Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Farce volontairement exagérée sur l’absurdité de notre monde moderne [...], « Don’t Look Up » multiplie les références aux médias et aux réseaux sociaux, à la vitesse de propagation de l’actualité sur Internet, aux fake news et au complotisme, et fait mouche en nous partageant sans cesse entre crises de rire et sèche amertume.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Admirablement joué par son tandem de stars, mais aussi par tous les autres astres qui gravitent autour, Don’t Look Up : déni cosmique réussit le pari de nous embarquer dans une satire follement ambitieuse de l’humanité 2.0.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Camille Nevers
Il faut parvenir à se figurer l’effet mashup : la méchanceté de Mars Attacks sans les extraterrestres, la forme pâte à modeler d’un Frank Tashlin, la vitesse d’un Tex Avery, le délire de politique fiction de 1941 de Spielberg, les remugles d’un Welles affolant les foules avec la Guerre des mondes, ainsi que l’écho brillant de la pochade de McCarey Rally ‘Round the Flag, Boys ! – tout ça en parfaite pagaille déplacée à la Maison Blanche [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
Adam McKay ne vise pas le réalisme mais sa charge réjouissante fait mouche jusqu’aux deux séquences post-générique à ne pas louper. Alors oui, on dit « vive l’Apocalypse ! » quand elle est montrée de façon si rigolote et bien croquée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Rapprocher Godard de McKay est aussi tentant qu’incongru, mais c’est une première raison d’aimer ce film : son auteur se situe dans la lignée de l’espèce beaucoup trop rare des cinéastes-monteurs qui conçoivent leur travail à partir d’une vision singulière (théorique ou intuitive, mais complexe) du montage.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Les détenteurs de la raison sont des Don Quichotte combattant les moulins d'une déraison trop forte pour eux. Derrière la farce satirique toujours enlevée, drôle à force d'absurdités comiques parfois très efficaces se dissimule donc une œuvre profondément mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Don't Look Up est le Dr Folamour écolo du 21e siècle, satire à la fois hilarante, sombre, émouvante et jusqu'au boutiste sur l'absurdité du monde, l'idiotie de l'humanité et sa désastreuse négligence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un tour de force terrifiant et hilarant.
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
En plus de deux heures, Adam McKay livre un essai qui fait mouche, aidé par des acteurs en tout point excellents. On rit beaucoup, mais parce que, comme le veut l’adage, il vaut mieux en rire qu’en pleurer.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
S’il est puissamment drôle, Don’t Look Up laisse aussi amer. Derrière le vernis de la comédie perce toujours l’affligeante tragédie qui se joue devant nous.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
La satire de la Maison-Blanche, de l’info-spectacle et de notre soumission aux Gafa est poilante, et le constat, accablant : remplacez la météorite par le réchauffement climatique, on est en plein dedans. Alors marrons-nous en attendant la fin !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Delphine De Freitas
Une satire mordante au casting fou qui fait autant sourire qu’elle inquiète.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
C’est drôle, grinçant, un peu trop long mais servi par un casting haut de gamme qui s’en donne visiblement à cœur joie et nous entraîne dans leur fantaisie débridée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le trait est appuyé mais Don’t Look Up trouve une tonalité qui le rapproche ostensiblement d’un Docteur Folamour 2.0.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un peu comme Tim Burton dans Mars Attacks!, Adam McKay épingle, sous le couvert d'une farce souvent burlesque, parfois outrancière, un monde qui ne tourne pas rond et mérite la fin tragique qui l'attend. Hilarant et flippant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Don’t Look Up, satire apocalyptique, marque en ce sens [pour Adam McKay] une forme d’accomplissement remarquable, de par sa drôlerie explosive, son ampleur dramatique et son argument volontiers poussif, mais révélateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Édouard Lamort
« Don’t Look Up : Déni cosmique » est une satire efficace grâce à sa distribution en or massif et à son message, aussi pertinent que glaçant tant ce dernier semble s’appuyer sur un fond de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Pierre Eisenreich
On sort de ce film jubilatoire sidéré par son acuité à saisir l’époque actuelle.
Première
par Thierry Chèze
Un tourbillon tout à la fois irrésistible de drôlerie et confondant de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Derrière l’humour, la charge au vitriol d’Adam McKay dézingue l’aveuglement général des puissants et des opinions publiques face au danger létal du réchauffement planétaire, notre météorite à nous.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Casting de folie (Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence, Meryl Streep, Cate Blanchett…) pour cette version grinçante d'Armageddon, dont les clins d'œil à l'actualité (remplacez comète par virus) sont évidents.
Télérama
par Michel Bezbakh
À la fois comédie, film catastrophe, film d’anticipation, voire drame intimiste par moments, Don’t Look Up brasse de nombreux genres cinématographiques pour lancer son message : « Ouvrez les yeux, il faut agir si l’on ne veut pas que la planète explose. »
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Don’t Look Up est une farce grinçante, outrancière et furieusement actuelle sur l’âme noire de l’Amérique car ce qui peut paraître bouffon, absurde, voire dérisoire, ne l’est bien sûr pas tant le film est une charge pamphlétaire d’une puissance incommensurable sur la mécanique sadique du langage médiatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
La satire ne pèse pas lourd face à une époque toujours plus dingue, toujours plus méchante qu'elle.
Critikat.com
par Valentin Denis
Si en dépit de l'abattage de ses acteurs Don’t Look Up ne suscite pas complètement l’adhésion, c’est parce que le film semble parfois légèrement entravé par les réflexes qu’il cherche pourtant à dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La superproduction Netflix des fêtes fait souvent rire sans parvenir à exploiter tout son potentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Louis Nadau
Le mauvais esprit d’Adam McKay, servi par un casting galactique, fait de « Don’t Look Up » un spectacle tout à fait divertissant. Mais il manque au film l’effet de dévoilement grinçant que produit la satire lorsqu’elle est pleinement réussie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Rien de tout cela n’a vraiment vocation à bousculer par le rire ou l’angoisse quelque vision du monde que ce soit : on est plutôt au contraire dans quelque chose d’extrêmement balisé et tranquillisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par François Cau
À force de caricatures à gros traits, les intentions clignotent dans chaque scène comme des néons rouge vif, et le cadavre de la nuance a été retrouvé par un voisin alerté par l'odeur de décomposition.
Le Parisien
Farce volontairement exagérée sur l’absurdité de notre monde moderne [...], « Don’t Look Up » multiplie les références aux médias et aux réseaux sociaux, à la vitesse de propagation de l’actualité sur Internet, aux fake news et au complotisme, et fait mouche en nous partageant sans cesse entre crises de rire et sèche amertume.
Le Point
Admirablement joué par son tandem de stars, mais aussi par tous les autres astres qui gravitent autour, Don’t Look Up : déni cosmique réussit le pari de nous embarquer dans une satire follement ambitieuse de l’humanité 2.0.
Libération
Il faut parvenir à se figurer l’effet mashup : la méchanceté de Mars Attacks sans les extraterrestres, la forme pâte à modeler d’un Frank Tashlin, la vitesse d’un Tex Avery, le délire de politique fiction de 1941 de Spielberg, les remugles d’un Welles affolant les foules avec la Guerre des mondes, ainsi que l’écho brillant de la pochade de McCarey Rally ‘Round the Flag, Boys ! – tout ça en parfaite pagaille déplacée à la Maison Blanche [...].
20 Minutes
Adam McKay ne vise pas le réalisme mais sa charge réjouissante fait mouche jusqu’aux deux séquences post-générique à ne pas louper. Alors oui, on dit « vive l’Apocalypse ! » quand elle est montrée de façon si rigolote et bien croquée.
Cahiers du Cinéma
Rapprocher Godard de McKay est aussi tentant qu’incongru, mais c’est une première raison d’aimer ce film : son auteur se situe dans la lignée de l’espèce beaucoup trop rare des cinéastes-monteurs qui conçoivent leur travail à partir d’une vision singulière (théorique ou intuitive, mais complexe) du montage.
Culturopoing.com
Les détenteurs de la raison sont des Don Quichotte combattant les moulins d'une déraison trop forte pour eux. Derrière la farce satirique toujours enlevée, drôle à force d'absurdités comiques parfois très efficaces se dissimule donc une œuvre profondément mélancolique.
Ecran Large
Don't Look Up est le Dr Folamour écolo du 21e siècle, satire à la fois hilarante, sombre, émouvante et jusqu'au boutiste sur l'absurdité du monde, l'idiotie de l'humanité et sa désastreuse négligence.
Elle
Un tour de force terrifiant et hilarant.
L'Ecran Fantastique
En plus de deux heures, Adam McKay livre un essai qui fait mouche, aidé par des acteurs en tout point excellents. On rit beaucoup, mais parce que, comme le veut l’adage, il vaut mieux en rire qu’en pleurer.
L'Humanité
S’il est puissamment drôle, Don’t Look Up laisse aussi amer. Derrière le vernis de la comédie perce toujours l’affligeante tragédie qui se joue devant nous.
L'Obs
La satire de la Maison-Blanche, de l’info-spectacle et de notre soumission aux Gafa est poilante, et le constat, accablant : remplacez la météorite par le réchauffement climatique, on est en plein dedans. Alors marrons-nous en attendant la fin !
LCI
Une satire mordante au casting fou qui fait autant sourire qu’elle inquiète.
La Croix
C’est drôle, grinçant, un peu trop long mais servi par un casting haut de gamme qui s’en donne visiblement à cœur joie et nous entraîne dans leur fantaisie débridée.
La Voix du Nord
Le trait est appuyé mais Don’t Look Up trouve une tonalité qui le rapproche ostensiblement d’un Docteur Folamour 2.0.
Le Journal du Dimanche
Un peu comme Tim Burton dans Mars Attacks!, Adam McKay épingle, sous le couvert d'une farce souvent burlesque, parfois outrancière, un monde qui ne tourne pas rond et mérite la fin tragique qui l'attend. Hilarant et flippant.
Le Monde
Don’t Look Up, satire apocalyptique, marque en ce sens [pour Adam McKay] une forme d’accomplissement remarquable, de par sa drôlerie explosive, son ampleur dramatique et son argument volontiers poussif, mais révélateur.
Ouest France
« Don’t Look Up : Déni cosmique » est une satire efficace grâce à sa distribution en or massif et à son message, aussi pertinent que glaçant tant ce dernier semble s’appuyer sur un fond de vérité.
Positif
On sort de ce film jubilatoire sidéré par son acuité à saisir l’époque actuelle.
Première
Un tourbillon tout à la fois irrésistible de drôlerie et confondant de justesse.
Télé 7 Jours
Derrière l’humour, la charge au vitriol d’Adam McKay dézingue l’aveuglement général des puissants et des opinions publiques face au danger létal du réchauffement planétaire, notre météorite à nous.
Télé Loisirs
Casting de folie (Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence, Meryl Streep, Cate Blanchett…) pour cette version grinçante d'Armageddon, dont les clins d'œil à l'actualité (remplacez comète par virus) sont évidents.
Télérama
À la fois comédie, film catastrophe, film d’anticipation, voire drame intimiste par moments, Don’t Look Up brasse de nombreux genres cinématographiques pour lancer son message : « Ouvrez les yeux, il faut agir si l’on ne veut pas que la planète explose. »
aVoir-aLire.com
Don’t Look Up est une farce grinçante, outrancière et furieusement actuelle sur l’âme noire de l’Amérique car ce qui peut paraître bouffon, absurde, voire dérisoire, ne l’est bien sûr pas tant le film est une charge pamphlétaire d’une puissance incommensurable sur la mécanique sadique du langage médiatique.
CinemaTeaser
La satire ne pèse pas lourd face à une époque toujours plus dingue, toujours plus méchante qu'elle.
Critikat.com
Si en dépit de l'abattage de ses acteurs Don’t Look Up ne suscite pas complètement l’adhésion, c’est parce que le film semble parfois légèrement entravé par les réflexes qu’il cherche pourtant à dénoncer.
Les Echos
La superproduction Netflix des fêtes fait souvent rire sans parvenir à exploiter tout son potentiel.
Marianne
Le mauvais esprit d’Adam McKay, servi par un casting galactique, fait de « Don’t Look Up » un spectacle tout à fait divertissant. Mais il manque au film l’effet de dévoilement grinçant que produit la satire lorsqu’elle est pleinement réussie.
Les Inrockuptibles
Rien de tout cela n’a vraiment vocation à bousculer par le rire ou l’angoisse quelque vision du monde que ce soit : on est plutôt au contraire dans quelque chose d’extrêmement balisé et tranquillisant.
Mad Movies
À force de caricatures à gros traits, les intentions clignotent dans chaque scène comme des néons rouge vif, et le cadavre de la nuance a été retrouvé par un voisin alerté par l'odeur de décomposition.