Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Durant un an, M. Frésil a suivi à Annecy et alentours des enfants et leurs parents, pour la plupart réfugiés du Kosovo. Entre leurs rires, pleurs, insouciance et propos plus graves, elle nous amène à nous interroger sur l’iniquité de leur situation. Et fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Eléonore Colin
Durant un an, Manuela Frésil a saisi leur quotidien à hauteur d’enfants et c’est déchirant. Elle signe un film lumineux, où se nouent les récits d’exil de familles à qui l’État français refuse obstinément l’asile et une étonnante chaîne de solidarité citoyenne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La Rédaction
Un film engagé, manquant certes de cinéma mais rappelant l'aspect certes essentiel de l'éducation dans toute intégration.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Dans cette forme qui, plus qu’à un film, s’apparente à un très (trop) long reportage, le propos se dilue jusqu’à en perdre sa puissance et son émotion.
Les Fiches du Cinéma
Durant un an, M. Frésil a suivi à Annecy et alentours des enfants et leurs parents, pour la plupart réfugiés du Kosovo. Entre leurs rires, pleurs, insouciance et propos plus graves, elle nous amène à nous interroger sur l’iniquité de leur situation. Et fait mouche.
Télérama
Durant un an, Manuela Frésil a saisi leur quotidien à hauteur d’enfants et c’est déchirant. Elle signe un film lumineux, où se nouent les récits d’exil de familles à qui l’État français refuse obstinément l’asile et une étonnante chaîne de solidarité citoyenne.
Ouest France
Un film engagé, manquant certes de cinéma mais rappelant l'aspect certes essentiel de l'éducation dans toute intégration.
Le Monde
Dans cette forme qui, plus qu’à un film, s’apparente à un très (trop) long reportage, le propos se dilue jusqu’à en perdre sa puissance et son émotion.