AlloCiné
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Votre avis sur Don’t Look Up: Déni cosmique ?
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En voilà une découverte!
Après visionage, on comprend d'autant mieux ce casting, d’abord brillant, mais surtout constitué de mega star engagées pour l’écologie.
Dans un format de comédie cynique plutôt très réussie, Don’t look up est une colossale critique de la situation du monde face au réchauffement climatique, représentée ici par une comète gigantesque approchant à grande vitesse sur la terre et induisant sa destruction prochaine.
La catastrophe est annoncée par bon nombre de scientifiques et pourtant, personne ne semble les entendre.
Et tout le monde y passe.
Les politiques qui ne font des discours que lorsque leur image est en jeu dans le cadre d’une élection approchant, mais qui finalement repoussent toute décision forte à plus tard et ce malgré l’urgence de la situation.
Les climato sceptiques qui refusent de voir la vérité en face, aussi grosse et limpide soit elle.
Les lobbies et grosses entreprises encore et toujours poussées par l’appât du gain.
Les médias, régis par la recherche de l’audience au détriment de la véritable information.
La population, archi connectée aux réseaux sociaux mais complètement déconnectée de la terrible réalité et du désastre approchant.
Une véritable réussite de faire de cette comédie, décalée et légère, un réel message d’alerte sur un sujet aussi important, en nous faisant poser la question: quand prendrons nous réellement les choses en main?
Après visionage, on comprend d'autant mieux ce casting, d’abord brillant, mais surtout constitué de mega star engagées pour l’écologie.
Dans un format de comédie cynique plutôt très réussie, Don’t look up est une colossale critique de la situation du monde face au réchauffement climatique, représentée ici par une comète gigantesque approchant à grande vitesse sur la terre et induisant sa destruction prochaine.
La catastrophe est annoncée par bon nombre de scientifiques et pourtant, personne ne semble les entendre.
Et tout le monde y passe.
Les politiques qui ne font des discours que lorsque leur image est en jeu dans le cadre d’une élection approchant, mais qui finalement repoussent toute décision forte à plus tard et ce malgré l’urgence de la situation.
Les climato sceptiques qui refusent de voir la vérité en face, aussi grosse et limpide soit elle.
Les lobbies et grosses entreprises encore et toujours poussées par l’appât du gain.
Les médias, régis par la recherche de l’audience au détriment de la véritable information.
La population, archi connectée aux réseaux sociaux mais complètement déconnectée de la terrible réalité et du désastre approchant.
Une véritable réussite de faire de cette comédie, décalée et légère, un réel message d’alerte sur un sujet aussi important, en nous faisant poser la question: quand prendrons nous réellement les choses en main?
L'opposition entre ces scientifiques éclairés et un mur d'inertie (sphère médiatico politique) capable d'absorber les pires nouvelles est vraiment efficace. Il ne s'agit pas d'un film pédagogique comme les deux derniers d'Adam Mackey mais justement don't look up ne tient pas seulement sur le seul argument du déni de cette comète (métaphore évidente du réchauffement climatique) mais bien sûr un récit bien échaffaudé: chaque personnage ne se résume pas un sketch mais va servir l'histoire. L'exemple le plus drôle est cet hybride de milliardaire dont le positivisme lancinant est une caricature très réussie des PDG des multinationales.
En revanche, le film est extrêmement inégal et alterne souvent moments de pure rigolade et moments complètement plats sans aucun enjeu.
Par un montage rapide d'images de natures, d'animaux, de forêts, de glaciers, le réalisateur saboté son projet d'essayer de rendre la menace de la crise climatique tangible avec la comète par ces images dignes de national géographie.
En revanche, le film est extrêmement inégal et alterne souvent moments de pure rigolade et moments complètement plats sans aucun enjeu.
Par un montage rapide d'images de natures, d'animaux, de forêts, de glaciers, le réalisateur saboté son projet d'essayer de rendre la menace de la crise climatique tangible avec la comète par ces images dignes de national géographie.
Très bonne critique cinglante et humoristique des médias et des GAFA vs la faiblesses des politiques. Le tout avec une fin très forte.
Yves G.
Kate Dibiasky (Jennifer Lawrence), une doctorante en astronomie de l’université du Michigan et le professeur Randall Mindy (Leonardo DiCaprio) identifient aux confins du système solaire une comète qui se dirige à grande vitesse vers la Terre. Selon leurs calculs, elle la percutera dans six mois à peine et y détruira toute vie humaine. Les deux chercheurs en avertissent aussitôt les plus hautes instances à Washington et sont immédiatement convoqués à la Maison-Blanche. Mais leur révélation se heurte au scepticisme de la présidente des États-Unis (Meryl Streep). Effarés par sa réaction, les deux lanceurs d’alerte décident d’informer l’opinion publique directement ; mais leur message restera longtemps inaudible…. jusqu’à ce que l’imminence de la catastrophe ne s’impose à tous.
Netflix réussit presque tous les mois à monopoliser l’attention des cinéphiles. Après "The Power of the Dog", après "La Main de Dieu", LE film dont on parle ces jours-ci est la dernière superproduction hollywoodienne d’Adam McKay, le réalisateur de "The Big Short" et de "Vice" avec son casting plaqué or : Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence, Meryl Streep, Cate Blanchett, Timothée Chalamet…
Le sujet en est savoureux et se lit comme une bouffonne métaphore du changement climatique et du climato-scepticisme qu’il a dû affronter aux plus hauts sommets de l’État américain (le scénario a été écrit durant la présidence Trump).
Il courait le risque de faire long feu et la métaphore de vite devenir pesante. Mais il n’en est rien grâce à l’ingéniosité d’un scénario rebondissant ponctué de quelques scènes vouées à devenir cultes. Parmi elles, chacune des apparitions de Meryl Streep, double féminin à peine outrancier de Donald Trump, conjuguant comme lui la démagogie et le court-termisme, et de Jonnah Hill dans le rôle de son fils et chef de cabinet, double masculin de Ivanka Trump, déclenchent l’hilarité. Paradoxalement, les premiers rôles interprétés par les deux superstars Jennifer Lawrence et Leonardo DiCaprio sont obligés à plus de retenue, sauf à faire basculer "Don’t Look Up" dans la farce grasse.
Rien ne résiste à la charge sardonique de "Don’t Look Up" : ni bien sûr le populisme de la présidente Orlean/Trump (auquel ne fait contrepoids aucune opposition), ni la vulgarité des médias, ni même la bien-pensance de Hollywood. Tant de bassesse aurait de quoi désespérer face à laquelle le scenario ne propose guère d’alternative ou de contre-modèle (Spielberg aurait fait des deux personnages principaux des héros entiers là où Adam McKay a trop de cynisme ou trop d’ironie pour ne pas taire leurs faiblesses). Et la fin du film, qui veut conserver un ton badin, ne rassurera pas les spectateurs que la fin du monde effraie en secret.
Ne manquez pas les deux séquences post-générique. La première arrivera suffisamment vite pour vous faire rire ; mais la seconde, presqu’aussi hilarante, se mérite.
Netflix réussit presque tous les mois à monopoliser l’attention des cinéphiles. Après "The Power of the Dog", après "La Main de Dieu", LE film dont on parle ces jours-ci est la dernière superproduction hollywoodienne d’Adam McKay, le réalisateur de "The Big Short" et de "Vice" avec son casting plaqué or : Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence, Meryl Streep, Cate Blanchett, Timothée Chalamet…
Le sujet en est savoureux et se lit comme une bouffonne métaphore du changement climatique et du climato-scepticisme qu’il a dû affronter aux plus hauts sommets de l’État américain (le scénario a été écrit durant la présidence Trump).
Il courait le risque de faire long feu et la métaphore de vite devenir pesante. Mais il n’en est rien grâce à l’ingéniosité d’un scénario rebondissant ponctué de quelques scènes vouées à devenir cultes. Parmi elles, chacune des apparitions de Meryl Streep, double féminin à peine outrancier de Donald Trump, conjuguant comme lui la démagogie et le court-termisme, et de Jonnah Hill dans le rôle de son fils et chef de cabinet, double masculin de Ivanka Trump, déclenchent l’hilarité. Paradoxalement, les premiers rôles interprétés par les deux superstars Jennifer Lawrence et Leonardo DiCaprio sont obligés à plus de retenue, sauf à faire basculer "Don’t Look Up" dans la farce grasse.
Rien ne résiste à la charge sardonique de "Don’t Look Up" : ni bien sûr le populisme de la présidente Orlean/Trump (auquel ne fait contrepoids aucune opposition), ni la vulgarité des médias, ni même la bien-pensance de Hollywood. Tant de bassesse aurait de quoi désespérer face à laquelle le scenario ne propose guère d’alternative ou de contre-modèle (Spielberg aurait fait des deux personnages principaux des héros entiers là où Adam McKay a trop de cynisme ou trop d’ironie pour ne pas taire leurs faiblesses). Et la fin du film, qui veut conserver un ton badin, ne rassurera pas les spectateurs que la fin du monde effraie en secret.
Ne manquez pas les deux séquences post-générique. La première arrivera suffisamment vite pour vous faire rire ; mais la seconde, presqu’aussi hilarante, se mérite.
Le film allait-il être à la hauteur de son casting de dingue ? Et bien oui, c'est une vraie réussite. On rit devant cette satire au vitriol, mais on rit jaune, car tout le monde en prend pour son grade et forcément on s'y retrouve quelque part. On se demande bien comment on va échapper à la catastrophe qui semble nous pendre au nez, même si ce n'est pas une comète, on sait de quoi le film parle. Contrairement à "Docteur Folamour" qui revient souvent dans les références et qui se limitait à tourner en dérision les militaires pour avertir du péril d'atomisation de la planète, c'est ici l'intégralité de notre société - dirigeants, puissants milliardaires, scientifiques, réseaux sociaux, nous... - qui passons à la moulinette pour montrer le ridicule de nos comportements. Un film peut-il nous faire réagir massivement ? Je ne pense pas, mais au moins il a le mérite d'essayer, d'exister et d'être un très bon objet filmique en tant que tel.
Difficilement regardable jusqu'au bout. Pas de la faute des acteurs qui sont bons, mais l'écriture est vraiment mauvaise.
On y croit pas une seconde (c'était pas le but bien sur, vu que c'est censé être loufoque). Ce n'est jamais drôle et la satire de l'Amérique/réseau sociaux est tellement forcée que ca en devient ridicule.
La première scène sur la présidente est vraiment caractéristique de ca : On a compris que c'était une satire d'une sorte de Trump stupide, mais les différents gros plans sur les photos (débiles) présentes sur le bureau, pour accentuer son incompétences/stupidité ne servent à rien...
C'est donc ultra lourd à regarder, il n'y a rien qui fonctionne, c'est comme ca pendant tout le film.
Je me suis vraiment senti mal à regarder ca, ce qui ne m'arrive jamais....et pourtant je suis plutôt l'écolo bobo intello gaucho qui est la cible de ce film.
Je ne comprends pas les avis positifs (nombreux en plus), mais tout les gouts sont dans la nature, c'est bien
On y croit pas une seconde (c'était pas le but bien sur, vu que c'est censé être loufoque). Ce n'est jamais drôle et la satire de l'Amérique/réseau sociaux est tellement forcée que ca en devient ridicule.
La première scène sur la présidente est vraiment caractéristique de ca : On a compris que c'était une satire d'une sorte de Trump stupide, mais les différents gros plans sur les photos (débiles) présentes sur le bureau, pour accentuer son incompétences/stupidité ne servent à rien...
C'est donc ultra lourd à regarder, il n'y a rien qui fonctionne, c'est comme ca pendant tout le film.
Je me suis vraiment senti mal à regarder ca, ce qui ne m'arrive jamais....et pourtant je suis plutôt l'écolo bobo intello gaucho qui est la cible de ce film.
Je ne comprends pas les avis positifs (nombreux en plus), mais tout les gouts sont dans la nature, c'est bien
Une satire réussie de notre monde actuel au travers des deux astronomes qui préviennent l'humanité qu'une comète se dirige vers la Terre et s'apprête à la détruire. Le film est drôle, le scénario est bien construit, et on a un casting de folie. Il y a deux scènes bonus (une à la fin du pré-générique et une autre à la fin du générique) qui sont à ne pas louper tellement elles sont drôles et bien trouvées.
Ce film est tellement énervant que j'avoue l'avoir abandonné dans le premier quart d'heure. C'est très mal joué et di caprio est très mauvais dans son rôle. Ce film est sensé être une comédie mais je n'ai pas souri une seule fois.
L'un des meilleurs films de ces dernières années, c'est rythmé, bien joué, bien filmé. Comment le monde d'aujourd'hui réagirait face à un tel événement ? impressionnant de justesse.
Très bon film encore une fois avec un bon DiCaprio. Au delà des personnages et du récit narratif je reste sur cette fin et sur la morale qu’elle met en avant.
On avait effectivement tout Quand on y pense?N'est-ce pas?J'ai bien rigolé au début du film quand j'ai vu la photo de la présidente avec Steven Seagal
Ça donnait la touche du film!!
Ça donnait la touche du film!!
C’est un film qui est sorti uniquement sur Netfix. Dommage. Un très bon film. Une très bonne idée. Des acteurs et des actrices très prenants. Bon, avec Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrens, tout semble facile. Deux génies. De très bons effets spéciaux.
Un chef-d'œuvre ! Qui restera dans les mémoires tant son sujet est d'actualité et malheureusement, on en a pas fini avec les bêtises de tout genre ...
Une allégorie qui n'hésite pas à aller jusqu'au bout de son propos. Résultat : c'est efficace, malgré quelques lourdeurs et longueurs.
Le Docteur Mindy (Leonardo Dicaprio) et son élève Kate (Jennifer Lawrence) découvrent qu’une comète va s’écraser sur la terre, ce qui détruirait toute vie. Ils décident d’alerter la présidente des Etats-Unis (Meryl Streep) et de faire la tournée des médias pour faire bouger les choses.
Bien sûr le parallèle est vite fait entre cette catastrophe et le dérèglement climatique actuel, l’appel du pouvoir et de l’argent, le contrôle qu’exercent les médias, etc. Tous les sujets du moment sont abordés, ce qui n’est pas totalement inintéressant, mais ils sont traités de manière trop évidente.
Le film donne l’impression d’un grand sketch digne des shows TV à l’américaine, c’est-à-dire que mon attention a été captée, sans savoir pourquoi, en attendant une chute quelconque, mais sans ressentir un réel intérêt pour ce que je regardais. Je ne me suis pas ennuyée malgré la longueur du film mais j’attendais malgré tout vivement la fin.
J’attendais plus d’humour dans ce film, ce qui aurait pu être divertissant, sauf que la seule situation que j’ai trouvée amusante c’est une scène comique dont Kate a été choquée et qu’elle ne cesse de rappeler tout au long du film ( spoiler: à la maison blanche, un homme lui a fait payer nourriture et boissons alors que tout était en libre service
).
spoiler: J’ai trouvé malgré tout la fin assez intéressante car à l’opposé des films américains traditionnels.
Bien sûr le parallèle est vite fait entre cette catastrophe et le dérèglement climatique actuel, l’appel du pouvoir et de l’argent, le contrôle qu’exercent les médias, etc. Tous les sujets du moment sont abordés, ce qui n’est pas totalement inintéressant, mais ils sont traités de manière trop évidente.
Le film donne l’impression d’un grand sketch digne des shows TV à l’américaine, c’est-à-dire que mon attention a été captée, sans savoir pourquoi, en attendant une chute quelconque, mais sans ressentir un réel intérêt pour ce que je regardais. Je ne me suis pas ennuyée malgré la longueur du film mais j’attendais malgré tout vivement la fin.
J’attendais plus d’humour dans ce film, ce qui aurait pu être divertissant, sauf que la seule situation que j’ai trouvée amusante c’est une scène comique dont Kate a été choquée et qu’elle ne cesse de rappeler tout au long du film ( spoiler: à la maison blanche, un homme lui a fait payer nourriture et boissons alors que tout était en libre service
).
spoiler: J’ai trouvé malgré tout la fin assez intéressante car à l’opposé des films américains traditionnels.
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