes les anecdotes autour d’elle.
Voici
Ce documentaire est précieux.
Critikat.com
Billie Holiday apparaît comme une figure insaisissable, sans voix, quasi fantomatique, noyée sous des couches de discours qui se superposent dans un ensemble confus.