Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Passionnant et haletant de bout en bout, Un héros d’Asghar Farhadi, qui retrace la trajectoire d’un homme simple pris dans un engrenage infernal, confirme le style personnel d’un des cinéastes contemporains les plus importants.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Céline Rouden
À travers l’ascension et la chute de Rahim, héros devenu paria, le cinéaste déroule une mécanique magistrale et atteint la puissance formelle et narrative d’Une séparation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’Iranien Asghar Farhadi plonge une fois encore un individu dans une mécanique sociétale aussi kafkaïenne que destructrice. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Ce récit kafkaïen tire sa puissance de sa simplicité pour dénoncer l'injustice, la rumeur, les fake news et l'emprise des réseaux sociaux. Notre Palme d'or.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste d'« Une séparation » signe une fiction passionnante sur un Iranien pris au piège de ses mensonges et manipulations. Ce film captivant s'impose comme l'une des réussites majeures de l'année 2021.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction confirme le talent d’un réalisateur qui observe les réalités de son pays avec un regard subtil et ambigu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Que ce soit dans les scènes intimes en famille ou dans l'espace public, Asghar Farhadi semble tout maîtriser, bien aidé par ses comédiens (...).
Positif
par Frédéric Mercier
Avec Un héros, Asghar Farhadi revient dans son pays pour nous ofrir son œuvre peut-être la plus forte depuis l’immense succès international d’Une séparation (2011).
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Un héros", son dernier film, admirable de rigueur et d'intelligence, captivant comme un Sidney Lumet des grands jours, est bâti de la sorte, à vous donner le tournis, à vous faire douter de vous-même.
Voici
par Daniel Blois
Captivant et d'une grande justesse émotionnelle.
20 Minutes
par Caroline Vié
La réflexion d’Asghar Farhadi se teinte d’une misanthropie glaçante dans la façon dont chacune et chacun arrange ses affaires pour se tirer d’embarras.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Brillant et pertinent.
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli & Vincent Nicolet
Un Héros, confirme la vitalité indéniable de Farhadi sur ses terres, livrant un thriller haletant doublé d’un commentaire passionnant sur la société iranienne, à défaut de se réinventer en profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste est devenu le maître des récits les plus parfaitement maîtrisés, un assemblage de pièces réunies pour former une mécanique dramatique puissante, de bout en bout impeccable et efficace, qu’il met en scène avec une précision d’horloger sans faille.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Le retour en grâce d’Asghar Farhadi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un thriller sournois, sans coups de feu ni scènes de crime. Grand prix au Festival de Cannes, « Un héros » aurait mérité l’or de palme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un Héros est à la fois une histoire iranienne et universelle, qui questionne les célébrités contemporaines factices sur les réseaux sociaux, une forme de nouvel héroïsme des gens ordinaires, et aussi, la manière dont la parole est mise en doute.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un héros, nommé aux Oscars et aux Golden Globes, passionne avec son scénario impeccable et kafkaïen, ses moyens d’une simplicité extrême, des regards, des silences, des soupirs, des disputes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Diaboliquement efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Le jeu plein d’humanité d’Amir Jadidi tempère le cynisme du scénario qui dénonce une société corrompue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Un thriller social à suspense un rien misanthrope mais toujours aussi implacable.
Paris Match
par Yannick Vely
C’est d’une telle efficacité narrative que l’on ne peut que s’incliner devant la puissance de la démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
La mécanique implacable imaginée par Farhadi a tout d'un tour de force. Un récit qui, tout en apparaissant limpide, fait apparaître en permanence des éléments qui semblent venir contredire ce qu'on a vu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
A la vérité, l’héroïsme est un mérite mystérieux que Rahim va expérimenter d’une toute autre façon, à l’ombre de ses propres émotions et dans la solitude. La leçon du film serait sèche si la mise en scène ne tenait à l’écart tout didactisme, nourrissant l’humanité des personnages et le souffle narratif.
Télérama
par Mathilde Blottière
Scénario à la mécanique implacable, réalisme bluffant, personnages piégés dans un infernal entrelacs de motivations et d’intérêts contraires : pas de doute, après son escapade espagnole (Everybody Knows), le Asghar Farhadi d’Une séparation est de retour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Asghar Farhadi est parti d'un fait divers qui avait défrayé la chronique locale pour en faire une pièce de haute couture naturaliste.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Asghar Farhadi ne dément pas une nouvelle fois son incontestable talent, le scénario qu’il met en scène se perd parfois dans des invraisemblances qui noient le propos et font perdre au récit son intensité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Le film, sans grandes qualités, consistant narrativement mais parfois appuyé dans ses effets, brille davantage par la précision millimétrée de son récit que par la finesse de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Quelque chose cependant retient toujours le film dans un registre légèrement trop compassé, notamment ce personnage central dont Farhadi fait un modèle véritable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
L’exercice ne nous aura rien appris de nouveau, ni sur l’humanité ni sur la perversité propre au cinéma d’Asghar Farhadi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Asghar Farhadi s’applique une fois de plus à tisser plusieurs fils, aboutissant à un dessin touffu voire chargé, le même depuis plusieurs films.
Bande à part
Passionnant et haletant de bout en bout, Un héros d’Asghar Farhadi, qui retrace la trajectoire d’un homme simple pris dans un engrenage infernal, confirme le style personnel d’un des cinéastes contemporains les plus importants.
La Croix
À travers l’ascension et la chute de Rahim, héros devenu paria, le cinéaste déroule une mécanique magistrale et atteint la puissance formelle et narrative d’Une séparation.
La Voix du Nord
L’Iranien Asghar Farhadi plonge une fois encore un individu dans une mécanique sociétale aussi kafkaïenne que destructrice. Du grand art.
Le Journal du Dimanche
Ce récit kafkaïen tire sa puissance de sa simplicité pour dénoncer l'injustice, la rumeur, les fake news et l'emprise des réseaux sociaux. Notre Palme d'or.
Les Echos
Le cinéaste d'« Une séparation » signe une fiction passionnante sur un Iranien pris au piège de ses mensonges et manipulations. Ce film captivant s'impose comme l'une des réussites majeures de l'année 2021.
Marianne
Cette fiction confirme le talent d’un réalisateur qui observe les réalités de son pays avec un regard subtil et ambigu.
Ouest France
Que ce soit dans les scènes intimes en famille ou dans l'espace public, Asghar Farhadi semble tout maîtriser, bien aidé par ses comédiens (...).
Positif
Avec Un héros, Asghar Farhadi revient dans son pays pour nous ofrir son œuvre peut-être la plus forte depuis l’immense succès international d’Une séparation (2011).
Transfuge
"Un héros", son dernier film, admirable de rigueur et d'intelligence, captivant comme un Sidney Lumet des grands jours, est bâti de la sorte, à vous donner le tournis, à vous faire douter de vous-même.
Voici
Captivant et d'une grande justesse émotionnelle.
20 Minutes
La réflexion d’Asghar Farhadi se teinte d’une misanthropie glaçante dans la façon dont chacune et chacun arrange ses affaires pour se tirer d’embarras.
CinemaTeaser
Brillant et pertinent.
Culturopoing.com
Un Héros, confirme la vitalité indéniable de Farhadi sur ses terres, livrant un thriller haletant doublé d’un commentaire passionnant sur la société iranienne, à défaut de se réinventer en profondeur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste est devenu le maître des récits les plus parfaitement maîtrisés, un assemblage de pièces réunies pour former une mécanique dramatique puissante, de bout en bout impeccable et efficace, qu’il met en scène avec une précision d’horloger sans faille.
L'Humanité
Le retour en grâce d’Asghar Farhadi.
L'Obs
Un thriller sournois, sans coups de feu ni scènes de crime. Grand prix au Festival de Cannes, « Un héros » aurait mérité l’or de palme.
Le Dauphiné Libéré
Un Héros est à la fois une histoire iranienne et universelle, qui questionne les célébrités contemporaines factices sur les réseaux sociaux, une forme de nouvel héroïsme des gens ordinaires, et aussi, la manière dont la parole est mise en doute.
Le Figaro
Un héros, nommé aux Oscars et aux Golden Globes, passionne avec son scénario impeccable et kafkaïen, ses moyens d’une simplicité extrême, des regards, des silences, des soupirs, des disputes.
Le Parisien
Diaboliquement efficace.
Les Fiches du Cinéma
Le jeu plein d’humanité d’Amir Jadidi tempère le cynisme du scénario qui dénonce une société corrompue.
Marie Claire
Un thriller social à suspense un rien misanthrope mais toujours aussi implacable.
Paris Match
C’est d’une telle efficacité narrative que l’on ne peut que s’incliner devant la puissance de la démonstration.
Première
La mécanique implacable imaginée par Farhadi a tout d'un tour de force. Un récit qui, tout en apparaissant limpide, fait apparaître en permanence des éléments qui semblent venir contredire ce qu'on a vu.
Sud Ouest
A la vérité, l’héroïsme est un mérite mystérieux que Rahim va expérimenter d’une toute autre façon, à l’ombre de ses propres émotions et dans la solitude. La leçon du film serait sèche si la mise en scène ne tenait à l’écart tout didactisme, nourrissant l’humanité des personnages et le souffle narratif.
Télérama
Scénario à la mécanique implacable, réalisme bluffant, personnages piégés dans un infernal entrelacs de motivations et d’intérêts contraires : pas de doute, après son escapade espagnole (Everybody Knows), le Asghar Farhadi d’Une séparation est de retour.
Le Monde
Asghar Farhadi est parti d'un fait divers qui avait défrayé la chronique locale pour en faire une pièce de haute couture naturaliste.
aVoir-aLire.com
Si Asghar Farhadi ne dément pas une nouvelle fois son incontestable talent, le scénario qu’il met en scène se perd parfois dans des invraisemblances qui noient le propos et font perdre au récit son intensité dramatique.
Critikat.com
Le film, sans grandes qualités, consistant narrativement mais parfois appuyé dans ses effets, brille davantage par la précision millimétrée de son récit que par la finesse de sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Quelque chose cependant retient toujours le film dans un registre légèrement trop compassé, notamment ce personnage central dont Farhadi fait un modèle véritable.
Libération
L’exercice ne nous aura rien appris de nouveau, ni sur l’humanité ni sur la perversité propre au cinéma d’Asghar Farhadi.
Cahiers du Cinéma
Asghar Farhadi s’applique une fois de plus à tisser plusieurs fils, aboutissant à un dessin touffu voire chargé, le même depuis plusieurs films.